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Les bienfaits des jurons

Une équipe de scientifiques de l’Université de Keene, en Angleterre, se sont penchés sur les bienfaits des jurons et concluent qu’un langage ordurier est un mécanisme instinctif qui sert à atténuer la sensation de douleur.

Selon les chercheurs, les personnes dont le langage est ponctué de gros mots ont un seuil plus élevé de tolérance à la douleur.

« Jurer est une pratique centenaire et est un phénomène linguistique humain presque universel. Elle se loge dans les centres émotionnels du cerveau et apparaît dans la partie droite, alors que la plupart des productions de langage se passent dans l’hémisphère gauche de celui-ci », a expliqué le Dr Richard Stephens, l’un des auteurs de cette étude publiée dans NeuroReport.

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L’ibuprofène et la maladie d’Alzheimer

Contrairement aux résultats de recherches antérieures, les anti-inflammatoires, comme l’ibuprofène et le Naproxen, ne préviennent pas l’apparition de la maladie d’Alzheimer, mais peuvent en retarder les premiers symptômes.

Le Dr John Breitner et ses collègues de l’Université de Washington à Seattle ont travaillé avec 2 736 personnes âgées en moyenne de 75 ans et ne présentant pas de signes de démence au début des travaux.

Au total, 476 sujets ont développé la maladie d’Alzheimer et les chercheurs s’expliquent difficilement pourquoi les anti-inflammatoires n’ont pas empêché la maladie.

Aux États-Unis, on estime qu’environ 26 millions de personnes souffrent de la maladie neurodégénérative qui se caractérise par des pertes de mémoire et une perte d’autonomie.

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L’arthrite et la vie quotidienne

Selon un sondage effectué par la firme Angus Reid Strategies, les douleurs arthritiques nuiraient à la routine quotidienne des gens qui souffrent de la maladie.

Environ 66 % des répondants ont avoué que l’arthrite a eu pour conséquence de modifier leurs activités quotidiennes et près de la moitié ont mentionné être dans l’incapacité de réaliser ces tâches à cause de la douleur paralysante.

Selon l’Agence de la santé publique du Canada, les personnes aux prises avec l’arthrite voient leur quotidien bouleversé comparativement à d’autres maladies chroniques. À titre d’exemple, une femme sur trois souffrant de la maladie avouait que les conditions météorologiques modifiaient la douleur ressentie et que près de la moitié des hommes arthritiques éprouvent de la douleur toute l’année.

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Du piment anti-douleur

Une équipe de scientifiques, associés à l’Université de Buffalo, a réussi à démontrer que la capsaïcine que l’on retrouve dans les poivrons soulage la douleur musculaire et les articulations endolories.

Il semblerait que ce composé chimique facilite l’ouverture des récepteurs dans le cerveau associés à la douleur et à la chaleur.

« Les récepteurs agissent comme une porte avec les neurones. Quand ils sont stimulés, ils ouvrent, ce qui laisse pénétrer le calcium dans les cellules, ce qui modifie la réponse des récepteurs à détecter la douleur », a expliqué l’auteur de cette recherche, le Dr Feng Qin.

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Du piment anti-douleur

Une équipe de scientifiques, associés à l’Université de Buffalo, a réussi à démontrer que la capsaïcine que l’on retrouve dans les poivrons soulage la douleur musculaire et les articulations endolories.

Il semblerait que ce composé chimique facilite l’ouverture des récepteurs dans le cerveau associés à la douleur et à la chaleur.

« Les récepteurs agissent comme une porte avec les neurones. Quand ils sont stimulés, ils ouvrent, ce qui laisse pénétrer le calcium dans les cellules, ce qui modifie la réponse des récepteurs à détecter la douleur », a expliqué l’auteur de cette recherche, le Dr Feng Qin.

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La méditation contre la douleur

Une étude, menée par des chercheurs de l’Université de Montréal, démontre que les personnes qui pratiquent fréquemment la méditation sont moins sensibles à la douleur que les personnes qui ne pratiquent pas cette technique de relaxation.

« Des études antérieures ont permis de démontrer que les patients souffrant de douleurs chroniques pouvaient bénéficier de la pratique de la méditation, mais peu de chercheurs ont étudié la résistance à la douleur chez des sujets en santé bien entraînés à cette pratique. Cette étude constitue un premier pas qui nous permettra de déterminer comment et pourquoi la méditation peut influencer la perception de la douleur », a mentionné l’auteur de cette étude, Joshua A. Grant.

Pour ce faire, il a comparé les réactions à la douleur de 13 adeptes de méditation à celles de 13 autres personnes n’en ayant jamais fait. Les sujets du premier groupe ont pratiqué une technique de respiration lente, ce qui les a aidés à ressentir 18 % moins la douleur que les autres participants.

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Un timbre pour soulager la douleur

Selon le Dr Philippe Poulain, de l’Institut Gustave-Roussy, à Villejuif en France, le timbre cutané à base de buprénorphine pourrait soulager les patients qui souffrent d’un cancer et qui éprouvent de la douleur.

Cette étude, menée auprès de 289 personnes, a permis de démontrer que ce timbre est très efficace pour atténuer la douleur. Cette dernière diminuait de 5 points, sur une échelle de 10, quand les sujets consommaient du buprénorphine.

En plus du timbre cutané, le groupe-test avait aussi le droit de prendre des comprimés de buprénorphine lorsque la douleur était trop intense.

« Ces résultats démontrent une diminution de la douleur et la prise de comprimés de buprénorphine était en baisse au fil des semaines », a souligné le Dr Poulain.

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Un journal pour les cancéreux

Des chercheurs américains encouragent désormais les patients atteints de cancer à écrire un journal. Selon eux, cet exercice littéraire permettrait d’améliorer la communication entre le médecin et son patient, mais aussi de favoriser le bien-être ainsi que la diminution de la douleur.

234 sujets cancéreux ont participé à cette recherche. Ils ont été répartis en 3 groupes. Les membres du premier groupe tenaient un journal dans lequel ils notaient en détail leurs symptômes. Le second groupe se contentait de répondre à un questionnaire sur leurs symptômes. Les patients du troisième, eux, suivaient simplement leurs traitements.

Le Dr M. Soledad Cepeda a découvert que le premier groupe avait un meilleur moral et avouait ressentir moins de douleur que les deux autres groupes ayant participé à l’étude.

Seule nuance au tableau, d’autres recherches devront être menées afin de corroborer cette hypothèse auprès des cancéreux en phase terminale.

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Pas si apaisant le cannabis

Selon des chercheurs de l’Université de Vienne, en Autriche, la marijuana sous forme de comprimés serait inefficace pour traiter la douleur. Pire encore, elle semblerait l’exacerber dans certains cas et augmenter l’inconfort des patients.

Dix-huit femmes ont participé à cette étude; l’équipe de la Dre Birgit Kraft leur a administré des décharges électriques afin de mesurer leur tolérance à la douleur, à la suite de la prise de cannabis.

« Nous avons été très surpris par les résultats de notre recherche, démontrant l’absence totale d’effets analgésiques chez les sujets », a noté la Dre Kraft, qui laisse également entendre qu’une dose massive de marijuana augmentait la sensibilité des participantes.

Cette découverte détruit donc le mythe voulant que l’élément actif du cannabis, le THC, ait des propriétés antidouleur.

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Les raisons derrière la sédentarité

Douleurs articulaires, manque de temps et d’argent sont autant de raisons évoquées par la population canadienne pour justifier ses habitudes sédentaires, selon un récent sondage mené par la Coalition d’une vie active pour les aîné(e)s (CVAA), la Canada’s Association for the 50+ (CARP) et le Programme Patients-partenaires contre l’arthrite.

Bien que les Canadiens soient conscients qu’une vie active est bénéfique pour leur santé, 8,5 millions d’entre eux prévoient être moins actifs dans 20 ans. Ce pessimisme, qui touche particulièrement les personnes aux prises avec l’arthrose, est en partie attribuable à la peur des douleurs chroniques, souvent associées au vieillissement.

En effet, 81 % des arthritiques s’attendent à ce que leurs douleurs articulaires augmentent avec l’âge.