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La dopamine nuit aux gens atteints de Parkinson

Le pramipexole et le ropinirole, deux médicaments à base de dopamine, sont utilisés pour traiter la maladie de Parkinson ainsi que le syndrome des jambes sans repos. Cependant, la dopamine aurait des effets secondaires compulsifs.

Pourtant, la maladie présente justement une diminution de la dopamine habituellement créée dans notre système. Il s’avère cependant que lorsqu’elle est administrée aux gens atteints du Parkinson, ils peuvent présenter des comportements tels qu’une sexualité exacerbée, une dépendance au jeu et la cleptomanie (compulsion au vol).

Au cours de la méta-analyse réalisée par Thomas J. Moore et son équipe, on a réalisé qu’il existe 710 médicaments à base de dopamine, rapporte Empowher.

« Il y a un risque plus élevé de développer des comportements compulsifs avec le pramipexole et le ropinirole », admet Moore, qui croit que les gens sont mal avisés. « Les mises en garde devraient être plus claires et plus précises sur tous les médicaments composés de dopamine. »

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Une autre étape de franchie vers le traitement de la maladie de Parkinson

Il semble qu’un nouveau traitement préliminaire contre la maladie de Parkinson en soit aux dernières étapes de test, et son efficacité démontrée jusqu’ici semble ravir les chercheurs à la tête du projet, selon The National Library of Medicine.

Le traitement, baptisé ProSavin, fonctionnerait par le principe de thérapie génétique. Il reprogrammerait les cellules du cerveau afin de produire davantage de dopamine, un élément essentiel pour le contrôle des mouvements, selon l’équipe de spécialistes d’Oxford BioMedica, qui financent les recherches et la création du nouveau produit.

« Nous avons démontré que nous sommes en mesure d’administrer en toute sécurité des gènes dans le cerveau des patients et de créer de la dopamine, l’agent manquant chez les personnes souffrant de Parkinson », résume le meneur des recherches Kyriacos Mitrophanous.

Tous les patients de l’étude clinique auraient démontré des signes encourageants d’amélioration de leur condition, et ce, malgré le fait que tous les autres traitements offerts ne faisaient plus effet sur eux. Il s’agit donc d’une percée importante dans la quête du traitement ultime de la maladie de Parkinson.

On estime à cinq millions le nombre de personnes touchées par le Parkinson dans le monde en ce moment.

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L’attrait de la bière s’expliquerait par les hormones

Top Santé rapporte une étude qui avait pour but de démystifier l’attrait de la bière chez l’homme, un principe qui va beaucoup plus loin que le simple goût.

En fait, ce serait une véritable histoire d’amour hormonale qui se produit entre les gens et le houblon, notamment à cause de l’effet de la bière sur les récepteurs de dopamine.

Pour confirmer cette théorie, les chercheurs de l’Université d’Indiana en tête de l’étude ont regroupé 49 personnes et leur ont demandé de boire trois différentes boissons. D’abord de la bière, puis de l’eau plate et, enfin, une boisson destinée à désaltérer les sportifs, on devine de type Gatorade.

On a ensuite enregistré et analysé les réponses des sujets face à chacune de ces boissons, et on a remarqué immédiatement une vive réponse du cerveau pour la bière, qui libère immédiatement de la dopamine.

« C’est la première fois que les résultats d’une étude montrent que le goût d’une boisson alcoolisée sur l’être humain, sans l’effet de l’alcool sur le corps, peut déclencher la libération de dopamine dans les centres de récompense du cerveau », lance un certain Kareken, professeur et chercheur.

De plus, les scientifiques croient remarquer que certaines personnes produisent plus de dopamine que d’autres face à la bière, ce qui pourrait expliquer les variations de risque d’alcoolisme d’un individu à l’autre. Une percée fort intéressante.

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Les enfants et les mouches ont une mémoire « semblable »

La dopamine permet notamment de faire progresser la fonction cérébrale qui aide à l’apprentissage et qui permet de faire en sorte qu’on se souvient des belles et des mauvaises expériences.

Ainsi, la mémoire aversive — qui fait en sorte qu’un enfant gardera une mauvaise image de la fois où il s’est fermé la porte sur les doigts ou un bon souvenir du goût d’une crème molle dégustée par un bel après-midi avec son père – permet aux petits de fuir les choses qui font mal et d’être attirés par les expériences positives, explique le site SantéLog.

Il s’avère toutefois qu’il n’y a pas que les humains, notamment les enfants en période d’apprentissage de la vie, qui sont aptes à se souvenir des bons ou moins bons moments. Certains insectes le font aussi, dont les mouches avec leur minuscule cerveau, constatent des chercheurs de l’Institut Max Planck qui ont publié leur étude dans la revue Nature.

C’est en faisant une panoplie d’expériences où la mouche se sentait attirée ou non vers une odeur, et pouvait par la suite arriver à se rappeler où elle avait senti ce bon parfum pour retrouver une sensation de satisfaction et de récompense, que les chercheurs ont réussi à confirmer que les mouches avaient les mêmes cellules nerveuses dopaminergiques que les enfants, dont 4 types différents.

Parmi ces derniers, on en retrouve 3 qui jouent divers rôles dans la médiation de stimuli négatifs, tandis que le quatrième est lié à la création de souvenirs intéressants et positifs.

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La motivation dépend du niveau de dopamine dans le cerveau

Le Journal of Neuroscience révèle que la motivation et le découragement dépendraient du niveau de dopamine dans certaines zones du cerveau lors de l’accomplissement d’une tâche.
 
Cette découverte expliquerait pourquoi certaines personnes sont capables de travailler plus durement que d’autres.
 
À l’Université Vanderbilt, on a demandé à des personnes d’appuyer rapidement sur un bouton pour gagner de l’argent. Chacune d’elles devait démontrer jusqu’à quel point elle était prête à fournir des efforts pour gagner. Certaines ont même relevé des défis extrêmes.
 
Grâce à l’imagerie de leur cerveau, on a pu mesurer l’activité de celui-ci. On remarque ainsi que les personnes qui sont prêtes à fournir des efforts ont une réaction plus forte de la dopamine dans le cerveau, comparativement à celles qui n’osent même pas essayer de relever le défi, en raison des efforts supplémentaires que cela leur demande.
 
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Découvertes sur le déficit de l’attention

Il serait désormais possible d’aborder de nouveaux traitements pour une forme de déficit de l’attention. Se basant sur un modèle d’analyse testé sur des souris, des chercheurs de la Washington University School of Medicine ont réussi à vérifier l’efficacité de médicaments sur le cerveau.

En employant la numérisation, ils ont été en mesure de constater l’élévation du taux de dopamine, une substance chimique cérébrale. C’est que l’augmentation du taux de dopamine a été reconnue pour son effet atténuant des symptômes d’une forme de déficit de l’attention.

Il s’agit de la neurofibromatose de type 1 (la NF1); de 60 à 80 % des enfants qui en sont atteints auraient des symptômes marquants du déficit de l’attention. Plusieurs ont donc d’importantes difficultés scolaires.

Toutefois, le modèle expérimenté par ces chercheurs américains n’en est pas un parfait, soulignent-ils. Il peut malgré tout représenter un atout majeur quant à une certaine forme du dysfonctionnement du système de l’attention.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dans Experimental Neurology.

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Nouvelle percée quant au TDAH

On pourrait atténuer les symptômes du trouble déficitaire de l’attention. Des chercheurs entrevoient de nouveaux médicaments après avoir analysé un récepteur du cerveau. Leurs résultats sont parus dans Molecular Psychiatry.

On y lit que des stimulants pourraient en fait en venir à réduire les symptômes liés au déficit de l’attention. C’est qu’une dysfonction de la dopamine, un récepteur, serait bel et bien liée au développement du TDAH.

Ce lien avait déjà été établi, de même qu’avec d’autres troubles impulsifs et l’abus de drogues.

Précisément, la dopamine D4.7, une variation de la D4, semble commune à tous ceux qui sont atteints du trouble déficitaire de l’attention.

Une expérimentation a été effectuée sur ce sujet en utilisant des souris, mais l’on prévoit déjà un transfert vers l’humain, afin de soulager les symptômes des enfants atteints de ce trouble, entre autres.

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Mieux comprendre l’impulsivité

Le Dr Joshua Buckholtz et son équipe de l’Université Vanderbilt à Nashville, dans le Tennessee, se sont penchés sur les comportements impulsifs, mais surtout sur le rôle que joue la dopamine dans ces manifestations.
 
Par le passé, on a établi que la dopamine était impliquée dans ces comportements, mais on ne savait pas de quelle façon.
 
Les chercheurs ont découvert que l’impulsivité est favorisée par une diminution de l’activité du récepteur de dopamine et une libération plus grande de ce neurotransmetteur dans le cerveau.
 
C’est ce qui se produit chez les personnes qui ont tendance à agir rapidement et à faire des choix parfois irréfléchis.
 
Ainsi, nos différences individuelles peuvent établir de quelle façon notre comportement impulsif pourrait se manifester, selon ce que rapporte l’étude publiée dans le magazine Science.
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La dépendance au sucre

Le Dr Bart Hoebel, un professeur de l’Université Princeton, croit que le sucre provoque les mêmes réactions de dépendance observées dans le cerveau que peut provoquer la consommation de drogues dures comme la cocaïne et l’héroïne.

« Boire de l’eau sucrée lorsque l’on a faim cause des changements neurochimiques dans le cerveau qui ressemblent étrangement à ceux chez les personnes qui consomment de la drogue. Ça va bien au-delà du syndrome de sevrage », a observé le Dr Hoebel.

Pour cette étude, les chercheurs ont privé de nourriture des rats de laboratoire pendant 12 heures quotidiennement, pour ensuite les nourrir d’aliments contenant du glucose et du sucre blanc.

Lors de l’ingestion de ces aliments, les chercheurs ont observé une hausse de dopamine dans le cerveau. Cet acide aminé est souvent associé à la réaction neurologique lors de la dépendance aux drogues.

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Aimer manger pour mieux maigrir

Une équipe de psychologues de l’Université du Texas croient que l’apparition de l’obésité pourrait s’expliquer par une réaction chimique dans le cerveau.

Les chercheurs ont fait passer des tests d’imagerie du cerveau afin d’évaluer les réactions cérébrales liées à la production de dopamine pendant que les sujets mangeaient. Cette molécule, qui joue un rôle dans le désir et la sensation de plaisir, s’active lorsque la personne mange.

Il semble que les chercheurs ont pu prédire que les participantes, dont la sécrétion de dopamine était moins élevée, allaient prendre plus de poids au cours des mois suivants. « Cette recherche révèle que les personnes obèses pourraient compter moins de récepteurs de dopamine dans leur cerveau les conduisant à manger plus pour compenser ce déficit de plaisir », prétend l’auteur derrière ces résultats, le Dr Eric Stice.

Le Dr Stice croit toutefois que l’obésité n’est pas un automatisme lorsque les zones du cerveau liées au plaisir émettent moins de dopamine. Une saine alimentation et de l’exercice physique sont encore le meilleur moyen de prévenir le surplus de poids.