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Famille d’accueil : 1 enfant sur 3 ne peut pas réintégrer sa famille biologique

Medical News Today résume les informations issues d’une étude faite au Québec par Marie-Andrée Poirier et Sonia Helie de l’Université de Montréal.

Les données colligées proviennent des 16 centres de protection de la jeunesse de la province et remontent à 2008 et 2009. On rapporte que 33 % des enfants qui retournent dans leur famille après avoir été accueillis en famille d’accueil sont à nouveau maltraités et doivent réintégrer le système de la DPJ (protection de la jeunesse).

En tout, ce sont les cas de 4120 mineurs qui ont été analysés sur une période de 5 ans suivant la fermeture de leur dossier initial. La recherche visait à comprendre la raison pour laquelle les jeunes retournaient en famille d’accueil.

Malheureusement, même si le nouveau Plan de vie permanent établi dans la Loi sur la protection de la jeunesse (LPJ) permet aux enfants de retrouver rapidement leur famille, chez les 3 à 5 ans, les aller-retour sont plus fréquents.

« Cela s’explique par leur vulnérabilité et les soins constants dont ils ont besoin », mentionnent les chercheuses. Elles croient d’ailleurs que les familles n’ont pas l’aide nécessaire de la part de la DPJ ou des intervenants, peut-être par manque de ressources.

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Des parents qui se comportent comme des sauvages après le divorce

Selon La Presse, 25 % des parents qui divorcent sont incapables de faire preuve de savoir-vivre, et ce, même si la séparation remonte à plusieurs années. De nombreux cas familiaux qui se retrouvent dans les dossiers de la DPJ ou de la police. Une situation qui est inacceptable.

Comme l’explique Valérie Morel, une conseillère à la clinique du Centre jeunesse de la Montérégie, les conflits parentaux démolissent les enfants. « Grandir dans le conflit altère toute la construction des jeunes. Ils sont déboussolés, comme des poupées tiraillées. »

Certains parents en viennent aux coups, d’autres doivent échanger leurs enfants pour la garde partagée directement au poste de police, puis d’autres encore embauchent des détectives pour suivre l’autre parent lorsqu’il a les enfants. Des situations beaucoup plus fréquentes qu’on le croit.

Les parents vengeurs ne se rendent même pas compte des dommages psychologiques permanents qu’ils causent à leurs enfants, trop aveuglés par leurs propres ressentiments envers l’ex-conjoint.

Dans les sondages du ministère de la Famille du Québec, il existe même un sondage intitulé : Post-Separation Conflict Trajectories. C’est dire à quel point les agissements insensés des parents sont répandus.

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À quel moment appeler la direction de la protection de la jeunesse

Que ce soit la famille, les amis, des connaissances, il ne faut pas ignorer les signes. Si un enfant se cache ou lève les bras défensivement lorsqu’un adulte l’approche, il faut se poser des questions. S’il fait des confidences à vos enfants et que ceux-ci vous les rapportent, il faut aussi garder l’œil ouvert.

Selon Rayne Golay, thérapeute spécialisé chez l’enfant et gagnant d’un prix d’excellence pour son livre The Wooden Chair, il faut savoir reconnaître les changements soudains, notamment la perte d’appétit, les notes qui chutent, le retrait de la vie sociale ou la modification de la personnalité.

Malgré nos craintes et notre sentiment selon lequel il ne faut pas se mêler de la vie des autres, selon Golay, « il est de notre devoir de veiller à la sécurité de nos enfants ».

Même s’il vaut mieux être certain avant de porter plainte, dites-vous qu’il vaut mieux rapporter une situation qui nous semble abusive et se tromper plutôt que de ne rien faire, comme l’indique SheKnows.

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La DPJ n’enquête plus sur Mariah Carey

Les travailleurs sociaux du Département de la protection de la jeunesse (DPJ) qui ont rencontré Mariah Carey après la naissance de ses jumeaux ont mis un terme à leur enquête après avoir conclu que les nouveau-nés étaient dans un environnement sécuritaire avec la chanteuse et son mari, Nick Cannon, rapporte Starpulse.

Les travailleurs de la DPJ du comté de Los Angeles avaient lancé cette enquête avec avoir reçu un appel anonyme de la part d’une personne affirmant que Carey avait exposé ses enfants, Moroccan et Monroe, à l’alcool en les allaitant après avoir prétendument bu de la bière dans sa chambre d’hôpital.
 
Carey aurait en fait consommé de la Guinness après qu’une infirmière lui ait recommandé cette bière noire afin d’améliorer sa lactation.  
 
Les autorités de la protection de la jeunesse ont donc rencontré Carey à quelques reprises et ont finalement décidé de fermer l’enquête après avoir passé du temps avec ses enfants et elle, concluant que la plainte n’était pas fondée.

Rappelons que Mariah Carey et Nick Cannon ont accueilli leurs jumeaux le 30 avril dernier, soit le jour de leur troisième anniversaire de mariage.