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Péridurale ou non?

Bien qu’elle soit une pratique courante, certaines femmes refusent encore d’avoir recours à la péridurale pour donner naissance à leur enfant.
 
Cette piqûre dans le bas du dos permet instantanément d’éliminer les douleurs causées par les contractions. Cela demeure toutefois le choix de chaque femme, car personne n’est égal face à la douleur.
 
Selon Famili, certaines femmes choisissent volontairement de ne pas avoir cette anesthésie locale pour vivre un accouchement totalement naturel, mais il existe effectivement certaines contre-indications, comme dans le cas où la femme souffre de scoliose, de troubles de coagulation sanguine, d’infections cutanées ou même de fièvre le jour de l’accouchement. Dans certains cas, comme pour des jumeaux, il se peut qu’on vous impose la péridurale.
 
Les bénéfices contre la douleur sont réels, par contre, l’envie de pousser est souvent atténuée avec cette piqûre et l’accouchement peut également se prolonger. De plus, la mère peut souffrir de maux de tête dans les 48 heures qui suivent son accouchement.
 
N’ayez crainte, la péridurale ne vous paralysera pas et est sans danger pour le bébé. Cela demeure donc un choix personnel à chaque femme, sauf dans le cas où les médecins jugeront qu’elle serait réellement indispensable.
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Il est maintenant possible de mesurer la douleur

Jusqu’ici, la douleur ne pouvait être mesurée. Elle était non quantifiable et spécifique pour chaque individu, donc subjective.
 
Une étude de l’Institut dentaire King’s College de Londres a toutefois réussi à mesurer l’intensité de la douleur en analysant de façon différente les numérisations de l’imagerie par résonnance magnétique fonctionnelle (IRMF) avec le marquage spin artériel. Cette technique permet de mesurer la quantité de sang oxygéné dans certaines zones du cerveau.
 
Pour cette étude, les scientifiques ont analysé le cerveau de 16 personnes qui se faisaient arracher les dents de sagesse. Les IRMF démontraient des zones spécifiques du cerveau qui chauffaient, ce qui avait un lien direct avec la douleur.
 
C’est la toute première fois que l’on parvient réellement à mesurer l’intensité de la douleur chez des individus. Cela pourrait mener à différentes techniques médicales pour soigner les malades dans le futur.
 
Des études plus poussées seront entamées prochainement sur le sujet.
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La méditation zen pour contrer la douleur

Une équipe de l’Université de Montréal affirme que la méditation permet de réduire la douleur.
 
Pour l’étude, on a recruté 17 personnes adeptes de la méditation et 18 qui ne l’avaient jamais pratiqué. Une plaque chaude a été pressée sur les mollets des participants. On augmentait graduellement la chaleur jusqu’au seuil de tolérance de chacun ou jusqu’à un maximum de 53 degrés Celsius (la limite avant la brûlure).
 
Les personnes méditant régulièrement ont atteint 50 degrés, même 53 dans certains cas, alors que les non-adeptes ont atteint 48 degrés Celsius.
 
En observant le cerveau des personnes qui méditent régulièrement, on a constaté que leurs fibres nerveuses dans certaines zones étaient beaucoup plus épaisses que chez les autres personnes. Cela augmente la résistance à la douleur. De plus, cela aurait des effets contre le vieillissement, car les connexions entre les neurones sont également plus nombreuses.
 
Des études approfondies seront faites prochainement afin de confirmer que la structure du cerveau change en se concentrant longtemps et régulièrement. Si le tout se confirme, cela pourrait ouvrir la voie à de nouvelles thérapies.
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Le venin de scorpion pour soulager la douleur

TopSanté rapporte qu’une nouvelle étude, dirigée par le professeur Michael Gurevitz de l’Université de Tel-Aviv en Israël, mentionne que le venin de scorpion pourrait servir à soulager les douleurs. L’idée n’est peut-être pas emballante pour le commun des mortels, mais elle est pourtant bien sérieuse.
 
Jusqu’ici, le venin de scorpion était considéré comme un puissant poison. Maintenant, il pourrait être une alternative à la morphine et autres analgésiques qui provoquent de fortes dépendances.
 
« Les toxines de peptide trouvées dans le venin de scorpion interagissent avec les canaux de sodium présents dans les systèmes nerveux et musculaire, dont certains communiquent la douleur. Si nous parvenons à comprendre comment ils interagissent, nous serons capables de modifier ces toxines et de les rendre plus puissantes en fonction de la douleur. Il serait ainsi possible de créer de nouveaux analgésiques n’ayant aucun effet secondaire », déclare le professeur Gurevitz.
 
Ce dernier travaille avec une équipe de scientifiques afin de développer ce nouveau genre d’analgésique afin de soulager les patients avec un produit ne causant pas de dépendance.
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Le venin de scorpion pour soulager la douleur

TopSanté rapporte qu’une nouvelle étude, dirigée par le professeur Michael Gurevitz de l’Université de Tel-Aviv en Israël, mentionne que le venin de scorpion pourrait servir à soulager les douleurs. L’idée n’est peut-être pas emballante pour le commun des mortels, mais elle est pourtant bien sérieuse.
 
Jusqu’ici, le venin de scorpion était considéré comme un puissant poison. Maintenant, il pourrait être une alternative à la morphine et autres analgésiques qui provoquent de fortes dépendances.
 
« Les toxines de peptide trouvées dans le venin de scorpion interagissent avec les canaux de sodium présents dans les systèmes nerveux et musculaire, dont certains communiquent la douleur. Si nous parvenons à comprendre comment ils interagissent, nous serons capables de modifier ces toxines et de les rendre plus puissantes en fonction de la douleur. Il serait ainsi possible de créer de nouveaux analgésiques n’ayant aucun effet secondaire », déclare le professeur Gurevitz.
 
Ce dernier travaille avec une équipe de scientifiques afin de développer ce nouveau genre d’analgésique afin de soulager les patients avec un produit ne causant pas de dépendance.
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Les massages bons contre la douleur

Selon la revue Mayo Clinic Women’s HealthSource, personne ne devrait sous-estimer l’importance des massages pour traiter la douleur de manière sûre et efficace.

Les bienfaits du massage sont déjà connus. Nous savons qu’il agit sur la douleur, les muscles endoloris ou gonflés, qu’il améliore la circulation, la flexibilité des articulations et les mouvements.

Cette fois, on a prouvé son efficacité contre la douleur chronique comme les maux de dos, les migraines et même certaines douleurs causées par divers cancers.

Il existe aussi d’autres techniques de manipulation, dont le Rolfing qui améliore la posture et réaligne le corps. Les techniques Alexander et Feldenkrais sont aussi efficaces pour les problèmes de dos, car elles réévaluent la position de la tête, du cou et de la colonne vertébrale.

Par contre, les médecins affirment que les massages ne peuvent pas remplacer les médicaments antidouleur. Ils peuvent toutefois s’avérer un bon traitement complémentaire qui soulage les patients.

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Pouvoir ressentir la douleur d’autrui

Chez certaines personnes, l’empathie et la compassion sont des émotions qui arrivent rapidement devant la souffrance d’une autre personne.

On sait depuis longtemps que de voir une personne souffrir provoque une expérience émotive partagée dans le cerveau, mais jusqu’ici, rien ne pouvait prouver qu’il est aussi possible de partager une souffrance physique.

Jody Osborn et Stuart Derbyshire, deux chercheurs britanniques de l’École de psychologie de l’Université de Birmingham, se sont penchés sur la question et ont trouvé la preuve scientifique du phénomène.

108 participants ont été inscrits à l’étude. Ils ont visionné des photographies où l’on voyait des athlètes souffrir d’une blessure ou encore des gens recevoir une injection. Les chercheurs ont analysé les réactions des régions du cerveau à l’aide de l’imagerie par résonnance magnétique.

Le tiers des participants disait avoir ressenti une douleur physique au même endroit que se trouvait la blessure sur la photo. Bien que les chercheurs aient constaté une activité dans le centre émotionnel chez tous les participants, l’activité était plus intense chez ceux ayant eu une douleur physique.

Cela confirme donc que certaines personnes ont des réactions physiques et peuvent partager la douleur d’une autre personne.

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La musique est bénéfique pour le coeur

Une équipe de l’École de médecine de l’Université Harvard a analysé différentes études sur les effets de la musique chez les personnes ayant des problèmes cardiaques.

Bien qu’un nombre restreint de personnes y ait participé, les résultats demeurent très intéressants.

Après l’écoute de 30 minutes de musique, l’hypertension, les battements de cœur et l’angoisse diminuent chez les patients. À Hong Kong, on a même prescrit des séances d’écoute de 25 minutes par jour pendant 4 semaines et les résultats étaient les mêmes, la pression artérielle était à la baisse.

De plus, une musique joyeuse ou relaxante améliorerait la circulation sanguine dans le corps. On note également que l’anxiété chez les personnes ayant subi une crise cardiaque diminue grandement avec l’écoute de musique pendant vingt minutes.

Finalement, après une opération cardiaque, les personnes qui écoutent de la musique ressentent moins de douleur que les patients qui ne font que se reposer et réclament donc moins d’antidouleurs.

C’est dire que l’écoute de musique devrait donc faire partie de votre quotidien pour des questions de santé.

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Des vaccins moins douloureux

En cette période de vaccination, plusieurs ont la phobie des piqûres. Des chercheurs de l’Université de Montréal ont démontré qu’il existe un petit truc afin de réduire considérablement la sensation de douleur lors de la vaccination.

Selon les Proceedings of the National Academy of Science, les chercheurs ont affirmé qu’il existe effectivement un lien entre la douleur et nos émotions. Penser à des images agréables influence notre seuil de douleur. 

Pour l’étude, 13 personnes ont reçu une décharge électrique de faible intensité, mais douloureuse, qui provoquait des secousses mesurables dans la colonne vertébrale.

Lors de cette décharge électrique, on a présenté aux participants des images désagréables, agréables ou neutres. La réaction de leur cerveau a ensuite été mesurée avec l’imagerie par résonnance magnétique.

Les chercheurs ont distingué l’activité cérébrale reliée aux émotions et ont constaté que la douleur était plus intense avec des images désagréables qu’avec des images agréables.

Il s’agit donc d’une preuve que nos émotions régissent la douleur ressentie. Pour recevoir votre vaccin contre la grippe A (H1N1), fermez les yeux et pensez à une image agréable au moment de vous faire piquer.

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L’ibuprofène, plus efficace contre la douleur

Une étude menée par la Dre Amy Drendel, qui oeuvre au département de pédiatrie du Medical College au Wisconsin, l’amène à conclure que l’ibuprofène est l’analgésique le plus efficace pour enrayer la douleur attribuée à une fracture chez les enfants.

La chercheuse a entre autres comparé l’efficacité entre l’acétaminophène avec codéine et l’ibuprofène et elle conclut que c’est ce dernier qui atténue le plus la douleur.

La Dre Drendel a travaillé avec 336 enfants, âgés de 4 à 18 ans, qui ont été admis à l’Hôpital pour enfants du Wisconsin pour une fracture au bras. Elle a découvert que l’ibuprofène était le traitement préféré par les enfants dans 90 % des cas.

« La majorité des enfants avec une fracture éprouvent une douleur assez importante pour justifier l’administration d’un analgésique et notre étude peut aider les cliniciens à choisir la médication la plus efficace pour les enfants », a fait savoir la Dre Drendel.