Catégories
Hollywood PQ

Wide The Brand: La marque québécoise de vêtements pour hommes tailles plus sera dans la nouvelle saison de Dans l’oeil du dragon

Le 4 mai dernier, j’ai reçu un communiqué de presse concernant la participation à la 11e saison de Dans l’oeil du Dragon de l’équipe derrière la nouvelle marque de vêtements québécoise de taille plus pour homme Wide The Brand, et je suis tombé en bas de ma chaise. J’ai été surpris, parce que j’ai réalisé que c’était la première fois que j’entendais parler d’une marque de vêtement pour homme taille plus. En plus, la marque est québécoise. Je rêve ou quoi?

Afin de m’en remettre, je suis allé me faire un deuxième verre de chardonnay (oui, oui, même un mercredi après-midi) et puis j’ai décidé de vous en parler ici.

Je vous en parle parce que je réalise que personne d’autre n’en parle vraiment… Il est tout de même important pour les hommes qui s’habillent dans la section taille plus de savoir qu’une compagnie québécoise a créé toute une gamme de produits.

L’équipe de Wide The Brand a d’ailleurs rayonné lors de leur passage, au printemps dernier, à Dragon’s Den, la version anglophone de Dans l’oeil du dragon. Leur passage avait même été particulièrement acclamé et la marque avait su charmer trois des cinq dragons.

Eh bien, sachez que la sympathique équipe derrière cette marque sera de passage à la 11e saison de Dans l’oeil du dragon afin de faire découvrir leur marque au célèbre panel de gens fortunés.

C’est effectivement le 11 mai prochain, à 20h00, à l’antenne de Radio-Canada, que Wide the brand fêtera ses neuf mois d’opération tout en présentant leur projet.  En effet, l’épisode cinq de Dans l’oeil du dragon nous fera découvrir la beauté de cette compagnie d’ici. C’est le cofondateur de Wide The Brand, Mahrzad Lari, qui fera face aux dragons québécois : Isabèle ChevalierNicolas Duvernois, Christiane Germain, Georges Karam et Marie-Josée Richer, afin de leur présenter la marque.

Wide The Brand se base sur « la notion de coupe précise et d’esthétique » qui permettra aux hommes « le rêve et l’inspiration qu’ils méritent », lisais-je dans le communiqué.

La marque célèbre la confection et l’utilisation de bonne qualité en employant les bons tissus et travaille minutieusement sur la finition du vêtement. Selon Wide The Brand, « la mode est une expérience humaine qui ne doit pas être segmentée par la taille. La mode est un outil qui devrait être apprécié par tous et utilisé pour donner du pouvoir. Il est temps d’inclure les hommes de taille plus dans la conversation ». Et sur ça, j’aimerais vous dire cheers, la gagne, parce que ces mots m’ont fait un bien énorme quand je les ai lus à voix haute!

Une fois que je me suis servi un troisième verre de chardonnay, j’ai décidé de terminer mon article et de me laisser inspirer par les dires de la marque. 

Marque qui a tout mon respect.

« Il est temps de réévaluer et de rétablir l’image de l’homme rond. Pour lutter contre la stigmatisation, mais surtout, pour redonner un sentiment de fierté à ces hommes, et les dépeindre dans leur apogée ».

« C’est ce sentiment que je souhaite partager aujourd’hui avec les hommes de taille plus de ce monde: un sentiment d’assurance. Afin que nous puissions offrir une meilleure image des hommes que nous sommes, avec fierté, acceptation et respect », raconte Mahrzad Lari.

La quête de l’équipe est simple : changer la façon dont la mode masculine des grandes tailles est développée, perçue et consommée.

« Les prémisses sont là, mais il y a encore beaucoup à faire! Soutenez le mouvement Wide. C’est notre combat et nous ne faisons que commencer! ».

Que dire de plus?

Pour plus d’information sur Wide The Brand, c’est par ici.

Catégories
Hollywood PQ

Vincenzo Guzzo nous parle d’entrepreneuriat

Il y a de fortes chances que vous connaissiez déjà l’entrepreneur en série, monsieur Vincenzo Guzzo. Il est connu au Québec principalement pour son rôle de propriétaire des cinémas du même nom, mais l’ampleur du travail de cet homme d’affaires ambitieux dépasse largement cette entreprise.

M. Guzzo a eu l’amabilité de prendre quelques minutes de son temps pour répondre à mes questions en ce qui concerne sa présence à l’émission Dragons’ Den, mais aussi en ce qui a trait à sa vision de l’entrepreneuriat au Québec.

J’ai découvert dans ce bref entretien un homme qui a littéralement l’ADN d’un entrepreneur, mais qui possède également une sensibilité et une profondeur d’esprit propres aux plus grands de ce monde.

Je vous laisse le découvrir à votre tour.

1 – À quel moment dans votre parcours de vie vous êtes-vous dit « je veux être entrepreneur » ?
Lorsque j’ai été confronté à faire un choix, celui de devenir avocat ou de prendre les rênes de l’entreprise familiale. Si je devenais avocat, nous allions vendre l’entreprise que mon père avait bâtie. J’ai donc décidé de devenir un homme d’affaires et de rendre fructueuse l’entreprise familiale.

2 – Comment définiriez-vous le genre d’homme d’affaires que vous êtes?
Socialement responsable, mais peut-être parfois un peu trop cartésien et logique. Je m’appuie sur le réel beaucoup plus que sur de simples rêves.
C’est difficile à définir soi-même, car ce sont souvent les gens de l’extérieur qui vont définir le genre d’entrepreneurs que nous sommes. Malheureusement, parfois certains le font en manquant de connaissances et de vision d’ensemble en ce qui concerne la réalité de ce que vit un entrepreneur.

3 – J’ai vu sur votre compte Instagram que vous avez dit : « Si le monde avance et progresse, c’est grâce aux entrepreneurs ». Est-ce que vous trouvez que le Québec progresse ?
Le Québec a une place privilégiée au Canada. Au niveau entrepreneurial, nous sommes meilleurs que ce que l’on croit. Nous sommes avant-gardistes et créateurs.
La seule chose que je déplore est que beaucoup d’entrepreneurs québécois quittent le Québec après un certain temps, car leur succès y est mal perçu.
Je l’expliquerais comme ceci : il y a une incohérence populaire entre le cheminement d’un entrepreneur et le cheminement de la réussite. Au Québec, généralement, les gens et les médias aiment le fait qu’un entrepreneur va à l’encontre de l’ordre établi pour créer des choses. On aime le voir débuter et avancer.
Cependant, dès que notre cheminement nous amène à connaître un grand succès, cela est moins bien accueilli. Peut-être que les gens croient que nous sommes devenus l’établissement qu’ils n’aiment pas. C’est malheureux, car ce n’est pas du tout ça être un entrepreneur.

4 – Parlons un peu de votre participation à Dragons’ Den.
Quel défi personnel avez-vous relevé en participant à cette émission ?
Ça m’a semblé être une occasion intéressante. En l’analysant, je n’y ai vu que du positif ! En revanche, ma présence à l’émission a attiré l’attention et les universités ont commencé à m’inviter pour donner des conférences, entre autres.
Le seul point négatif de tout cela, c’est que pour être moi-même et donner des conférences en toute transparence, afin de transmettre aux gens des informations pertinentes sur mon cheminement d’entrepreneur, j’ai dû faire une introspection afin de bien véhiculer les hauts et les bas. Parfois, cela nous rappelle des choses qu’on préférerait oublier.
Un entrepreneur doit toujours foncer, toujours être fort. Dans la défaite, il doit avoir le réflexe de rapidement transformer le négatif en positif et se relever. Cependant, on garde le chagrin. Dans les moments d’introspection, lorsqu’on pense à ce qu’on a surmonté, on n’a pas le choix de voir ce chagrin, ce négatif. Parfois on en tire une leçon, d’autres fois non…

5 – Quels sont les éléments les plus importants dans une présentation à Dragons’ Den ?
La nature de l’émission est d’évaluer les résultats. Il faut comprendre la personne. Par exemple, est-ce un rêveur ou un pragmatique?
J’essaie surtout de voir si la personne a mené le raisonnement adéquat pour le cheminement éventuel qu’on réalisera ensemble. Une relation d’affaires, c’est comme un mariage, si ce n’est pas gagnant-gagnant, ça ne fonctionnera pas.
On veut retrouver une combinaison de confiance en soi et d’humilité, pour mener à bien les projets et être en mesure de recevoir les critiques et le mentorat de façon positive et constructive.

6. Y a-t-il actuellement un entrepreneur que vous admirez particulièrement et, si oui, qui est-ce et pourquoi?
Alain Bouchard. J’ai eu la chance de le rencontrer quand il était président d’honneur de La Notte in Bianco, une fête annuelle que j’organise pour recueillir des fonds au profit de la Chaire de recherche Environnement-Cancer Guzzo de l’Université de Montréal. Je suis impressionné par son humilité étant donné son grand succès. Il est authentique et aucunement prétentieux !

7 – En terminant, que donneriez-vous comme conseils aux entrepreneurs lançant leur entreprise.
Posez-vous la question suivante : Que suis-je prêt à sacrifier pour atteindre mon objectif? On ne peut pas être tout pour tout le monde. Nous devons échouer dans quelque chose. Dans quoi échoueriez-vous?
Je m’explique. Quand on est entrepreneur, on peut être un bon homme d’affaires et un bon mari, mais un mauvais père. Ou encore, un bon père, mais un mauvais mari. Vous comprenez ? Ça demande une grande partie de votre énergie.
Au nom du succès, êtes-vous prêt à être reconnu comme un mauvais père, mari, associé, être humain, etc. ? Je vous pose ces questions pour voir si un éventuel succès vous changera en quelqu’un dont vous seriez fier, ou encore, en quelqu’un que vous ne souhaiteriez pas devenir.
J’ai vu des gens avoir des scrupules lorsqu’il était trop tard. Le succès a un prix. À vous de voir si vous êtes prêts à le payer pour atteindre vos objectifs.

Les débuts

En tant que fils unique d’immigrants italiens, il a toujours su qu’il pouvait transformer la petite entreprise de cinémas de son père en ce véritable empire que sont les Cinémas Guzzo d’aujourd’hui. Pour ce faire, il devait cependant affronter les chefs de file de ce milieu. Armé de diplômes en droit et en commerce, Vincenzo est rapidement devenu le grand patron des complexes cinématographiques ainsi que des nombreuses entreprises qu’il a créées.

Vingt-trois ans plus tard, Guzzo est président et chef de la direction des Cinémas Guzzo, le plus important exploitant indépendant de salles de cinéma au Québec et le troisième plus important au Canada. Sa chaîne compte un total de 145 écrans : neuf cinémas IMAX et 10 emplacements. D’autres devraient ouvrir au cours des trois prochaines années selon cet homme d’affaires des plus ambitieux.

En 2019, Guzzo élargit ses horizons en devenant restaurateur. Il est copropriétaire de deux pizzerias italiennes gastronomiques, Giulietta, ainsi qu’une troisième qui s’apprête à ouvrir ses portes. Vous ne pouvez pas vous rendre dans l’un de ses restaurants ? Aucun problème. Guzzo vend maintenant sa pizza directement aux consommateurs via LoveFoodToGo.com et dans les cinémas Guzzo. Il s’est également tourné vers la vente au détail de produits alimentaires avec Good Pantry, Giulietta @Home et M. Sunshine, proposant une gamme de maïs soufflé et de chocolats, laquelle sera bientôt offerte en magasin.(1)

Vincenzo Guzzo et sa femme Maria sont aussi des philanthropes de renom. Le couple effectue d’ailleurs de généreux dons à de nombreux hôpitaux. Leur engagement a engendré la création de la Fondation de la famille Guzzo en 2007, laquelle s’investit activement dans la recherche en nanotechnologie contre le cancer à l’Hôpital général juif de Montréal et à l’Université McGill.
Les contributions de Guzzo ont été reconnues internationalement. Lauréat de la Médaille du jubilé de diamant de la reine, il a été fait chevalier de l’Ordre du mérite de la République italienne et membre distingué de l’Ordre de Malte.(2)

Sources :
1 – Dragons’ Den.
2 – Association des gens d’affaires et des professionnels italo-canadiens (CIBPA)

Catégories
Potins

Donald Brashear à Dragons’ Den

L’ancien hockeyeur professionnel Donald Brashear trouve toujours une façon originale de faire parler de lui. Il y a un peu plus d’un an, il avait signé un contrat avec l’équipe suédoise de MODO, réputée comme l’une des meilleures d’Europe.

Brashear avait alors 42 ans.

Maintenant, l’ancien homme-fort du Canadien de Montréal joue dans la Ligue nord-américaine de hockey (LNAH), mais dirige aussi une petite ligne de bâtons de hockey nommée BRASH87.

Mercredi soir (3 février), Brashear sera de passage à la populaire émission Dragons’ Den afin d’obtenir du financement pour commercialiser à grande échelle ses bâtons.

Son objectif ? Rendre disponible un équipement de grande qualité à bas prix, question que tous les joueurs puissent profiter de la technologie.

Dans un extrait vidéo présenté sur le site de CBC, diffuseur de l’émission, on comprend que Brashear a le projet de démocratiser le hockey à cœur, lui qui vient d’un milieu modeste de la ville de Québec.

Donald Brashear a disputé près de 1000 matchs dans la Ligue nationale de hockey (LNH) avant de prendre sa retraite en 2010.

Photo : Facebook

Catégories
Potins

Marie-Chantal Toupin amoureuse d’un dragon

La chanteuse québécoise de 41 ans a fait les manchettes du populaire magazine Échos Vedettes cette semaine. Avec elle était photographié son nouvel amoureux, le richissime homme d’affaires François Lambert.

La dernière fois que Marie-Chantal Toupin avait parlé de cœur, c’était sous un ciel moins ensoleillé, alors qu’elle se séparait de son conjoint et gérant de longue date, Eduardo Da Costa.

Le 21 mai dernier, le nouveau couple avait fait parler de lui, alors que les tourtereaux s’étaient embrassés en public à la soirée Tweetaide. C’est à ce moment que les rumeurs avaient été lancées.

C’est en participant à l’émission Un souper presque parfait que l’entrepreneur de 44 ans a été révélé au public en 2012. Ensuite, Lambert a fait parler de lui en participant à l’émission Dans l’œil du dragon, version québécoise de The Dragon’s Den.

D’abord consultant en télécommunication, François Lambert est cofondateur d’Aheeva, entreprise spécialisée en logiciels pour centres d’appels. Il est aussi cofondateur des centres d’appels Atelka.

Maintenant, il appuie des projets d’entreprises naissantes et des investissements immobiliers.