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La caféine, alliée ou ennemie, selon la dose

Les effets physiques d’une trop grande quantité de caféine sont aisément perceptibles. Ils touchent notamment le cœur avec la tachycardie. Ils nuisent également au sommeil, et peuvent créer des troubles d’anxiété et de nervosité.

Cependant, à dose modérée, la caféine protège votre cœur. Il faut vous assurer, informe Le Figaro, de ne pas dépasser 800 mg par jour. Une tasse de café soluble contient 95 mg de caféine, alors qu’un café infusé grand format en compte 250 mg. Le thé dispose d’environ 10 à 50 mg de caféine.

N’oubliez pas d’ajouter le chocolat, les boissons gazeuses et énergisantes. Une surdose de caféine peut mener à la mort. Deux cas ont été rapportés récemment aux États-Unis.

Bien que des recherches soient encore nécessaires pour dissiper les craintes, la caféine aurait des bienfaits prouvés sur le diabète de type II, certains cancers et troubles cognitifs, ainsi qu’au niveau du cœur.

Plus de détails sont disponibles dans la revue Journal of Caffeine Research.

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La moindre dose d’antidépresseurs crée des modifications cérébrales

Le cerveau serait affecté dès les premières heures suivant la prise de médication contre les symptômes dépressifs, rapporte Science World Report.

Des chercheurs allemands du Max Planck Institute for Human Cognitive and Brain Sciences ont effectué des tests auprès de 22 participants en santé. Aucun d’entre eux n’avait déjà reçu un traitement contre la dépression.

On a administré une dose d’inhibiteur du recaptage de la sérotonine (Lexapro), un antidépresseur couramment prescrit, à certains d’entre eux, puis un placebo à d’autres. Et on a observé l’imagerie de leur cerveau.

Des changements au niveau des connexions cérébrales par rapport au premier scanneur avant médication étaient visibles 3 heures suivant la prise du médicament, lors de la seconde imagerie.

Le médicament a en effet réduit la connectivité intrinsèque de plusieurs régions du cerveau. Seuls le cervelet et le thalamus, au contraire, ont vu leurs connexions proliférer.

« Nous espérons qu’ultimement, notre travail permettra des traitements plus adaptés et personnalisés selon les besoins thérapeutiques individuels des patients souffrant de dépression », ont conclu les chercheurs.

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Courir quelques minutes par jour allonge la vie

Si vous n’avez pas le courage ou le temps de faire au moins trois heures d’exercice par semaine, tel qu’il est recommandé, faites au moins quelques minutes de course. Les séances n’ont même pas besoin d’être intensives pour être efficaces.

Le Dr Duck-chul Lee, auteur principal de l’étude de l’Université de l’Iowa parue dans le Journal de l’American College of Cardiology, le confirme : « Les gens qui ont couru moins d’une heure par semaine ont obtenu les mêmes avantages face aux risques de mortalité que ceux qui ont couru plus de trois heures par semaine », rapporte The Telegraph.

Les personnes qui courent quelques minutes de façon régulière et même à un rythme lent repoussent de 30 % les risques de mourir d’une crise cardiaque au cours des 15 prochaines années de leur vie. Chez les gens qui n’enfilent pas leurs espadrilles, les risques de mourir d’un AVC ou crise cardiaque au cours de la même période augmentent à 45 %.

Parmi le groupe de coureurs qui parcouraient jusqu’à six miles par semaine, le taux de mortalité dû à un AVC ou une crise cardiaque était réduit de 54 % par rapport à ceux qui ne faisaient pas d’exercice.

Il est également ressorti que courir pendant sept minutes par jour ou 51 minutes par semaine diminuait les risques de mort par AVC ou crise cardiaque de 55 %, et que courir à une vitesse optimale de 7,1 à 7,6 miles par l’heure réduisait les risques de 60 %. De plus, les gens qui persistaient et couraient pendant plus de six ans en moyenne voyaient encore plus d’avantages à la course sur leur santé.

Le Dr Chi Pang Wen, de l’Institut des sciences de la santé de la population à Taiwan, compare quant à lui la marche à la course : « Une course de 5 min est aussi bonne que 15 minutes de marche, et il faudrait marcher 100 minutes pour obtenir les mêmes résultats bénéfiques qu’une course de 25 minutes ».

 

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SmartStop : une application pour cesser de fumer

La société américaine Chrono Therapeutics entre dans l’ère de la technologie et essaie d’être au goût du jour en mettant au point une application qui tentera de faire ce que font déjà les timbres, gommes et cigarettes électroniques de ce monde, soit le sevrage tabagique.

SmartStop a toutefois pour objectif de faire mieux que les moyens déjà existants et d’offrir un service personnalisé à ses utilisateurs. En effet, contrairement aux timbres, les fumeurs qui auront téléchargé la nouvelle application sur leur tablette ou téléphone intelligent seront en mesure de modifier les doses de nicotine qu’ils désirent ou ont besoin d’avoir. Diverses quantités et profils seront préenregistrés dans le logiciel, qui fournira de façon transdermique de la nicotine aux utilisateurs.

Contrairement au SmartStop, « les technologies actuelles comme les gommes et les timbres à la nicotine ne sont pas efficaces pour arrêter de fumer définitivement, car ils ne tiennent pas compte de la nature cyclique des envies de nicotine et offrent peu ou pas de soutien comportemental », a dit Alan Levy, directeur général de Chrono.

Encore en attente d’approbation des autorités sanitaires américaines (FDA) pour commercialisation, SmartStop coûtera un prix équivalant aux produits vendus sans ordonnance, avance Top Santé.

Plus d’un milliard de personnes fument dans le monde. Ce sont 100 millions de fumeurs qui ont été tués par la cigarette au 20e siècle. Toutes les six secondes, une personne meurt du tabagisme, selon les derniers chiffres de l’OMS.

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Dosage des médicaments : la cuillère n’est pas un bon moyen

Des erreurs de dosage parfois dangereuses peuvent être produites par les parents (un sur six) qui utilisent une cuillère pour donner sirop, antibiotiques ou autres à leurs enfants.

Il serait de loin beaucoup plus efficace pour le succès d’un traitement et surtout moins dangereux pour les enfants que les parents utilisent l’instrument homologué ou de mesure standard fourni par les professionnels de la santé pour doser la médication.

Une étude de la New York University School of Medicine parue dans la revue Pediatrics a été réalisée auprès de 287 parents d’enfants âgés de moins de 9 ans. Il semblerait que près d’un tiers des parents ne donnent pas à l’enfant la dose prescrite. Ces erreurs seraient d’ailleurs plus fréquentes parmi les parents qui utilisent une cuillère pour donner des médicaments à leur enfant (17 %).

En tentant d’évaluer les parents qui devaient faire comme s’ils étaient à la maison lorsqu’ils donnent de la médication à leurs jeunes, il est ressorti parmi tous ceux qui utilisent l’outil de mesure standard ou la cuillère que « 32 % des parents connaissent mal la dose prescrite, 39 % font une erreur de dosage par rapport à la dose qu’ils pensent devoir donner à l’enfant, et 41 % font une erreur de dosage par rapport à la dose prescrite », révèle Santé Log.

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Une juste portion de protéines à chaque repas serait bénéfique pour la santé

Une nouvelle étude américaine vient ajouter de l’information concernant les protéines et leurs bienfaits sur la santé, mais vient surtout proposer une posologie à respecter pour des effets bienfaiteurs maximisés.

Ainsi, selon les chercheurs de l’aile médicale de l’Université du Texas à Galveston, les habitudes des Nord-Américains en matière de repas ne permettraient pas d’optimiser le vieillissement en bonne santé.

Trop de protéines au souper, croient les chercheurs, qui estiment à 30 grammes la portion nécessaire (et maximale) par repas, au lieu d’une surabondance de protéines dans un seul repas au cours de la journée. On donne en exemple le déjeuner, qui bénéficierait davantage de la présence d’un œuf ou d’un verre de lait que de celle d’un bol de céréales très sucrées ou d’une pâtisserie.

Le fait d’étirer ses portions de protéines tout au long de la journée favoriserait la santé des muscles et permettrait de vieillir en meilleure santé, explique également Leslie Beck, une spécialiste américaine qui rapporte les conclusions de l’étude.

L’étude texane a été publiée dans le Journal of Nutrition.

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Yves Saint Laurent s’offre une dose de sensations fortes avec L’Homme Sport

La maison française lève le voile sur une nouvelle interprétation olfactive de sa fragrance emblématique L’Homme, alliant énergie, sensations fortes et sport. L’Homme Sport sera proposé dès mai prochain.

Élaboré par les nez Anne Flipo et Juliette Karagueuzoglou, ce nouveau masculin s’articule autour d’un ingrédient phare, les aldéhydes, associé à de l’essence de bergamote et à un accord verveine. Cardamome et essence d’élémi se marient également à des notes de cèdre et d’ambre.

Visage de L’Homme depuis 2006, Olivier Martinez incarnera cette nouvelle essence dans une campagne photographiée par Mathieu César. L’acteur français prendra les traits d’un rider rock et sexy, chevauchant sa moto dans un décor de rêve.

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La vitamine E pourrait ralentir la progression de la maladie d’Alzheimer

Une nouvelle étude encourageante démontre le potentiel de la vitamine E à freiner les ardeurs de la maladie d’Alzheimer, et ainsi permettre le ralentissement de la progression de cette terrible maladie.

Cette découverte provient d’une équipe de chercheurs américaine basée au Minnesota et menée par le Dr Maurice Dysken. Elle fait état d’une amélioration de la condition des patients souffrant d’Alzheimer ayant reçu de fortes doses de vitamine E.

« On a découvert que la vitamine E ralentit significativement la progression, en comparaison avec le placebo », lance le Dr Dysken.

Il ne s’agit aucunement d’une forme de traitement, mais plutôt d’une manière de gagner du temps et d’améliorer la condition des patients souffrant d’Alzheimer, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

On parle d’une réduction de 20 % du déclin annuellement, et d’un besoin moins évident de soins de la part du personnel médical, toujours selon l’étude de Dysken et de son équipe.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le Journal of the American Medical Association, au dernier jour de 2013.

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Pas de risque à consommer de l’aspartame en bas du seuil recommandé

L’EFSA (Agence Européenne de Sécurité Alimentaire) persiste et signe dans son évaluation des risques liés à la consommation d’aspartame, rapportent Top Santé et Santé Log, un ingrédient surtout utilisé pour remplacer le sucre dans divers produits.

Ainsi, l’EFSA maintient sa position concernant l’aspartame, et confirme dans un rapport que si la consommation du produit demeure en deçà du seuil recommandé, les risques pour la santé sont faibles ou inexistants.

« Pour la population générale, la dose journalière acceptable (DJA) actuelle de 40 mg par kilogramme de poids corporel constitue une protection adéquate », expliquent les spécialistes de l’Agence Européenne de Sécurité Alimentaire.

Ce seuil pourrait équivaloir, en moyenne, à une telle quantité de produits contenants de l’aspartame consommés sur une base quotidienne que la conclusion proposée par l’EFSA est évidente : l’aspartame n’est pas dangereux.

Si plusieurs personnes restent sceptiques face à ces nouvelles conclusions, d’autres seront ravies d’apprendre qu’elles peuvent continuer d’ajouter du faux sucre dans leur boisson chaude ou de consommer des boissons gazeuses légères.

Cependant, comme avec tout, la modération est fortement recommandée, et on rappelle que le meilleur conseil en santé et nutrition en ce qui concerne les boissons est de boire beaucoup d’eau, et ce, quotidiennement.

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En route vers un vaccin contre la grippe plus efficace

Le vaccin contre l’influenza, déjà hautement controversé, agace par le fait que l’on doit continuellement répéter l’expérience afin d’obtenir une protection maximale (selon les spécialistes).

Or, une équipe de chercheurs aurait mis au point un vaccin si efficace qu’il ne nécessite qu’une seule injection. De plus, il protégerait de plusieurs souches du virus, dont certaines commencent à être sérieusement virulentes, explique Top Santé

Les recherches de l’équipe basée au National Institute of Allergy and Infectious Disease (Bethesda) sont maintenant publiées par la prestigieuse revue Nature, qui entérine cette découverte.

Il faut cependant noter que les seuls tests concluants l’ont été sur des furets. Mais l’animal possède de multiples caractéristiques connexes à l’être humain, et les chercheurs en tête de ces essais croient que l’efficacité du vaccin chez l’humain sera bientôt démontrée.

On trouvera bien encore des gens pour crier au complot contre cette percée médicale, mais avouons que l’idée d’un seul vaccin qui protège contre toutes les souches de l’influenza en une seule injection est un concept attirant.