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Mort subite : suivons les conseils

On lit sur EurekAlert! les conclusions de spécialistes quant aux données actuelles sur le syndrome de mort subite du nourrisson. Présentées lors de l’American Academy of Pediatrics National Conference and Exhibitionà Boston, elles préconisent surtout de suivre les mêmes conseils.

Intitulée Retrospective Review of Sleeping Conditions in Infant Deaths in New Mexico, cette analyse portait sur une étude ayant compris 91 cas de morts d’enfants de moins de 12 mois au Nouveau-Mexique, entre 2006 et 2010.

En ce sens, les parents d’un poupon doivent le coucher sur le dos, comme il est de mise depuis quelques années. La campagne sur cette position a réduit de 50 % les cas de mort subite.

D’autre part, les spécialistes mentionnent que d’autres facteurs peuvent jouer un rôle quant à ce syndrome encore très peu expliqué. Entre autres, on déconseille de partager le lit avec les très jeunes enfants ou de les faire dormir ailleurs que dans leur lit.

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Mort subite : risque élevé avec papa et maman

Il semble qu’un poupon qui dort avec ses parents serait plus à risque du syndrome de mort subite du nourrisson et d’accidents fatals survenant durant le sommeil.

Cette observation provient d’une étude australienne, laquelle a démontré que parmi 72 morts subites survenues entre 2008 et 2010, 33 se sont produites alors que le bébé dormait sur la même surface qu’un adulte. Parmi cesdites surfaces, on compte le lit, le divan, le matelas et la chaise berçante.

Ajoutons que 28 % de ces 33 derniers cas ont été identifiés comme un syndrome de mort subite du nourrisson, comme il est présenté dans The Canberra Times.

Les chercheurs recommandent donc, d’ici à ce que d’autres recherches soient faites, que le poupon dorme sur une surface séparée de ses parents, dans la même pièce que ceux-ci, et ce, durant au moins ses quatre premiers mois de vie.

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Vite au lit, vite debout

On apprend dans SLEEP que les couche-tôt sont en meilleure santé. Selon une étude australienne, les enfants qui se couchent et se lèvent tôt sont plus minces et plus actifs physiquement que ceux qui font l’inverse, et ce, même s’ils ont profitent tous du même nombre d’heures de sommeil.

Cette conclusion provient de l’analyse des données sur le sommeil de 2200 enfants mises en relation avec le poids de ces derniers et leurs activités durant le jour. Il semble que l’heure du coucher autant que l’heure du lever soient prédominantes quant au maintien d’une bonne santé.

On a d’ailleurs estimé que les enfants qui se couchent et se lèvent tard avaient 1,5 fois plus de risques de devenir obèses que ceux qui suivaient une routine de couche-tôt.

Dans le même ordre d’idée, les couche-tard auraient 2 fois plus tendance à être sédentaires et ils seraient jusqu’à 2,9 fois plus enclins à passer trop de temps (par rapport à la limite recommandée) à écouter la télévision, jouer à des jeux vidéo ou rester à l’ordinateur.

Si, depuis quelques années, on pointe du doigt le manque d’heures de sommeil quant à la prévalence de problèmes de santé – dont l’obésité –, on souligne maintenant que le moment du coucher est encore plus important.

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Vite au lit, vite debout

On apprend dans SLEEP que les couche-tôt sont en meilleure santé. Selon une étude australienne, les enfants qui se couchent et se lèvent tôt sont plus minces et plus actifs physiquement que ceux qui font l’inverse, et ce, même s’ils ont profitent tous du même nombre d’heures de sommeil.

Cette conclusion provient de l’analyse des données sur le sommeil de 2200 enfants mises en relation avec le poids de ces derniers et leurs activités durant le jour. Il semble que l’heure du coucher autant que l’heure du lever soient prédominantes quant au maintien d’une bonne santé.

On a d’ailleurs estimé que les enfants qui se couchent et se lèvent tard avaient 1,5 fois plus de risques de devenir obèses que ceux qui suivaient une routine de couche-tôt.

Dans le même ordre d’idée, les couche-tard auraient 2 fois plus tendance à être sédentaires et ils seraient jusqu’à 2,9 fois plus enclins à passer trop de temps (par rapport à la limite recommandée) à écouter la télévision, jouer à des jeux vidéo ou rester à l’ordinateur.

Si, depuis quelques années, on pointe du doigt le manque d’heures de sommeil quant à la prévalence de problèmes de santé – dont l’obésité –, on souligne maintenant que le moment du coucher est encore plus important.

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La routine du dodo

Il semble que d’aborder les difficultés de la routine du dodo de notre enfant comme une réelle problématique nous permettrait d’en trouver la solution. Des chercheurs australiens ont démontré qu’une consultation sur le sujet serait des plus efficaces.

On lit sur Medscape que des parents qui avaient consulté avaient vu les problèmes de sommeil de leur enfant s’améliorer grandement, en comparaison aux autres. De plus, au cours de l’année scolaire, les enfants dont les parents avaient consulté avaient vu leurs résultats s’améliorer.

Précisément, les enfants dont les parents avaient consulté avaient toujours des problèmes de sommeil après 6 mois dans une proportion de 26 %; celle-ci était de 47 % chez ceux dont les parents n’avaient pas profité d’une consultation.

Selon les chercheurs, les troubles du sommeil chez l’enfant de cinq à six ans sont majoritairement liés à des problèmes de comportement sous-jacents. Leurs parents devraient donc se tenir concernés dans la solution et devraient envisager la consultation.

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Les Canadiens dorment très mal

Il semble que les Canadiens ont bien du mal à dormir convenablement, surtout les femmes.
 
En fait, 40 % de la population dit avoir des troubles du sommeil et 13,4 % a eu un diagnostic d’insomnie.
 
Selon une étude dévoilée par une équipe de l’Université Laval, réalisée auprès de 2 000 personnes, les femmes auraient plus de mal à bien dormir que les hommes.
 
De plus, les problèmes semblent être plus nombreux dans la quarantaine et ils s’aggravent en vieillissant.
 
« Les jeunes adultes ont tendance à avoir de la difficulté à s’endormir. Plus tard, vers 40 ou 50 ans, ils ont de la difficulté à rester endormis. Et les aînés ont plutôt des problèmes de réveil précoce, vers 4 h, avec de la difficulté à se rendormir », déclare le chercheur Charles M. Morin.
 
Étrangement, on note aussi une différence entre les anglophones et les francophones. Ces derniers disent mieux dormir, mais sont aussi plus enclins à faire l’usage de somnifères.
 
Les résultats de cette étude seront présentés au congrès de l’Association mondiale pour la médecine du sommeil qui se tiendra à Québec ce week-end.

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Narcolepsie et grippe H1N1

Une récente étude, laquelle a porté sur des Chinois, lève le voile les effets à long terme de la grippe H1N1 que l’on soupçonnait. Après avoir suivi 629 sujets, lesquels étaient majoritairement des enfants (soit une proportion de 86 %), on a relevé que 182 d’entre eux avaient développé la narcolepsie.

Rappelons brièvement que la narcolepsie consiste en une envie soudaine de dormir. On estime qu’habituellement, moins de 1 % de la population mondiale en est atteinte.

Or, les chercheurs ont remarqué, dans le cadre de la présente étude, que les cas étaient moins fréquents en novembre, mais qu’ils l’étaient beaucoup plus en avril, les taux augmentant de sept fois lors des périodes de pointe.

Ce constat vient contredire les récentes inquiétudes quant à des hausses de cas de narcolepsie en Europe à la suite de la vaccination contre la H1N1. Une différence de cinq à sept mois a été remarquée entre la saison importante de la grippe et celle de l’apparition de la narcolepsie.

Les résultats détaillés de cette nouvelle recherche sont parus dernièrement dans Annals of Neurology.

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Ne vous privez pas d’inviter bébé à dormir dans votre lit

Qui n’a pas entendu sa mère ou ses proches lui recommander de ne pas aller chercher bébé pour dormir contre lui, alors qu’il semble en avoir besoin? Il est rassurant de savoir qu’il est possible pour maman de partager son lit avec son jeune enfant, sans qu’il y ait d’impact négatif quant à son développement social et intellectuel.
 
À l’École universitaire de médecine de Stony Brook de New York, Lauren Hale a mené une étude avec son équipe auprès de 944 mères ayant partagé leur lit avec leur bambin entre l’âge de 1 et 3 ans.
 
Selon Hale, il s’agissait de peaufiner des études effectuées ultérieurement, mais auprès de familles pauvres ou de minorité visible, celles-ci n’ayant pas été tenues en compte dans les premières recherches.
 
« Les parents peuvent choisir cette pratique si c’est ce qui est le mieux pour la famille et pour le sommeil de chacun », révèle Lauren Hale. « L’étude démontre clairement qu’il n’y a aucun ou très peu d’impact sur le développement de l’enfant ».
 
Selon Canada.com, à la suite de l’étude, les enfants ont été suivis à l’âge de 5 ans afin de déterminer si un quelconque retard ou conséquence négative découlait du fait d’avoir partagé le lit des parents.
 
Confirmant les résultats d’études précédentes, heureusement, rien n’a été détecté.
 
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De beaux dodos durant les vacances

Souvent, lorsque toute la maisonnée se retrouve en vacances d’été, on a tendance à laisser aller un peu la discipline et la routine. Pourtant, selon les experts, les enfants ne devraient pas dormir moins durant cette période de l’année, comme nous l’apprenons sur UPI.com.

L’article Let Kids be Kids: Rescuing Chilhood, présenté par la professeure Mary Muscari de la Decker School of Nursing de la Bringhamton University (New York), soutient qu’un manque de sommeil chez l’enfant peut mener à des problèmes d’apprentissage et des accidents, voire à la dépression.

De plus, l’experte rappelle aux parents qu’un enfant qui est en forme est un enfant heureux. Les enfants et les adolescents doivent bénéficier quotidiennement de neuf heures de sommeil pour bien fonctionner et grandir.

Toutefois, on peut laisser les enfants s’endormir plus tard, mais les lever plus tard aussi dans ce cas. Il faut conserver la même routine et les mêmes habitudes de sommeil, quel que soit le contexte.

Leurs nuits de sommeil doivent par contre revenir au cadre de la vie scolaire au moins une semaine à l’avance, à la fin de l’été.

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Le pire moment de la journée!

Une intéressante étude ayant porté sur 2 000 mères du Royaume-Uni nous révèle les pires moments de la journée pour une mère de famille. Les résultats de cette recherche menée par Betterbathrooms ont été présentés dans le Telegraph.

L’heure la plus stressante est 17 h 55, ce qui correspond au moment de la préparation du repas du soir. Il semble que la conciliation travail-famille comprenne certaines plages horaires assez intenses pour les mamans.

De plus, la moitié des mères ont ajouté que leurs enfants refusent de manger, une fois le repas servi. Elles trouvent aussi difficile de varier les plats chaque jour.

La seconde position du moment le plus stressant est 7 h 15, qui est aussi l’heure, pour plusieurs familles, du bain des tout-petits. Vient ensuite le moment de dormir, soit 20 h 45. Plusieurs mères seront soulagées d’apprendre qu’elles ne sont pas les seules à avoir de la difficulté à endormir leurs rejetons.

Les mères ayant participé à ce sondage ont finalement avoué que s’occuper de leur famille est plus stressant et demandant que leur emploi.