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Avoir recours à une mère porteuse, est-ce votre prochaine étape?

Au début, cette pratique était peu courante, et le corps médical était réticent à soutenir cette option. Aujourd’hui, avec la quantité de gens qui souffrent de l’infertilité, le rôle de la mère porteuse est l’option ultime pour avoir un enfant biologique. Surtout lorsque la femme n’arrive pas à porter ses grossesses à terme.

Comme l’indique She Knows, il y a 2 types de mère porteuse.

La mère porteuse traditionnelle : Elle est reliée biologiquement à la famille qui souhaite avoir un enfant. Elle est inséminée du sperme du futur père ou d’un donneur. Les hôpitaux et tribunaux ont encore de la difficulté avec cette méthode, à cause de la complexité des droits parentaux.

La mère porteuse de gestation : Elle n’a aucun lien familial et elle se fait inséminer un embryon déjà conçu à partir des ovules et du sperme des futurs parents ou d’autres donneurs.

Le mot d’ordre, dans tous les cas, est de procéder avec des spécialistes. Il existe des agences qui peuvent vous guider, tant vers la bonne mère porteuse que vers toutes les obligations s’y rattachant. Le niveau légal peut devenir très difficile à gérer seul.

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L’Ontario aussi aux prises avec une pénurie de donneurs d’organes

C’est maintenant au tour de l’Ontario de se joindre au Québec dans un nouvel effort de sensibilisation aux dons d’organes, rapporte Radio-Canada.

Le dossier des donneurs d’organes, ou plutôt de la pénurie de donneurs, est un dossier chaud au Québec. Il appert que la province ontarienne voisine est aux prises avec le même problème, des situations qui sont inacceptables pour plusieurs spécialistes et observateurs.

On estime à 1500 le nombre de patients ontariens qui sont en attente d’une transplantation et qui regardent la mort bien en face à cause de la pénurie d’organes créée par le manque de donneurs.

La directrice de l’agence Trillium pour le don de la vie, Mme Ronnie Gavsie, rappelle qu’il est important pour les donneurs de prévenir leur famille de leur choix et d’officialiser le tout sur papier, afin que les proches ne changent pas la décision le moment venu.

La moitié des familles seulement donnerait son accord pour le don d’organes à la suite d’un décès. Une décision que l’on peut facilement comprendre en période de deuil et de drame, mais qui s’explique mal lorsqu’on sait (selon Triilium) qu’un seul donneur peut sauver jusqu’à huit vies.

Le Québec recensait 1047 patients en attente d’un organe en date du 31 décembre 2013.

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L’effet Facebook : Une recrudescence des dons d’organes?

Ce qu’il est maintenant convenu d’appeler « l’effet Facebook » prend de multiples visages et facettes, souvent surprenants, et les impacts du réseau social se font sentir dans plusieurs domaines.

Medicalxpress rapporte un effet fascinant, cette fois en lien avec les dons d’organes. Selon une étude proposée par l’Université Johns Hopkins et reprise par l’American Journal of Transplantation, Facebook aurait contribué à l’essor du nombre de dons d’organes lors du mois de mai 2012, notamment.

L’équipe de Mark Zuckerberg avait alors proposé à plusieurs de ses membres la possibilité d’afficher et de partager son statut concernant le don d’organe, ce qui avait mené à une vaste campagne de réflexion et de discussion.

Résultat : le nombre de donneurs a alors bondi en flèche!

« La réponse à court terme a été incroyablement forte, comme jamais auparavant en matière de campagne de sensibilisation. À la fin de deux semaines, le nombre de donneurs d’organes continuait de grimper deux fois plus vite que le rythme normalement observable », explique avec enthousiasme et surprise l’auteur en chef de l’étude, le Dr Andrew M. Cameron.

Un « effet Facebook » phénoménal et des plus remarquables!

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Avoir un enfant lorsqu’on est célibataire

She Knows donne quelques indicatifs pour vous aider à y voir plus clair dans les choix qui s’offrent à vous. Vous les connaissez, mais vous êtes-vous déjà renseignée?

La banque de sperme – Ses avantages sont fort simples. C’est aussi facile que de magasiner en ligne. De plus, les hommes passent tous des tests pour dépister le VIH, la syphilis, la chlamydia ainsi que la gonorrhée, les diverses hépatites et d’autres maladies immunitaires.

Si l’on compare à l’adoption, les démarches et les coûts sont moindres. Il n’en demeure pas moins que le sperme en lui-même vous coûtera environ 500 $. Il faut vous dire que cela ne fonctionnera pas nécessairement la première fois, ni même la 10e… Les coûts peuvent donc grimper rapidement.

L’adoption – Vous n’aurez pas à passer par tous les désagréments de la grossesse, si c’est ce qui vous préoccupe le plus, ni les risques associés à celle-ci. Par contre, si vous n’êtes pas du genre patient, évitez cette solution. Il peut prendre quelques mois à quelques années avant de trouver l’enfant que vous souhaitez.

Les coûts de l’adoption sont parfois démesurés. Le minimum se situe facilement à 10 000 $, tout ça en majorité pour des frais administratifs et de déplacement (si vous adoptez outremer, ce qui est souvent le cas).

Solliciter un ami – Oui, vous connaîtrez le donneur, et cela peut grandement vous rassurer. Mais encore faut-il surmonter le malaise et l’approcher. Vous jonglerez entre avantages (sans coût) et inconvénients (comment procéderez-vous?) et ne serez jamais certaine en ce qui a trait aux maladies, à moins de lui demander un bilan de santé.

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Une FIV très tendance

On apprend sur DailyMark qu’une banque de sperme de Londres propose un catalogue en ligne des plus originaux à ses clientes.

Une femme ayant recours à la fécondation in vitro pourra ainsi choisir son donneur de sperme en fonction de son apparence, de son caractère, de ses goûts et de son style.

Toutefois, en regard à la loi du pays, on ne peut pas donner trop de détails sur le donneur. Il s’agit de la première fois que les femmes accèdent à autant de renseignements, et ce, par un simple clic.

Les descriptions en question font un peu penser à celles qui sont lues sur des sites de rencontres. On parcourt les différents profils, puis on arrête son choix sur un donneur.

Rappelons en terminant que depuis plus de cinq ans, en Angleterre, les enfants nés d’une FIV avec donneur sont en droit de retracer leur père biologique. À la surprise de tous, le nombre de donneurs de sperme n’a pas diminué, mais augmenté.