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Potins

Leonard Nimoy emmené d’urgence à l’hôpital

Le légendaire Leonard Nimoy, acteur fétiche de la saga Star Trek, a été transporté d’urgence à l’hôpital, rapporte TMZ.

L’interprète de Spock aurait souffert de violentes douleurs à la poitrine, ce qui aurait fait craindre pour sa vie.

L’acteur de 83 ans a été emmené d’urgence au UCLA Medical Center de Los Angeles par ambulance.

Leonard Nimoy souffre d’une maladie pulmonaire obstructive, et sa condition se serait donc détériorée au cours des derniers jours.

Il avait récemment mis en garde les fumeurs contre les problèmes éventuels liés au tabagisme, lui qui a cessé de fumer il y a pourtant trente ans.

« Je vais bien, je ne peux juste plus marcher de longues distances. J’ai cessé de fumer il y a trente ans. Pas assez tôt. Grand-papa vous dit : « Quittez maintenant (la cigarette)! », avait alors déclaré le sympathique acteur.

L’état de santé de Leonard Nemoy est pour le moment considéré stable.

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Sport et Santé

Le tabac, un facteur déterminant des douleurs menstruelles chroniques

Dans une étude d’envergure sur la santé des femmes australiennes, 9067 jeunes femmes de 18 à 23 ans ont accepté de participer. Elles devaient remplir un questionnaire aux 3 ou 4 ans, pendant une période de 12 ans (2000-2012).

On tenait en considération leur cycle menstruel et les douleurs associées, ainsi que les habitudes de consommation du tabac, rapporte Top Santé.

Au terme de la recherche, il a été démontré que lorsque les femmes avaient commencé à fumer à l’adolescence, surtout avant 13 ans, elles étaient plus susceptibles d’avoir des douleurs menstruelles chroniques et sévères.

Parmi les résultats, les spécialistes ont noté que 23 % des non-fumeuses avaient déjà eu ce type de crampes. Chez les fumeuses, ce taux grimpait à 29 %.

Quant aux femmes qui avaient commencé à fumer avant 13 ans et qui étaient toujours fumeuses à la fin de l’étude, le risque était accru de 60 %, comparativement aux non-fumeuses.

Les résultats ont été publiés dans la revue Tobacco Control.

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Bébé et cie

Voici comment diminuer les douleurs de l’accouchement naturellement

Selon Top Santé, les femmes qui ont déjà un apport suffisant en vitamine D auraient un moins grand besoin d’antidouleurs lorsqu’elles donnent naissance à leur enfant.

Pour la recherche des experts du Cedars-Sinai Medical Center de Los Angeles, le suivi de 93 femmes a été suffisant pour établir cette corrélation. Moins la vitamine D était présente dans le sang, plus grande était la quantité d’antidouleurs requise par la future mère.

Le Dr Andrew Geller explique que cette vitamine semble simplement diminuer la douleur. « Les femmes ont souvent des taux faibles de vitamine D pendant la grossesse. Nous avons constaté que les patientes ayant un niveau faible de vitamine D ont connu une augmentation de la douleur lors de l’accouchement. »

Le site rappelle par ailleurs que la vitamine D est essentielle pour les os et agit à titre préventif sur les maladies cardiovasculaires.

Celle-ci se retrouve principalement dans le saumon et les autres poissons gras, ainsi que dans les œufs (le jaune). Notre corps en fabrique également en grande quantité lorsque nous nous exposons au soleil.

On met les gens en garde contre l’utilisation de suppléments, qui doit se faire avec l’accord du médecin traitant.

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Une douleur chronique peut-elle être psychologique?

Les psychologues pensent autrement. Il existe un lien entre la douleur chronique et le psychique, ce qui ne signifie pas pour autant que les gens s’imaginent qu’ils souffrent.

On peut lire les commentaires de Martine Derzelle, psychologue-psychanalyste, dans Le Figaro : « C’est l’histoire de la poule et de l’œuf. Un patient douloureux est-il déprimé à cause de sa douleur ou celle-ci est-elle d’autant plus lancinante qu’il est déprimé? » Derzelle avoue que « le sens psychologique d’une douleur est très technique ».

Pour le psychologue clinicien Frederick Dionne, auteur québécois du livre Libérez-vous de la douleur par la méditation, les pensées réactionnelles proviennent fréquemment de l’anxiété et la colère.

La douleur chronique « peut » être dans votre tête, mais pas au sens qu’elle n’existe pas. Au contraire, une souffrance physique pourrait être le fruit d’une incapacité à mettre en mots une souffrance psychologique.

Pour les douleurs chroniques, psychologiques ou non, Dionne encourage à suivre la thérapie ACT (d’acceptation et d’engagement). Parce qu’il ne faut pas chercher de traitement miraculeux, mais aussi apprendre à vivre avec la douleur.

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Les légumes interviennent pour vos maux de dos

Everydayhealth.com vous donne quelques conseils pour éviter « d’alimenter » votre douleur au dos. Le Dr John Spallino, de l’Institut Laser Spine en Floride, mentionne qu’une diète anti-inflammatoire devrait faire partie d’une alimentation équilibrée.

Basez votre régime alimentaire sur des plantes, incluant le lin et les graines de chia, en les combinant aux oméga-3 (saumon, maquereau, sardines, hareng, morue noire, thon et truite).

Le nutritionniste Neil E. Levin ajoute que « les aliments naturellement pigmentés sont essentiels à une diète anti-inflammatoire ».

Vous devrez donc consommer des carottes, betteraves et patates douces pour les légumes, et des cerises, fruits des champs, raisins (et vin rouge), grenade et melon d’eau pour les fruits.

À vos plats, ajoutez les assaisonnements suivants : basilic, cannelle, gingembre, romarin, ail, curcuma, oignons et origan.

Entre les repas, n’oubliez pas de boire de bons thés de qualité (vert, oolong et blanc).

Finalement, Dr Spallino recommande d’ajouter de l’huile d’olive et des légumes verts pour la colonne vertébrale et le cartilage.

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Les légumes interviennent pour vos maux de dos

Everydayhealth.com vous donne quelques conseils pour éviter « d’alimenter » votre douleur au dos. Le Dr John Spallino, de l’Institut Laser Spine en Floride, mentionne qu’une diète anti-inflammatoire devrait faire partie d’une alimentation équilibrée.

Basez votre régime alimentaire sur des plantes, incluant le lin et les graines de chia, en les combinant aux oméga-3 (saumon, maquereau, sardines, hareng, morue noire, thon et truite).

Le nutritionniste Neil E. Levin ajoute que « les aliments naturellement pigmentés sont essentiels à une diète anti-inflammatoire ».

Vous devrez donc consommer des carottes, betteraves et patates douces pour les légumes, et des cerises, fruits des champs, raisins (et vin rouge), grenade et melon d’eau pour les fruits.

À vos plats, ajoutez les assaisonnements suivants : basilic, cannelle, gingembre, romarin, ail, curcuma, oignons et origan.

Entre les repas, n’oubliez pas de boire de bons thés de qualité (vert, oolong et blanc).

Finalement, Dr Spallino recommande d’ajouter de l’huile d’olive et des légumes verts pour la colonne vertébrale et le cartilage.

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La meilleure façon de traiter la douleur et la fièvre chez les tout petits

Il n’y a pas de miracle pour guérir la fièvre, mais quelques étapes importantes pour aider votre enfant à se sentir mieux, rappelle Female First.

Offrez-lui souvent à boire. Les virus détestent l’humidité. Vous aiderez à guérir l’infection si votre enfant boit beaucoup d’eau, de jus et de bouillon de poulet.

Les médicaments. Sans en abuser, mieux vaut tout de même en donner. L’acétaminophène ou l’ibuprofène pour enfants aident à diminuer la fièvre et par le fait même la douleur qui l’accompagne.

Le repos est essentiel. Le corps doit retrouver son énergie et la meilleure façon est de se reposer.

Utilisez un humidificateur. Il offrira, dans la chambre de votre enfant, un degré d’humidité qui réduira entre autres la congestion nasale et la toux.

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Les hommes et les femmes auraient la même tolérance à la douleur

Une nouvelle étude démontre, contrairement à de précédentes recherches, que les femmes ne sont pas plus résilientes quant à la douleur. La résilience représente la capacité à s’adapter dans un contexte difficile.

La recherche s’est basée sur 190 hommes et 210 femmes qui souffraient d’une douleur chronique du dos au niveau de la colonne vertébrale.

« Les gens plus résilients sont portés à accepter leur douleur », informe Carmen Ramirez-Maestre. « Ils comprennent que leur douleur est chronique et cessent de concentrer leurs efforts à la faire disparaître, et la dirige plutôt pour améliorer leur qualité de vie. »

En ce sens, indique Ramirez, les patients qui acceptent leur condition, homme ou femme, « ont tendance à ressentir moins de douleur, à demeurer plus actifs sur une base quotidienne et être de meilleure humeur ».

La principale raison d’une douleur ressentie de façon plus aiguë chez l’un ou chez l’autre, rapporte Science World Report, est souvent la crainte qui l’accompagne.

L’étude a été publiée dans The Journal of Pain.

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Le sport a un pouvoir analgésique

Le sport a un effet analgésique pendant qu’il est pratiqué, mais qu’en est-il de la pratique régulière d’une activité physique sur la douleur avant ou après un entraînement?

Selon une expérience dont les résultats sont parus dans la revue Medicine & Science in Sports & Exercise, la pratique régulière d’un sport rend les gens moins fragiles à la douleur.

Des chercheurs de l’Université de New South Wales et du Neuroscience Research Australia à Sydney ont testé la sensibilité face à la douleur de 24 candidats en bonne santé, mais inactifs, divisés en deux groupes.

À la demande des scientifiques, l’un des groupes s’est mis à faire du sport sur une durée de six semaines. Ceux-ci, par la suite, se sont avérés plus tolérants que le groupe qui est demeuré inactif.

En se servant d’un appareil pressant la peau et d’un brassard à tension qui gonfle graduellement, il est ressorti que les sportifs résistaient à une plus forte pression que les autres.

Le sport démontre dorénavant ses effets bénéfiques sur la douleur, alors qu’il est déjà réputé pour aider à contrer les maladies cardiovasculaires, améliorer le système immunitaire et éloigner le stress ou la dépression, écrit Top Santé.

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Trouvez réponse à vos questions concernant l’allaitement

Top Santé vous donne un aperçu des réponses à quelques questions inévitables.

Quand donner le sein?

La première fois que vous donnerez le sein sera idéalement dans les deux heures suivant la naissance de votre enfant. N’hésitez pas à demander l’aide de la sage-femme ou l’infirmière.

Par la suite, contrairement à autrefois, on donne le sein quand l’enfant le demande. Plutôt qu’aux 2 ou 3 heures, le Programme national nutrition santé (PNNS) recommande même l’allaitement « sans limiter le nombre de tétées ni leur durée ».

La quantité de lait

La prise de poids du bébé et le contenu de la couche (urine et selles) sont de bons indicateurs pour déterminer s’il boit suffisamment de lait. S’il pleure souvent ou semble toujours affamé, il se peut que la technique d’allaitement doive être ajustée, ou que la quantité de lait soit insuffisante.

Si vous tirez votre lait, il doit être conservé au réfrigérateur (utilisé dans les 24 heures) ou au congélateur (3 mois).

La douleur

Il est normal d’avoir des douleurs pendant l’allaitement pendant la première semaine (jusqu’à 8 jours). Pour éviter les crevasses sur les mamelons, vous pouvez les hydrater avec quelques gouttes de votre lait ou des crèmes spécialisées.