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Levée de boucliers contre les savons antibactériens

C’est une étonnante levée de boucliers que rapportent plusieurs sources, dont Radio-Canada, alors que la FDA américaine s’en prend aux… savons antibactériens.

Selon l’organisation de la santé américaine, il faudra se pencher sur la notion « antibactérienne » mise de l’avant par certaines compagnies sur quelques-uns de leurs produits, car plusieurs questions se posent.

Selon la FDA, rien ne prouve que ces savons préviennent la transmission de bactéries ni qu’ils facilitent un « meilleur nettoyage ». Pire encore, on commence à croire que des éléments contenus dans ces savons, par exemple la triclosane, pourraient être dommageables pour la santé des consommateurs.

On avance la possibilité de voir ces savons antibactériens contribuer à certains troubles de fertilité et du développement, comme la puberté précoce chez les enfants.

L’Union européenne (UE) a par ailleurs déjà interdit les produits comprenant de la triclosane, incluant même les objets comme des ustensiles ou des pots.

La triclosane se trouverait dans les trois quarts des savons retrouvés en magasin, et les compagnies productrices devront maintenant se plier aux demandes de la FDA, et démontrer les capacités et la sécurité de leurs produits et savons antibactériens.

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Une première pour les aidants naturels au Canada

Il pourrait s’agir d’une première victoire pour les aidants naturels sur le territoire canadien, selon Radio-Canada, qui rapporte qu’un système d’aide pourrait être mis sur pied du côté de Terre-Neuve-et-Labrador.

Les aidants naturels sont définis par des personnes qui s’occupent d’un proche gravement malade ou en perte sérieuse d’autonomie, et qui doivent souvent sacrifier eux-mêmes une partie, voire la totalité, de leur vie personnelle et professionnelle afin de concentrer sur ce nouveau « travail ».

Au Québec, on le sait, les aidants naturels parlent de plus en plus ouvertement de leur situation difficile, et souhaiteraient obtenir de l’aide de la part du système gouvernemental.

Les aidants de Terre-Neuve-et-Labrador semblent toutefois recevoir une oreille plus attentive de leurs dirigeants, alors que ces derniers confirment être à réfléchir à une option qui permettrait aux aidants naturels de recevoir une compensation financière.

Il s’agirait d’une première au Canada, et un tel geste pourrait bien forcer la main de plusieurs autres provinces canadiennes.

On estime que le projet pilote, s’il est implanté, pourrait venir en aide à 250 familles pour commencer.

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Le radon inquiète plusieurs régions du Québec

Radio-Canada publie cette histoire qui alimente les discussions québécoises depuis quelques jours, et qui parle de la possible présence de radons dans certains sous-sols du Québec.

Il n’en fallait pas plus pour que la chose inquiète les résidents de plusieurs régions de la province, à commencer par ceux de la Mauricie et du Centre-du-Québec.

Ces derniers sont d’ailleurs maintenant appelés à faire effectuer des tests de « dépistage du radon », afin de s’assurer qu’aucune trace de ce gaz inodore ne se retrouve dans leur sous-sol.

Le hic, c’est que le test en question est d’une durée de trois mois… Heureusement, il peut se faire par les résidents eux-mêmes, à l’aide d’un appareil vendu en magasin.

Le radon est un gaz invisible à l’œil nu qui provient des restes d’uranium retrouvé dans certains sols. Il peut mener à de sérieux problèmes de santé, par exemple le cancer du poumon.

On estime qu’une maison sur dix serait touchée par le phénomène en Mauricie.

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Fluor dans l’eau potable : une polémique mondiale

Ce n’est pas qu’au Québec que le dossier du fluor dans l’eau potable fait jaser, mais bien partout dans le monde.

C’est ce qu’on comprend de cet article publié par le Daily Mail (UK), qui révèle certaines données inquiétantes en lien avec ce dossier chaud. Les résultats et inquiétudes subséquentes de la part d’experts et d’observateurs découlent d’une récente étude sur le sujet, qui fait état d’une possible hausse des risques de démence chez les consommateurs d’eau potable dont on aurait manipulé les taux de fluor.

Des observations qui s’appliquent donc tout à fait chez nous, puisque les raisons avancées en territoire européen pour expliquer l’affaire sont sensiblement les mêmes que chez nous.

Dont la principale, soit celle qui vante les mérites du fluor dans l’eau pour contrer les caries dentaires, notamment chez les tout-petits. Moins de caries, mais aussi plus de chances de voir se développer des maladies cérébrales et neurologiques comme la démence, voilà une transaction qui n’est pas équitable, croient plusieurs chercheurs.

C’est l’opinion de Doug Cross, qui lance en conclusion : « Le problème va au-delà d’une histoire de plombages, car une exposition massive au fluor peut entraîner des problèmes dentaires. De plus, comme il est avancé qu’un tiers de nos personnes âgées de plus de 65 ans mourront d’Alzheimer, ajouter un risque supplémentaire est simplement fou ».

Pendant ce temps, au Québec, le dossier a littéralement sombré dans l’oubli.

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Une nouvelle étude met en garde contre la cigarette électronique

Les avis sont partagés en ce qui concerne la fameuse cigarette électronique nouvellement arrivée sur le marché.

Cette méthode fait en effet pas mal jaser, puisque plusieurs personnes disent s’en méfier. D’autres, cependant, croient que peu importe ses effets à court et à long terme, rien ne peut être pire que la vraie cigarette.

Mais voilà, selon une étude rapportée par Top Santé, la cigarette électronique pourrait elle aussi s’avérer cancérigène, et plusieurs de ses composantes laissent les spécialistes perplexes.

Selon l’étude, initialement publiée par le magazine 60 Millions de Consommateurs, certaines marques seraient peu recommandables et contiendraient plusieurs agents nocifs, à l’image de la cigarette.

L’étude avance que « dans trois cas sur dix, pour des produits avec ou sans nicotine, les teneurs en formaldéhyde (couramment appelé formol) relevées flirtent avec celles observées dans certaines cigarettes traditionnelles ». Le problème, c’est qu’on ne mentionne pas lesquelles.

Déplorant le manque de transparence des fabricants, les enquêteurs et auteurs de l’étude croient que les consommateurs doivent demeurer vigilants.

On suggère notamment le timbre de nicotine pour arrêter de fumer, de plus en plus efficace, selon une majorité d’utilisateurs.

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De plus en plus d’appuis à la légalisation de la marijuana

<On sent que le vent est en train de tourner lorsqu’il est question de l’épineux et controversé dossier de la légalisation de la marijuana, alors que plusieurs appuis de taille s’accumulent depuis un certain temps.

Et on ne parle pas de simples amateurs de cannabis, mais plutôt d’éminents spécialistes, de médecins et de politiciens.

On se rappelle des commentaires récents de Justin Trudeau, chef du parti libéral du Canada et aspirant au titre de premier ministre canadien, quant à regarder avec attention la possibilité de légaliser la marijuana.

Plusieurs autres avant lui ont risqué de tels propos, et quelques États américains sont même passés de la parole aux actes lors de la dernière élection générale.

C’est maintenant au tour du Dr Sanjay Gupta, de CNN, de pencher en faveur de la légalisation, rapporte le Daily Mail (UK). Pourtant, le célèbre praticien s’était pourtant montré réfractaire à l’idée jusqu’à tout récemment…

Il mentionne un risque de dépendance plus faible qu’initialement démontré, des bénéfices médicaux actuellement marginalisés, et un manque de renseignements en général sur la question.

De plus, tout comme Trudeau, Gupta mentionne la question financière…. car une légalisation signifierait des gains substantiels pour les gouvernements.

Le Dr Sanjay Gupta propose un documentaire sur le sujet, présentement disponible sur CNN et au www.cnn.com.

sent que le vent est en train de tourner lorsqu’il est question de l’épineux et controversé dossier de la légalisation de la marijuana, alors que plusieurs appuis de taille s’accumulent depuis un certain temps.

Et on ne parle pas de simples amateurs de cannabis, mais plutôt d’éminents spécialistes, de médecins et de politiciens.

On se rappelle des commentaires récents de Justin Trudeau, chef du parti libéral du Canada et aspirant au titre de premier ministre canadien, quant à regarder avec attention la possibilité de légaliser la marijuana.

Plusieurs autres avant lui ont risqué de tels propos, et quelques États américains sont même passés de la parole aux actes lors de la dernière élection générale.

C’est maintenant au tour du Dr Sanjay Gupta, de CNN, de pencher en faveur de la légalisation, rapporte le Daily Mail (UK). Pourtant, le célèbre praticien s’était pourtant montré réfractaire à l’idée jusqu’à tout récemment…

Il mentionne un risque de dépendance plus faible qu’initialement démontré, des bénéfices médicaux actuellement marginalisés, et un manque de renseignements en général sur la question.

De plus, tout comme Trudeau, Gupta mentionne la question financière…. car une légalisation signifierait des gains substantiels pour les gouvernements.

Le Dr Sanjay Gupta propose un documentaire sur le sujet, présentement disponible sur CNN et au www.cnn.com.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Un lien est tracé entre des cas de leucémie et la proximité des raffineries

Habiter près d’une usine ou d’une raffinerie comporte ses risques, on s’en doute, notamment en ce qui concerne la possible contamination de l’air et de l’eau.

Beaucoup de médecins vous le diront : la proximité de ces entreprises fait monter les cas de cancer des citoyens environnants, mais il est toujours difficile de prouver une cause à effet.

Santé Log rapporte toutefois une étude concluante sur le sujet, une recherche effectuée par des chercheurs de l’Université d’Emory, située à Atlanta.

L’étude, publiée dans la revue Cancer, trace un lien entre les raffineries et plusieurs cas de leucémie, soit de cancer du sang, et cherche à sensibiliser les autorités et la population aux risques inhérents de ces zones « critiques ».

L’étude se base notamment sur des données enregistrées entre 1999 et 2008 dans l’État de la Géorgie, aux États-Unis, qui démontrent une hausse des cas de cancer chez les personnes habitant près d’une raffinerie.

Même si les chercheurs impliqués admettent que des recherches plus poussées doivent être effectuées, on presse les autorités d’agir et les citoyens de se sensibiliser.

On parle d’un risque réduit de cancer de 0,31 % par 1,6 kilomètre de distance supplémentaire entre une résidence et une raffinerie.

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Les dossiers médicaux numériques pour réduire les coûts

Une nouvelle étude confirme une réduction de coûts possible pour les systèmes de santé grâce à la numérisation des dossiers médicaux.

C’est la conclusion proposée par les chercheurs de l’Université du Michigan et rapportée par The National Library of Medicine. Julia Adler-Milstein était en tête de ce projet.

La première analyse parle d’une réduction des frais de l’ordre de 5 $ par patient, par mois, après l’instauration d’un système électronique des dossiers médicaux.

« Je crois qu’il y a plusieurs raisons de croire que nos analyses vont s’avérer exactes », lance Adler-Milstein.

Le gouvernement américain s’était déjà engagé à offrir 30 milliards de dollars pour la numérisation des dossiers médicaux, une décision qui serait excellente si on se base sur les résultats de la présente recherche.

Le Québec voulait également emprunter cette voie, ce qui n’est toujours pas écarté, mais il a connu des problèmes majeurs depuis la première tentative.

nouvelle étude confirme une réduction de coûts possible pour les systèmes de santé grâce à la numérisation des dossiers médicaux.

C’est la conclusion proposée par les chercheurs de l’Université du Michigan et rapportée par The National Library of Medicine. Julia Adler-Milstein était en tête de ce projet.

La première analyse parle d’une réduction des frais de l’ordre de 5 $ par patient, par mois, après l’instauration d’un système électronique des dossiers médicaux.

« Je crois qu’il y a plusieurs raisons de croire que nos analyses vont s’avérer exactes », lance Adler-Milstein.

Le gouvernement américain s’était déjà engagé à offrir 30 milliards de dollars pour la numérisation des dossiers médicaux, une décision qui serait excellente si on se base sur les résultats de la présente recherche.

Le Québec voulait également emprunter cette voie, ce qui n’est toujours pas écarté, mais il a connu des problèmes majeurs depuis la première tentative.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Se protéger soi-même contre les erreurs médicales par la proactivité

The National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

he National Library of Medicine publie une liste de recommandations qui s’applique parfaitement à la population québécoise. Elle traite des mesures et des moyens à prendre pour prévenir le plus possible les erreurs médicales.

On le sait, le Québec est secoué par une crise de la santé depuis quelques années, son système n’ayant pas toutes les ressources et le personnel nécessaires.

De plus, le personnel présentement en place est souvent surutilisé, et donc fatigué, ce qui ouvre la voie à des erreurs de tout acabit en centre hospitalier.

Bien qu’il soit impossible de prévenir complètement ce type d’erreur, et ce, peu importe la zone géographique, l’association américaine propose d’abord de bien renseigner votre médecin traitant de votre historique médical, de vos allergies ainsi que de vos habitudes de consommation alimentaire et de médicaments (prescrits ou en vente libre).

Bref, ne gardez aucun renseignement par timidité, et l’on suggère de choisir son hôpital lorsque la situation le permet. Soyez alertes et documentez-vous auprès de sources et d’organisations de la santé fiables.

Un comportement proactif et responsable permet de donner une longueur d’avance au personnel médical qui vous traite et d’ainsi minimiser les chances d’erreurs médicales.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Fluor dans l’eau potable au Québec : le dossier crée la polémique

Radio-Canada rapporte que la Direction de la santé publique du Québec entend fluorer l’eau des Québécois (à tout le moins de la moitié) d’ici quelques années, et ainsi faire passer le taux de fluor dans l’eau courante de 3 % à plus de 10 %!

50 % dans certains endroits, même, peut-on lire dans le reportage, ce qui en fait sourciller plus d’un.

Et pour cause, croient les gens de chez Eau Secours, qui appellent la population à se mobiliser face à cette décision controversée.

On explique d’abord que Québec va tenter de convaincre la population d’appuyer la mesure, cette dernière ayant donc vraisemblablement un droit de parole sur le sujet. Les élections municipales du 3 novembre prochain semblent également un point pivot afin de trancher la question.

Une question d’ailleurs soulevée par des prétextes qui peuvent semer la consternation, à commencer par les notions de « santé dentaire » et de « rentabilité » avancée par le gouvernement.