Catégories
Uncategorized

Un stimulateur électrique en traitement des maux de dos

Une innovation médicale et technologique en provenance de l’Irlande pourrait donner de l’espoir aux milliers, voire millions, de personnes qui souffrent d’importants maux de dos dans le monde, selon ce que rapporte Top Santé.

La compagnie irlandaise Mainstay Medical travaille à mettre au point un stimulateur électrique capable de stimuler les muscles bloqués et la colonne vertébrale, et ainsi traiter les douleurs.

Le stimulateur, baptisé ReActive8, a été mis à l’essai auprès d’un groupe de 26 patients, et les résultats sont jusqu’ici intéressants. Du groupe de sujets, 74 % affirment ressentir une amélioration significative de leur état, alors que 85 % estiment que le stimulateur améliore carrément leur qualité de vie.

Mieux encore, 45 % des patients déclarés invalides au travail ont pu reprendre le boulot grâce à l’appareil.

« Cet appareil a essentiellement été conçu pour les actifs qui ont de 45 à 55 ans, qui souffrent du dos depuis plus de 10 ans et ont tout essayé pour venir à bout de leur lombalgie, en vain », explique Peter Crosby, de Mainstay Medical.

D’autres essais sont prévus, et l’équipe derrière le ReActive8 espère pouvoir le commercialiser d’ici la fin de l’année 2015.

Catégories
Uncategorized

L’Association professionnelle des massothérapeutes spécialisés du Québec en promotion

Mon Réseau Plus, l’Association professionnelle des massothérapeutes spécialisés du Québec, va de l’avant et cherche à promouvoir les bienfaits de ses services offerts à la population.

Un communiqué de presse nous invite donc à visiter monreseauplus.com, un site web qui propose plusieurs informations concernant les services offerts par les massothérapeutes du Québec, et sur les bienfaits pour la santé qui s’y rattachent.

On y propose d’abord un résumé de la lecture scientifique se rattachant à la discipline de la massothérapie et de ses bienfaits reconnus.

Puis sont mentionnés les différents troubles de la santé qui peuvent être traités, ou partiellement traités, par des séances de massothérapie.

Du lot, les douleurs musculosquelettiques, la fatigue chronique, le stress et l’angoisse, les troubles de migraine, les douleurs chroniques et lombaires ainsi qu’au cou et aux épaules, les inflammations musculaires et même les troubles psychologiques comme la dépression, par exemple.

L’Association se réjouit d’enfin recevoir des appuis et une certaine reconnaissance du milieu scientifique, et invite la population à se renseigner sur les diverses possibilités qu’offre la massothérapie.

Plusieurs programmes d’assurances ou d’emploi proposent des séances de massothérapie remboursées par le gouvernement, l’employeur ou un régime privé.

Catégories
Uncategorized

La douleur reliée à la santé mentale chez les adolescents

Pour la toute première fois, des chercheurs se sont penchés sur les douleurs physiques qui peuvent entraîner notamment la dépression et l’anxiété chez les jeunes de 13 à 18 ans.

L’étude a englobé 566 adolescents qui présentaient des symptômes dépressifs, mais aussi des troubles de l’alimentation, le TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité) et même de différents niveaux d’autisme.

Selon le professeur Marit Sæbø Indredavik, de la Norwegian University of Science and Technology (NTNU), les travailleurs du domaine de la santé ont tout intérêt à prêter une plus grande attention aux douleurs chroniques chez ces jeunes.

En tout, ce sont 70 % des répondants qui ont avoué vivre avec une douleur physique chronique. Ce taux était encore plus élevé chez les adolescents dépressifs, où ce sont 8 jeunes sur 10 qui souffraient physiquement. La douleur la plus fréquente était au niveau musculo-squelettique, prédominant chez les filles.

« Ces données sont tellement élevées que tout le système de soutien des besoins des enfants et adolescents doit être sensibilisé », affirme le professeur Indredavik.

Le prochain lien à effectuer pour les chercheurs est de comparer le niveau d’activité physique chez ces jeunes, par rapport à ceux qui ne vivent pas ce genre de douleur.

Catégories
Uncategorized

La douleur reliée à la santé mentale chez les adolescents

Pour la toute première fois, des chercheurs se sont penchés sur les douleurs physiques qui peuvent entraîner notamment la dépression et l’anxiété chez les jeunes de 13 à 18 ans.

L’étude a englobé 566 adolescents qui présentaient des symptômes dépressifs, mais aussi des troubles de l’alimentation, le TDAH (trouble de déficit d’attention avec hyperactivité) et même de différents niveaux d’autisme.

Selon le professeur Marit Sæbø Indredavik, de la Norwegian University of Science and Technology (NTNU), les travailleurs du domaine de la santé ont tout intérêt à prêter une plus grande attention aux douleurs chroniques chez ces jeunes.

En tout, ce sont 70 % des répondants qui ont avoué vivre avec une douleur physique chronique. Ce taux était encore plus élevé chez les adolescents dépressifs, où ce sont 8 jeunes sur 10 qui souffraient physiquement. La douleur la plus fréquente était au niveau musculo-squelettique, prédominant chez les filles.

« Ces données sont tellement élevées que tout le système de soutien des besoins des enfants et adolescents doit être sensibilisé », affirme le professeur Indredavik.

Le prochain lien à effectuer pour les chercheurs est de comparer le niveau d’activité physique chez ces jeunes, par rapport à ceux qui ne vivent pas ce genre de douleur.

Catégories
Uncategorized

L’incroyable effet des aquariums sur la santé

Quiconque possède un aquarium moindrement élaboré à la maison, ou qui a déjà passé quelques heures dans un aquarium public, comprendra parfaitement la teneur de cet article et des révélations qui s’y trouvent.

C’est que Top Santé s’est attardé au phénomène et à l’impact des aquariums sur notre santé mentale et physique, et rapporte des opinions d’experts qui peuvent surprendre.

Cités dans Le Figaro, ces experts français notent d’abord un impact direct d’un moment passé à observer des poissons dans un aquarium sur la tension artérielle et sur le niveau de stress.

Un simple aquarium permettrait donc de calmer l’angoisse et l’anxiété, mais aussi de calmer la douleur! Toujours selon ces chercheurs, une baisse de la douleur ressentie par un patient donné est souvent observable après cinq minutes passées devant un aquarium, un effet qui pourrait perdurer jusqu’à 30 minutes.

Plus encore, les poissons dans leur habitat permettraient même à des personnes atteintes de maladies graves comme l’Alzheimer d’améliorer leur qualité de vie au quotidien, notamment en ce qui concerne leur apport alimentaire. Dans la même veine, le fait de nourrir des poissons aurait aidé des jeunes aux prises avec des troubles alimentaires.

En bref, les poissons et les aquariums permettent de calmer de façon générale et ouvrent ainsi la porte à une foule de bienfaits sur la santé, et même sur le personnel médical, alors que plusieurs estiment qu’un aquarium installé dans une salle d’attente calme l’impatience des patients!

Catégories
Uncategorized

Combattre la migraine chez l’enfant par la thérapie

Selon TopSanté.com, des séances de thérapie cognitivo-comportamentale seraient une bonne alternative aux traitements médicamenteux pour les enfants souffrant de migraine.

L’Institut National de la Santé (Inserm) nous informe que la prise de médicaments pour combattre les épisodes migraineux chez les jeunes entraine une accoutumance doublée d’une résistance accrue à la médication.

Le 25 décembre dernier, les résultats d’une recherche intéressante sont parus dans un article du Journal of the American Medical Association.

Les chercheurs du Centre de la migraine de l’hôpital de Cincinnati, aux États-Unis, ont soumi 135 migraineux chroniques âgés de 10 à 17 ans à un traitement médicamenteux. Ceux qui avaient aussi participé à des séances de thérapie cognitivo-comportementale ont montré de meilleurs résultats que ceux n’ayant eu que le médicament.

Pour le docteur Luigi Titomanlio, pédiatre et neurologue à l’hôpital Robert-Debré de Paris, il s’agit d’une excellente nouvelle. Il explique au journal Le Figaro qu’il est démontré scientifiquement que l’appréhension de la crise de migraine fait que l’enfant se concentre sur la douleur, ce qui en amplifie l’intensité.

La thérapie aide à gérer les craintes et diminue donc l’intensité. Par la bande, on prévient ainsi l’abus de médicaments antalgiques.

Il reste à savoir si c’est un moyen qui pourrait aussi être utilisé par les adultes.

Catégories
Uncategorized

OxyContin : décision controversée de Santé Canada

L’OxyContin, le nom commercial de l’oxycodone, est une drogue puissante et largement dangereuse, rendue célèbre par plusieurs célébrités en abusant, parfois même jusqu’à leur décès prématuré.

Aussi appelée « l’héroïne des pauvres », en raison de son accessibilité et son faible coût, cette drogue est l’un des grands ennemis des autorités américaines, qui luttent sans relâche contre la vente et l’utilisation de sa version générique, retrouvée dans les rues.

Il est donc vraiment surprenant de voir Santé Canada approuver sa commercialisation, comme le rapporte Radio-Canada, une décision controversée qui soulève l’ire de nos voisins du sud.

La version générique de l’OxyContin peut être modifiée, et ainsi consommée de multiples façons par les toxicomanes, qui mettent ainsi leur vie en danger. Les Américains ne permettent que la vente de la version « officielle » du médicament, qui s’avère utile pour contrer la douleur chez certains patients.

Alors que l’administration Obama souhaite voir Ottawa collaborer à ses efforts dans la lutte au fléau que représente la drogue, Stephen Harper fait la sourde oreille et entérine une entente avec une compagnie pharmaceutique étrangère, Ranbaxy, qui donne le feu vert à sa production et à sa vente sur le territoire canadien.

Une décision qui risque de faire couler beaucoup d’encre et qui soulève énormément d’interrogations chez les spécialistes de la santé.

Catégories
Uncategorized

L’impact de la nouvelle génération de jeux vidéo sur la santé

Les jeux vidéo progressent à un rythme impressionnant en termes de qualité, de réalisme et de potentiel d’immersion, déchaînant les passions chez les fans, mais aussi les inquiétudes chez certains spécialistes de la santé.

C’est le cas d’une équipe de chercheurs australiens, rapporte le Daily Mail (UK), qui publient leurs conclusions en la matière, à savoir les impacts de ces jeux hyper réalistes et immersifs sur la santé et les facultés de ceux qui y jouent.

On n’a qu’à penser au nouveau Grand Theft Auto V et surtout à son révolutionnaire mode en ligne, qui permet de vivre dans un véritable monde parallèle, truffé de violence et d’humour noir.

En analysant les comportements et réactions de joueurs intensifs, en utilisant par exemple des tests psychologiques, des tests de résistance à la douleur et des mises en situation, les chercheurs australiens constatent une désensibilisation marquée chez ceux-ci.

Les sujets de l’étude ont presque tous démontré une perte d’intérêt envers leur propre corps, et donc des symptômes d’une maladie probable ou encore de la fatigue ou d’une perte de moral. De plus, on remarque une baisse considérable d’empathie et de la qualité de leurs relations avec les autres, un peu comme si les jeux vidéo immersifs et la vie par procuration qu’ils suggèrent s’avéraient « suffisante ».

Ces révélations peuvent s’avérer inquiétantes pour l’avenir, mais un joueur averti en vaut deux, et plusieurs gamers sauront sans doute faire la part des choses lorsqu’ils auront conscience du phénomène, notamment grâce à ce genre de recherches.

Plusieurs études précédentes ont par ailleurs démontré des bienfaits évidents découlant de l’utilisation des jeux vidéo, notamment sur le cerveau et les fonctions cognitives.

Catégories
Uncategorized

Découverte d’un arbre antidouleur en Afrique

Découverte intéressante que celle rapportée par Top Santé, alors que des chercheurs auraient trouvé un arbre aux puissantes propriétés analgésiques.

La trouvaille s’est effectuée en Afrique, alors qu’une équipe de chercheurs menée par Michel de Waard a remarqué qu’un petit arbuste avait la capacité de produire des quantités stupéfiantes d’une molécule antidouleur, notamment au niveau de ses racines.

La molécule en question s’apparente au tramadol, concluent les chercheurs à la suite de leurs analyses, et agirait un peu comme le fait la morphine.

« Le plus surprenant pour nous a été de constater que cette molécule ne nous était pas inconnue. Elle était identique au tramadol, un médicament de synthèse mis au point dans les années 1970 et utilisé couramment dans le traitement de la douleur », résume De Waard, de l’INSERM.

Outre le caractère scientifique de la nouvelle, les chercheurs se réjouissent à l’idée de voir l’arbuste produire des quantités suffisantes du médicament antidouleur pour les populations africaines qui présentent une lacune à ce niveau.

Catégories
Uncategorized

Ces mamans qui cessent l’allaitement à cause du stress

Les craintes des nouvelles mamans sont nombreuses. Que ce soit par conviction, par pression des proches ou parce qu’on a peur du jugement, à priori, si notre choix d’allaiter n’est pas totalement volontaire ou que l’on manque de soutien, il se peut que le stress prenne rapidement le dessus.

Une recherche publiée dans la revue Pediatrics explique les principales raisons qui poussent les nouvelles mères à abandonner l’allaitement au profit du biberon. Plus de 2700 femmes ont répondu au sondage et sur ce nombre, 532 allaitaient pour la première fois.

Après seulement 3 jours d’allaitement, sur ces 532 femmes, plus de la moitié étaient inquiètes parce que leur enfant arrivait difficilement à prendre le sein. Plus de 44 % soulevaient la douleur associée à l’allaitement, et 40 % craignaient de ne pas fournir suffisamment de lait. De plus, la peur de devoir allaiter dans un endroit public semblait s’ajouter au stress.

Les chercheurs ont noté que la combinaison de ces facteurs apportait un stress énorme, qui se mutait rapidement en anxiété et poussait les femmes à opter pour le biberon après seulement quelques jours.

Bien entendu, la remise en question qui en a résulté tenait compte du manque de soutien apporté aux femmes qui allaitent pour la première fois.