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Bébé dormeur : à cause de ses gènes?

Les parents se demandent parfois si le fait que leur enfant ne dort pas bien est de leur faute. Ils seront heureux d’apprendre qu’ils pourraient toutefois influencer les habitudes de sommeil de leur tout-petit en modifiant leur environnement, lisons-nous dans le Los Angeles Times.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs italiens après avoir suivi 127 paires de vrais jumeaux et 187 paires de jumeaux non identiques âgés de 18 mois. Ces derniers jumeaux ne partagent que la moitié de leur ADN.
 
Dans le cadre de cette étude, toutes les paires de jumeaux partageaient la même chambre. Les parents des jeunes participants ont été questionnés quant à leur habitude d’aller dormir avec leurs enfants ou non, si les enfants dormaient toute la nuit ou non et s’ils faisaient une sieste en après-midi.
 
À la lumière des résultats, il semble tout d’abord que l’ADN joue en effet un rôle sur le sommeil des bébés, mais uniquement sur le fait que ceux-ci se réveillent ou non durant la nuit.

Les choix que faisaient les parents quant à l’environnement entourant le sommeil de leurs enfants étaient en très grande partie responsables de ce que les tout-petits dorment dans leur chambre ou non. Dans ce dernier cas, les gènes n’avaient absolument rien à y voir.

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Un gène associé au sommeil

Les travaux menés par la neurologue Ying-Hui Fu, de l’Université de Californie à San Francisco, l’amènent à conclure qu’une mutation génétique sur le gène DCE2 pourrait expliquer pourquoi certaines personnes peuvent dormir moins de six heures par nuit sans en être affectées.

Rappelons que la communauté scientifique s’entend pour dire qu’un sommeil réparateur compte huit heures par nuit et qu’une privation peut entraîner des conséquences, comme une hausse du risque de cancer, une dysfonction des glandes endocrines, des pertes de mémoire et des sautes d’humeur.

La Dre Fui croit donc que le gène DEC2 joue un rôle dans la régulation du temps de sommeil ainsi que dans le processus de maintien en éveil.

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Le juste équilibre du sommeil

Des chercheurs de l’Université Laval à Québec ont démontré que le nombre d’heures de sommeil quotidien pourrait jouer un rôle dans le poids santé.

Selon eux, le juste équilibre se trouve entre sept et huit heures de sommeil. Les personnes qui dorment moins de cinq heures ou plus de neuf heures courent le risque de prendre du poids.

En effet, parmi les 276 sujets âgés de 21 à 64 ans qui ont participé à cette recherche, ceux qui dorment moins ont engraissé de 1,98 kg, tandis que ceux qui dorment plus longtemps que la norme recommandée ont pris en moyenne 1,58 kg.

Ce phénomène pourrait s’expliquer par la production d’hormones qui régulent l’appétit, même pendant le sommeil. Cette théorie veut que la production de la ghréline – l’hormone qui dit au corps que l’on a faim – augmente et que l’hormone qui est responsable de la sensation de rassasiement, la leptine, diminue pendant une courte période de sommeil.