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Alcool et marijuana : une consommation transmise de génération en génération

Une nouvelle étude sur les risques intergénérationnels en matière de dépendance aux drogues et à l’alcool estime que la consommation est une habitude qui peut être transmises aux générations suivantes, rapporte Top Santé.

Tout comme les bonnes habitudes et les bons exemples, les mauvais sont aussi calqués par les enfants, et il semble que ce soit particulièrement vrai dans le cas de l’alcool et des drogues douces comme le cannabis.

L’étude américaine sondait près de 2000 parents et leurs enfants, demandant à ces derniers de remplir des questionnaires concernant leurs habitudes quant à l’alcool et au cannabis.

Le résultat est clair pour les chercheurs de la Sam Houston State University, Dre Kelly Chevalier en tête, et démontre que les risques sont nettement plus élevés pour les enfants de parents consommateurs et adeptes de ces drogues douces d’en faire eux-mêmes l’expérience sur une base régulière dans le futur.

On parle d’un risque cinq fois plus grand en matière d’alcool et deux fois plus grand concernant la marijuana, comparativement aux enfants de parents qui n’en consomment pas.

« Cette étude est unique et rare. Elle prédit l’usage de la substance sur plusieurs générations. Cette relation identifiée entre les générations peut fournir des informations importantes sur l’impact du comportement des parents dans l’adolescence et l’âge adulte de l’enfant », mentionne Dre Chevalier.

Les chercheurs croient donc qu’il est important pour les parents de revoir leurs habitudes à l’arrivée des enfants, ou de s’assurer de s’adonner aux vices des drogues douces et de l’alcool dans le plus grand secret, si absolument nécessaire.

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Une approche douce pour la concentration en classe

Les premiers essais sont déjà en cours. La responsable, Karrie Swan, est une thérapeute à la Kansas State University, spécialisée chez les enfants et adolescents. L’approche utilisée se nomme Mindfulness (ou technique de l’esprit conscient). Elle est très efficace chez les adultes stressés et anxieux.

Cependant, Swan a découvert que la réponse chez les enfants et adolescents, spécialement chez ceux qui sont stressés et anxieux, est quasi miraculeuse.

« L’objectif de cette approche consiste à recentrer sa conscience sur le moment présent. On dirige ainsi toute son attention sur ses pensées et émotions, et la pleine conscience permet d’arrêter le flux des pensées automatiques et récurrentes. On élimine ainsi l’inattention et les processus inconscients. »

« En ce moment, il y a déjà quelques écoles en Californie qui ont mis en place cette pratique et qui récoltent des données », confirme Karrie Swan.

Medicalxpress rapporte qu’il s’agit d’une thérapie de rêve, tant pour les enfants que pour les professeurs. On relève déjà des informations voulant que les étudiants réussissent mieux, soient moins stressés et plus concentrés. Quant aux professeurs, on confirme que le stress diminue grandement, entrainant une diminution marquée de tempéraments dépressifs ou anxieux.

Vivement l’instauration d’un tel programme dans toutes les écoles! Une approche thérapeutique plus efficace que la médication, enfin!

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Des herbes très dangereuses pour la santé liées à des cas de cancer

De plus en plus de gens se tournent vers les médecines alternatives pour tenter d’enrayer des problèmes de santé, mais certains produits seraient hautement dangereux pour la santé, rapporte www.nlm.nih.gov.

C’est le cas des herbes qui contiennent de l’acide aristolochique, comme le Fang Chi.

Ce n’est pas la première fois que les agences de santé mettent la population en garde contre ce genre de produit. Une vaste campagne de sensibilisation avait été lancée en 2001, 2003 et 2005 au Canada et aux États-Unis, après que des tests aient révélé les dangers reliés à l’utilisation de produits contenant de l’acide aristolochique.

Cette fois, une étude taïwanaise vient mettre le clou final au débat, alors qu’elle conclut que des cas de cancers de la vessie et des reins sont directement liés à la prise de ces herbes. Plus précisément, l’étude parle de cas recensés chez des herbalistes et homéopathes qui ont été en contact direct et fréquent avec ces produits, dont le Fang Chi.

Le deux tiers des personnes au nombre des cas recensés étaient des femmes.

Plusieurs produits contenant de l’acide aristolochique sont toujours vendus en magasins en Asie, et les spécialistes tiennent mordicus à l’implantation de lois plus strictes pour en freiner la vente.