Catégories
Uncategorized

Les bébés les plus dorlotés en retirent des bénéfices une fois adultes

Il serait faux de croire qu’une mère est trop « mère poule » avec son bébé. Une étude américaine dévoile que les mamans qui procurent beaucoup d’affection à leur enfant, alors qu’ils n’ont que huit mois, en feront des adultes beaucoup plus posés et moins stressés, rapporte le Journal d’épidémiologie et de santé communautaire.
 
482 personnes du Rhode Island ont participé à cette étude qui s’est échelonnée sur plusieurs années.  Les chercheurs ont d’abord évalué le lien entre la mère et leur bébé, alors âgé de huit mois. Lorsque ces enfants ont eu 34 ans, on leur a fait passer un test pour connaître leur niveau d’anxiété, d’hostilité et de mal-être en général.
 
Au départ, les mères avaient été catégorisées en trois groupes, soit celles qui donnaient peu d’affection, celles qui démontraient de l’affection normalement et celles qui étaient plus excessives.
 
Alors que les chercheurs se surprennent de constater qu’il n’y a pas de différence chez les deux premiers groupes, les enfants ayant reçu énormément d’affection étaient devenus des adultes moins anxieux, hostiles et se sentaient beaucoup mieux en général que les autres.
 
Cela démontre clairement que les expériences, même celles vécues à un très jeune âge, influencent la vie d’adulte. Plus on est dorloté lorsqu’on est bébé, mieux on sera préparé pour affronter les problèmes de la vie à l’âge adulte.