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Cinéma

Une deuxième bande-annonce pour Ant-Man

Alors que les réactions face à la première bande-annonce d’Ant-Man demeurent mitigées, Marvel en dévoile une deuxième.

Force est d’admettre que ce nouvel aperçu est nettement plus convaincant que le premier. De plus, celui-ci met davantage l’emphase sur le ton plus humoristique d’Ant-Man par rapport aux autres films de l’univers Marvel.

« Notre premier geste devrait être d’appeler les Avengers », lance notamment Paul Rudd dans la deuxième bande-annonce du film. Rudd incarne dans Ant-Man l’antihéros Scott Lang, qui deviendra par la suite l’homme-fourmi.

Le film met en vedette Michael Douglas dans le rôle du scientifique Hank Pym, et Evangeline Lilly dans le rôle de sa fille.

Corey Stoll, Bobby Cannavale, Michael Peña, Judy Greer, David Dastmalchian, Wood Harris, Gregg Turkington, T.I. et John Slattery sont également tous du générique d’Ant-Man.

Le film réalisé par Peyton Reed arrive en salles le 17 juillet prochain.

Découvrez la deuxième bande-annonce officielle d’Ant-Man

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Potins

Michael Douglas gêné de ses propos de 2013

L’acteur de 71 ans Michael Douglas est encore l’un des préférés des amateurs de cinéma, malgré l’épisode de 2013 où il avait affirmé qu’une maladie transmise sexuellement était à l’origine de son cancer.

Dans une entrevue récente accordée à Event Magazine, Douglas revient sur ces propos qui avaient fait beaucoup de bruit à l’époque. Il regrette surtout les problèmes causés à sa compagne Catherine Zeta-Jones et à sa famille après avoir déclaré une telle fausseté.

«J’essayais de dire qu’il existait un virus transmissible nommé VPH, qu’il existe une vaccination que les enfants peuvent recevoir avant de devenir actifs sexuellement, et que le VPH causait certains cancers, comme celui du cerveau, de la langue et de la gorge. J’essayais simplement de faire une annonce d’intérêt public», explique Douglas, visiblement mal à l’aise de la situation créée il y a deux ans.

Photo : BANG/BIG

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Cinéma

Une nouvelle promo pour Ant-Man

Un nouvel aperçu du film Marvel’s Ant-Man a pris la toile d’assaut au cours des dernières heures.

Il s’agit en fait d’un spot télé partagé en ligne, et qui démontre la direction choisie par le réalisateur Peyton Reed pour rendre le minuscule héros crédible à l’écran.

Paul Rudd incarne le voleur de bas étage Scott Lang, qui se voit recruté par le scientifique Hank Pym pour devenir un héros miniaturisé.

La fille de Pym contribuera elle aussi au développement de Lang, et à sa quête.

Hank Pym et sa fille, Hope Van Dyne, sont respectivement incarnés par Michael Douglas et Evangeline Lilly.

Apparemment, ce premier film pour Ant-Man serait le point de départ de l’entrée du personnage dans l’univers Marvel. En effet, Paul Rudd pourrait se retrouver dans Captain America : Civil War, notamment.

Marvel’s Ant-Man arrive en salles le 17 juillet prochain.

Découvrez la nouvelle promo pour Ant-Man

Découvrez la bande-annonce officielle d’Ant-Man

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Un premier aperçu pour Ant-Man

Un premier aperçu du très attendu film Ant-Man débarque en ligne, rapporte EmpireOnline.

 

Paul Rudd incarne dans Ant-Man le criminel Scott Lang, un homme effacé et désabusé qui se voit recruter par le génie excentrique Hank Pym.

 

Ce dernier est défendu par Michael Douglas, qui semble en pleine forme et motivé par cette performance au coeur du monde de Marvel.

 

Hank Pym recrute donc Scott Lang afin de lui offrir la chance de devenir « son » Ant-Man, un superhéros capable de changer de taille grâce à une invention de son cru.

 

Ant-Man s’annonce comme un film de superhéros intéressant, surtout par la direction empreinte de comédie du réalisateur Peyton Reed. Ce dernier utilise d’ailleurs un scénario retravaillé par Adam McKay et Paul Rudd.

 

Evangeline Lilly, Bobby Cannavale, Michael Pena, Judy Greer, Wood Harris et John Slattery font également partie de la distribution de Ant-Man.

Ant-Man arrive en salles le 17 juillet 2015.

 

Découvrez Ant-Man, avec Paul Rudd et Michael Douglas

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Cinéma

La suite de War of the Roses s’approche de la réalité

Quel cinéphile ne se souvient pas de l’incroyable performance proposée par les acteurs Michael Douglas et Kathleen Turner dans War of the Roses, un film cynique, noir, satirique et hilarant sur un couple qui vole en éclats.

Lancé en 1989, War of the Roses avait surpris les amateurs et les critiques, empochant au passage la bagatelle de 160 millions de dollars au box-office, rappelle Variety, qui rapporte également l’avancement du projet de suite.

Une suite qui s’intitulerait War of the Roses: The Children, et dont le réalisateur serait confirmé par les producteurs de Permut Presentations et de Grey Eagle Productions. Il s’agit d’Alex McAulay, qui reprendra à son tour l’œuvre de Warren Adler.

Cette seconde histoire est celle des enfants du couple Rose incarné par le duo Douglas/Turner, qui verront à leur tour leur mariage respectif voler en éclat dans une série de situations hors du commun.

Malgré l’aspect comédie et le fait que les suites de films cultes n’ont pas toujours touché la cible dans le passé, il existe ici une belle possibilité de mettre en scène des enfants du divorce et leurs difficultés à l’âge adulte, une réalité incontestable de notre époque.

War of the Roses: The Children, par ailleurs produit par Danny McBride, n’a encore aucune date de début de production confirmée.

Découvrez l’original War of the Roses, avec Michael Douglas et Kathleen Turner.

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Une étonnante banque de cerveaux

Radio-Canada, par l’entremise de Michel C. Auger, rapporte et dévoile les détails de la création d’une banque de cerveaux, un projet étonnant qui pourrait faire grandement avancer les progrès de la science et la compréhension du cerveau humain.

Située au Québec, plus précisément à l’Institut Douglas de Verdun, la banque de cerveaux dont il est question comprendrait plus de 3000 cerveaux offerts à la science. Les spécialistes croient que ce genre de projet permettra de mieux comprendre certaines maladies mentales, et d’en apprendre davantage sur le suicide, notamment.

« C’est impressionnant, franchement », lance l’invitée de Michel C. Auger à l’émission15-18, Tamara Altéresco.

Cette dernière a pu visiter les lieux et rencontrer la coordonnatrice de la banque de cerveaux montréalaise, Mme Danielle Cécyre, qui explique que de sérieuses recherches sur le suicide et les troubles dépressifs sont possibles grâce à cette initiative et aux gens qui décident de léguer leur cerveau « à la science ».

Mme Cécyre rappelle du même coup qu’un formulaire doit être dûment rempli afin de céder son cerveau aux chercheurs à la suite de son décès, et que la section au dos de la carte d’assurance-maladie ne couvre pas ce don.

D’autres banques de cerveaux existent ailleurs dans le monde, mais le phénomène demeure assez rare.

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Evangeline Lilly pressentie pour Ant-Man

Après avoir choisi Paul Rudd comme acteur principal du film Ant-Man, une belle surprise en soi, voilà que l’équipe de production pourrait frapper un autre bon coup en ce qui a trait à sa vedette féminine, rapporte EmpireOnline.

On rapporte en effet que le réalisateur d’Ant-Man, Edgar Wright, serait en discussions avec Evangeline Lilly pour son premier rôle féminin, un autre excellent choix de l’avis de plusieurs.

Après avoir brillé dans la série Lost de J.J. Abrams, Evangeline Lilly s’était faite un peu plus discrète avant de revenir au sommet de son art et de sa popularité grâce à son rôle de Tauriel dans la nouvelle trilogie de Peter Jackson, The Hobbit.

Il faut bien avouer qu’Edgar Wright a du flair et du goût en matière d’acteurs, car les choix déjà confirmés de Paul Rudd, Michael Douglas et Michael Pena, font presque l’unanimité des observateurs. D’autres noms restent à confirmer, mais l’ajout d’Evangeline Lilly serait certainement un autre facteur d’intérêt pour le public et les fans de cette dernière, qui sont nombreux.

Il faudra patienter jusqu’au mois d’avril prochain pour avoir plus de détails concernant Ant-Man, alors que le tournage s’amorcera officiellement.

Edgar Wright viserait ainsi le 17 juillet 2015 pour la sortie de son nouveau film.

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Soirée de surprises aux Golden Globes 2014

Plusieurs experts et devins du cinéma ont mordu la poussière hier soir (12 janvier), alors que la soirée des Golden Globes Awards 2014 a été fertile en rebondissements et en surprises, rapportent Digital Spy et EmpireOnline, notamment.

Leonardo DiCaprio qui remporte un prix pour Meilleur acteur dans une comédie, American Hustle qui « coiffe » au poteau plusieurs de ses rivaux en remportant trois statuettes, et Matthew McConaughey qui se voit finalement récompensé pour son travail dans Dallas Buyers Club avec le prix du Meilleur acteur dans un drame, tout comme son acolyte Jared Leto pour Meilleur acteur de soutien, voilà quelques-uns des moments forts de la soirée.

American Hustle a donc « dominé » la soirée qui fut partagée, remportant le prix du Meilleur film pour une comédie, alors que les deux muses du film, Amy Adams et Jennifer Lawrence, ont raflé les prix récompensant les actrices dans la même catégorie.

David O. Russell s’est toutefois incliné dans les catégories du Meilleur réalisateur et du Meilleur scénario, respectivement aux mains d’Alfonso Cuaron (Gravity) et Spike Jonze (Her).

Après une soirée forte en émotions pour l’équipe de 12 Years A Slave, qui n’avait rien remporté jusque-là, le réalisateur Steve McQueen est finalement monté sur scène pour recevoir le prix du Meilleur film pour un drame.

Cate Blanchett a été récompensée pour son travail dans Blue Jasmine, et même chose pour Michael Douglas dans Behind The Candelabra.

Nebraska, Captain Phillips, Inside Llewyn Davis, Philomena et Rush ont tous été écartés de la course, à la surprise générale.

Tina Fey et Amy Poehler assuraient l’animation de la soirée encore cette année, un défi relevé avec succès malgré quelques ratés au cours de la soirée, qui s’est avérée somme toute fort divertissante. 

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Catherine Zeta-Jones a ses propres problèmes, selon Michael Douglas

L’acteur vénérable et vénéré Michael Douglas confirmait il y a quelques jours à peine sa séparation de la jolie Catherine Zeta-Jones, et voilà qu’on en sait déjà davantage sur les raisons qui ont motivé ce choix.

Même si Douglas prend de l’âge et qu’il a été victime d’un cancer de la gorge, il semble que l’acteur soit toujours aussi enclin aux activités sociales et mondaines, ce qui ne serait pas le cas de son épouse.

Catherine Zeta-Jones aimerait mieux la vie à la campagne que la vie urbaine. Elle aime bien passer du temps seule à la maison ou encore sur un terrain de golf.

De plus, ses problèmes de bipolarité, qui ont mené à deux hospitalisations, auraient également pesé dans la balance. En bref, les deux acteurs auraient commencé à s’éloigner depuis quelque temps, un fait cristallisé par le cancer de Douglas, selon Catherine Zeta-Jones elle-même.

« Je n’avais jamais eu à gérer une situation comme ça avant. Je n’ai pas été aussi forte que j’aurais cru l’être. »

Elle Canada rapporte également les propos d’une source près de Douglas, qui lance candidement : « C’est stressant. Il l’aime, mais elle a ses propres problèmes ».

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Le VPH peut vraiment mener au cancer de la gorge, concluent des experts

Les déclarations récentes de Michael Douglas, voulant que le VPH et des relations sexuelles orales auraient mené à son cancer de la gorge, ont fait le tour du monde et jeté de la lumière sur un phénomène que l’on croyait peu probable.

Même si l’acteur s’est par la suite ravisé et a tenté de minimiser l’impact de ses propos, il n’en demeure pas moins qu’une bonne partie de la population s’est subitement sensibilisée au phénomène.

Après des mois de tergiversations, voilà que des spécialistes britanniques confirmeraient le lien entre le VPH et les risques de développer un cancer de la gorge, rapporte le Daily Mail (UK).

Les spécialistes d’Oxford se sont penchés sur le fameux VPH16, une souche qui pourrait mener au cancer.

Ils concluent dans leur rapport que 7 femmes sur 100 et 23 hommes sur 100, non-fumeurs et atteints du VPH, vont développer un cancer découlant de cette souche de la maladie transmissible sexuellement.

Cependant, on avance que les patients atteints de ce cancer découlant du VPH auraient plus de chances d’y survivre que ceux qui le développent « naturellement ».