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Comment reconnaître les différents pleurs de bébé

Comme le mentionne plurielles.fr, inutile d’énerver votre nourrisson en faisant le tour des besoins « possibles » lorsqu’il se met à pleurer. Procédez par élimination et restez calme.

La faim : Les pleurs les plus faciles à identifier. Ils débutent par des pleurs réguliers, puis s’accentuent rapidement, jusqu’à devenir, disons-le, insupportables si la faim n’est pas immédiatement calmée. Ces pleurs cessent dès qu’ils sont comblés par le lait.

La douleur : Principalement causés par les coliques, les pleurs se manifesteront au rythme des douleurs intestinales. Il n’y a pas de solution miracle, mais en le prenant dans nos bras et en frottant son ventre, ou encore en repliant ses jambes sur son abdomen, on peut soulager bébé temporairement.

Inconfort : La température ambiante — trop froide ou trop chaude — incommode rapidement le nourrisson. Prenez l’habitude de vérifier s’il n’est pas en sueur, ou au contraire, si ses mains et ses pieds sont gelés. Par la suite, vérifiez sa couche. Les pleurs d’inconfort dénotent généralement plus d’agacement et ressemblent à une plainte plutôt qu’à des pleurs francs et intenses.

La fatigue ou le réconfort : Ces deux éléments vont parfois de pair. Il arrive que votre bébé s’ennuie de votre contact. C’est d’autant plus présent chez lui lorsqu’il est fatigué. Ses pleurs seront alors moins énergiques et plus sporadiques. Parfois, juste frotter son dos ou sa tête alors qu’il est dans son berceau lui apportera suffisamment de réconfort. D’autre part, vous reconnaîtrez éventuellement des signes tels que le frottement des yeux, puis une tendance à refuser systématiquement tout ce qui fonctionne habituellement. C’est alors l’heure du dodo.

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L’acétaminophène peut soulager la douleur des bébés qui subissent une chirurgie

Lorsque les nouveau-nés et bébés doivent subir une chirurgie, les médecins utilisent souvent des opiacés pour contrôler la douleur, mais ceux-ci peuvent avoir des effets secondaires très néfastes chez cette population de patients, par exemple la détresse respiratoire.

Des chercheurs néerlandais ont donc testé l’efficacité de l’acétaminophène comme analgésique de remplacement sur 71 bébés de moins d’un an qui ont subi une chirurgie thoracique ou abdominale majeure.

Tous ces petits patients ont reçu une dose de morphine à la fin de leur chirurgie, puis ils ont reçu soit plus de morphine, soit de l’acétaminophène par intraveineuse. Si les bébés semblaient trop souffrir, ils recevaient une dose de morphine « compassionnelle ».

Deux jours après la chirurgie, les bébés du groupe de l’acétaminophène avaient pris en moyenne 121 microgrammes de morphine par kilogramme de poids, comparativement à 357 microgrammes pour ceux dans le groupe de la morphine. Les marqueurs de douleur et les effets secondaires étaient similaires dans les deux groupes.

L’auteure de l’étude, la Dre Saskia De Wildt, a affirmé dans un article du Journal of the American Medical Association que « l’acétaminophène par intraveineuse est une solution intéressante en tant qu’analgésique de première ligne pour les nouveau-nés et les bébés », selon Med Page Today.

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La douleur chez les enfants serait d’ordre génétique

Les chercheurs ont d’abord analysé les gènes de 168 enfants qui allaient subir une opération lourde, soit abdominale, soit des os et des tendons, ainsi que ceux de leurs parents. L’étude était particulièrement à l’affût de variantes possibles pour six gènes possiblement reliés à la douleur.

La douleur de ces enfants a ensuite été mesurée dans les 24 premières heures suivant la chirurgie. Pendant ce temps, les patients avaient un accès direct à un analgésique puissant, dérivé de la morphine.

Les enfants qui avaient une variante du gène ABCB1, qui transporte le médicament au système nerveux central, étaient 4,5 fois plus susceptibles d’éprouver un niveau de douleur élevé, tandis que ce risque était 3,5 fois plus élevé pour les enfants présentant une variante du gène OPRM.

Toutefois, les chercheurs ont constaté que même si les variantes génétiques affectaient le niveau de douleur, elles ne semblaient pas avoir d’influence sur le dosage total d’analgésique que les enfants avaient reçu. Ce dosage, puisqu’il était contrôlé par les patients eux-mêmes, était un indicateur objectif important de la douleur.

L’auteure de l’étude, la Dre Chantal Mamie, a noté que « les données suggéraient fortement que la réponse à la douleur était d’origine génétique chez les patients pédiatriques », selon Science Daily.

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Dormir plus pourrait vous rendre plus tolérant à la douleur

Voici une nouvelle qui ravira les grands dormeurs de ce monde. En effet, si vous cherchiez de nouvelles excuses pour faire la grasse matinée, Topsante.com rapporte une étude qui s’adresse à vous.

Elle s’adresse également aux personnes qui ont un seuil de tolérance à la douleur peu élevé, puisqu’elle conclut que deux heures de sommeil supplémentaires par nuit pourraient vous rendre moins sensible à la douleur.

La National Sleep Fondation, dont les conclusions ont été publiées dans le magazine Sleep, explique que dormir sept à neuf heures par nuit favorise non seulement la performance, mais aussi la résistance à la douleur.

L’équipe de chercheurs en tête de l’étude a analysé les cas de 18 jeunes adultes de 18 à 35 ans, dont 9 devaient dormir deux heures de plus qu’à leur habitude, alors que l’autre moitié conservait le même rythme.

On leur faisait ensuite passer des tests de douleur, pour finalement conclure que les sujets qui avaient dormi davantage devenaient plus résistants à la douleur, parfois même jusqu’à 25 % plus que les autres.

Pour terminer, on rappelle que d’autres études ont précédemment conclu qu’un sommeil suffisant et de qualité permet de conserver plus facilement un poids santé ainsi que de meilleures performances quotidiennes au travail.

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Les mathématiques peuvent vous faire mal

Les mathématiques peuvent vous faire mal… et ce n’est pas une figure de style. Selon santelog.com, qui rapporte une étude américaine (Chicago), des chercheurs ont établi que les mathématiques ou certaines sciences peuvent causer de véritables maux aux gens qui ne se sentent pas à la hauteur.

Cette réaction en déclenche une autre d’anxiété, que le cerveau peut matérialiser en véritables douleurs physiques. Il s’agit du même genre de réaction que lorsqu’une personne subit un rejet social ou se retrouve en situation de danger, toujours selon le site.

Le simple fait d’être obligé de résoudre des équations peut enclencher ce processus chez ceux qui n’ont pas la bosse des mathématiques.

Ces réactions d’angoisse ou d’anxiété qui se métamorphosent en douleur physique existent déjà, selon les chercheurs. Cela dépend de la personne et de ses peurs, mais l’appréhension peut mener au mal.

Ces données permettent de mieux comprendre certains comportements humains, puisqu’il semble évident qu’une personne va tenter d’éviter toute situation qui le place dans ce genre de situation extrême.

On peut remarquer ce phénomène, dans le cas qui nous concerne, chez les gens qui fuient tout type de calcul mental ou tout genre de problème mathématique, et ce, tout au long de leur vie.

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Le Botox prometteur pour contrer les douleurs au cou

Longtemps utilisé pour contrer les effets du vieillissement comme les rides, le controversé Botox pourrait se trouver une nouvelle utilité. C’est ce que proposent des chercheurs, dans une étude rapportée par www.nlm.nih.gov.

En effet, il semble que les personnes qui souffrent de douleurs chroniques au cou et aux épaules pourraient obtenir soulagement et espoir de la part du Botox.

Ce genre de douleur, aux dires du Dr Robert Suarte, qui dirige le Pain Center of Cushing Neuroscience Institute dans l’État de New York, en est un commun et persistant, qui peut causer de sérieux problèmes chez le patient.

De plus, ces symptômes sont souvent accompagnés de maux de tête, ce qui ajoute à l’inconfort ressenti par les victimes de douleurs chroniques.

Dans l’étude, 118 patients aux prises avec ces maux (depuis plus de deux mois minimum) ont reçu du Botox ou un placebo. Ceux qui ont reçu le « médicament » ont démontré des signes encourageants de rémission, ou à tout le moins des douleurs moins sévères que ceux qui ont reçu le placebo.

Les patients « botoxés » ont également vu le nombre de migraines diminuer, augmentant ainsi de beaucoup leur qualité de vie.

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Beaucoup d’enfants hospitalisés souffrent de douleur

Malgré les progrès de la médecine, beaucoup d’enfants hospitalisés souffrent de douleur, révèle une nouvelle étude publiée dans le journal Pain Management Nursing, et les filles y sont plus vulnérables que les garçons.

L’étude s’est basée sur des dossiers médicaux et, dans certains cas, des enquêtes ont été faites sur 199 patients traités au Johns Hopkins Children’s Center en 2007 et 2008.

« Notre verdict est que, même si nous avons fait d’énormes progrès, il y a encore du travail à faire pour gérer la douleur », a indiqué le chercheur principal, Lori Kozlowksi, un spécialiste de la douleur pédiatrique au Johns Hopkins Children’s Center.

D’autres études ont montré que les personnes qui ont été exposées à la douleur lors de l’enfance sont plus susceptibles d’être sensibles à celle-ci à l’âge adulte. La douleur peut aussi conduire à une variété de problèmes de santé, surtout si elle n’est pas traitée correctement.

« La douleur est le cinquième signe vital qui, avec la pression artérielle, la fréquence cardiaque, la respiration et la température, peut fournir des indications importantes au sujet du bien-être d’un patient », explique Dre Constance Monitto, anesthésiste pédiatrique au Centre.

« Traiter un enfant contre la douleur est une responsabilité fondamentale de chaque médecin et infirmière », ajoute-t-elle.

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Les cerises griottes pour soulager la douleur

Les cerises griottes, qui ont un gout aigre, seraient d’excellents anti-inflammatoires, meilleurs que tous les autres aliments, selon une équipe de l’Oregon Health & Science University, qui présente ses travaux lors que la conférence de l’American College of Sport Medecine.
 
Ces cerises diminueraient les douleurs musculaires et articulaires des sportifs et des personnes qui souffrent d’arthrose.
 
Une vingtaine de femmes âgées de 40 à 70 ans ont participé à cette recherche. Toutes souffraient d’arthrose.
 
Avec une consommation quotidienne de deux jus de cerise pendant trois semaines, on a noté une nette diminution de la douleur, surtout chez celles qui avaient un niveau d’inflammation particulièrement élevé. Tout cela sans les effets secondaires souvent occasionnés par la prise de médicaments.
 
Ces nouvelles recherches confirment des résultats antérieurs similaires montrant les effets anti-inflammatoires indiscutables des cerises sur la douleur.
 
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Un bébé prématuré ne doit pas être confronté au stress

Si l’entourage et les parents de bébés prématurés se sentent angoissés, ce n’est rien de comparable à ce que vit le nouveau-né lorsqu’il arrive dans le monde, un environnement souvent « inadapté » pour lui.

Selon Olivier Baud, chef de service de réanimation et pédiatrie néonatales de l’hôpital Robert-Debré : « Si l’enfant prématuré est trop stressé, les connexions neuronales de son cerveau en sont altérées ». Une situation qui peut grandement affecter le développement de l’enfant à moyen terme.

Voilà pourquoi il est important de minimiser les stimulations auditives, olfactives, visuelles et tactiles environnantes au bébé, comme le bruit des machines, la lumière, les gens qui parlent.

D’ailleurs, de plus en plus d’infirmières sont formées pour procurer au bébé le confort dont ils ont besoin et éviter les sources de stress. Elles sont davantage portées à travailler dans le silence, à limiter les prises de sang et à poser des gestes lents et doux, car la douleur presque constante que ressent un bébé prématuré est très perturbante pour lui.

Parmi les autres facteurs qui peuvent provoquer du stress au nouveau venu, les professionnels parlent de la séparation physiologique très déroutante du placenta et des maladies souffrantes induites par la prématurité elle-même.

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Cinq façons de réduire la douleur des bébés lors du vaccin

Selon Harvey Karp, il s’agirait simplement pour le parent d’envelopper le jeune enfant dans une couverture, de le tenir sur le côté, le plus près de son corps possible, et de le bercer doucement en produisant un son apaisant pour qu’il soit moins anxieux lors de la vaccination.

En fait, cette position plus confortable pour le petit imiterait les sensations qu’il ressentait dans le ventre de sa mère.

Les chercheurs du Children’s Hospital de Norfolk ont testé cette méthode sur quelque 230 enfants âgés de 2 à 4 ans divisés en quatre groupes.

Ceux dans le premier groupe ont dû boire de l’eau avant la vaccination, tandis que dans le deuxième, les enfants ont dû boire de l’eau sucrée qui apaiserait la douleur chez les enfants. Les deux groupes d’enfants étaient aussi distraits par leurs parents lors de l’injection.

Dans les deux autres groupes, les enfants recevaient aussi de l’eau avec et sans sucre, mais étaient réconfortés par leurs parents selon la méthode de Harvey Karp, les 5 S.

Les résultats ont prouvé l’efficacité de la technique du docteur Karp, puisque moins d’enfants ayant eu les 5 S et un simple verre d’eau ont pleuré, grimacé ou gémi durant l’intervention.