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Lea Michele ignorait que Cory Monteith avait fait une rechute

En plein deuil de son amoureux, Cory Monteith, Lea Michele a du mal à digérer les nouvelles au sujet de son décès.

En effet, le coroner a mentionné ce matin (17 juillet) que l’acteur de 31 ans avait succombé à une surdose d’héroïne et d’alcool. Mais Michele ignorait qu’il était retombé dans ses problèmes après sa cure de désintoxication d’avril dernier.

« Lea est inconsolable », mentionne une source au Us Weekly. Présentement, elle prépare les funérailles de Monteith en compagnie de la famille de ce dernier. « Elle a parlé à la famille de Cory et veut tout planifier en vue des funérailles. C’est juste dévastateur, des nouvelles tragiques. Beaucoup de ses amis à Los Angeles ignoraient à quel point ses problèmes de consommation étaient graves. Tout le monde est sous le choc », ajoute la source.

Heureusement, Lea Michele peut compter sur le soutien de son meilleur ami, Jonathan Groff, qui était aussi un grand ami de Monteith.

« Lea est profondément reconnaissante de tout l’amour et de tout le soutien qu’elle a reçus de la famille, des amis et des fans. Depuis le décès de Cory, Lea vit son deuil avec sa famille et prépare les arrangements nécessaires avec eux. Ils se soutiennent les uns les autres comme on peut le faire lors de grandes pertes », a laissé savoir le porte-parole de l’actrice.

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La marijuana médicinale pour enfant

Aussi choquant que cela puisse paraître, cette pratique n’est plus exactement inhabituelle. Dix-huit États, plus Washington, D.C., permettent l’utilisation de la marijuana médicinale.

Certains d’entre eux fournissent aussi des prescriptions pour les enfants, sous supervision parentale, afin de traiter une foule de maux, allant de l’autisme au cancer en passant par les convulsions.

Un article paru sur le site web de NBC News explique que certaines critiques, dont l’American Academy of Pediatrics, soutiennent que le recours n’a pas été testé cliniquement chez les enfants et peut avoir des conséquences à long terme.

Cependant il est aussi question de l’histoire de Zaki Jackson, un enfant souffrant de graves convulsions épileptiques depuis qu’il était bébé. Dès qu’il a commencé son traitement à la marijuana, à l’âge de 10 ans, ses problèmes ont cessé.

La drogue de Zaki est fournie spécialement pour lui par une équipe de frères qui cultivent légalement de la marijuana médicinale. Elle a été conçue avec un faible niveau de THC, mais des niveaux plus élevés d’un autre cannabinoïde appelé cannabidiol.

« Bien que les deux cannabinoïdes ont une incidence sur les douleurs, les nausées et les convulsions, le cannabidiol n’est pas psychoactif », a déclaré la Dre Margaret Gedde de l’Institut des cliniciens en médecine de cannabis.

Cela signifie que les enfants qui utilisent ce type de marijuana ne se « gèlent » pas.

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Un traitement contre le déficit d’attention pourrait traiter la dépendance à la cocaïne

Le Daily Mail (UK) rapporte une nouvelle étude qui abonde dans le même sens que certaines précédentes, qui affirment toutes que le populaire traitement Ritalin contre le déficit d’attention pourrait également venir en aide à certains toxicomanes.

On parle principalement des personnes souffrant de dépendance à la cocaïne, révèle cette plus récente recherche sur le sujet, puisque le Ritalin permettrait un changement au cerveau qui réduirait certains symptômes liés à cette dépendance.

Par exemple, le traitement permettrait d’améliorer le système de contrôle de soi, en plus de diminuer la férocité de la sensation de manque.

Les chercheurs en tête de cette recherche, basés à l’Icahn School of Medicine at Mount Sinai, rapportent également qu’une seule dose de Ritalin permet de créer des changements observables et significatifs.

« Le Ritalin administré oralement permet d’augmenter les taux de dopamine au cerveau, comme la cocaïne, mais sans les propriétés de dépendance », lance Rita Goldstein, professeure de psychiatrie au Mount Sinai Hospital.

S’il y a donc de l’espoir pour les gens dépendants de cette drogue, on rappelle que plusieurs études ont suggéré l’effet inverse, c’est-à-dire qu’une prise continue de Ritalin chez un jeune individu augmenterait les risques de créer une dépendance à la cocaïne dans le futur. 

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La consommation pendant l’allaitement

Bien que ça puisse sembler logique pour plusieurs, ça ne peut faire de mal de rappeler aux femmes souhaitant allaiter leur bébé que ces substances ont toutes un effet sur le lait maternel.

Sur le site Famili.fr, un article explique les répercussions néfastes de la consommation post-accouchement. À peu près comme quand il était dans votre ventre, presque tout ce que vous consommez a un impact sur ce que vous refilez à bébé lors de la tétée.

Vous savez que l’alcool se rend directement dans votre sang. Il en est de même pour votre lait. En effet, le taux d’alcoolémie est identique dans les deux liquides. Cela veut dire que si vous buvez 2 verres et allaitez ensuite votre petit, vous l’intoxiquez.

Si l’occasion se présente de prendre un verre, il serait préférable de le prendre tout de suite après la tétée et d’attendre environs 5 heures avant la prochaine. Même chose pour la marijuana. Une autre solution serait de tirer votre lait avant de consommer.

Pour ce qui est de la cigarette, l’impact est moins dramatique, mais n’empêche, sa consommation nuirait à l’éjection du lait et lui donnerait même un goût et une odeur désagréable. Pas très plaisant pour bébé!

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La dépendance à la nourriture, un phénomène bien réel?

Peut-on être dépendant de la nourriture? C’est une question ou plutôt une information largement répandue en cette période où le surpoids et l’obésité sont devenus des problèmes de santé de type pandémiques.

Doit-on considérer que certaines personnes ou certains comportements relèvent d’abord de la dépendance avant de soigner ou de diriger les patients vers des pistes de solution? Pour des chercheurs américains basés à l’Hôpital pour enfants de Boston, la réponse est oui.

Ces conclusions sont par ailleurs publiées dans l’American Journal of Clinical Nutrition et rapportées par le Daily Mail (UK), entre autres.

L’auteur en chef de l’étude, le Dr David Ludwig, explique : « Au-delà de la récompense et du manque, cette partie du cerveau est aussi liée à l’abus de substances et à la dépendance, ce qui soulève la question à savoir si certains aliments peuvent créer une dépendance ».

Le Dr Ludwig fait bien sûr référence au fameux « centre du plaisir » du cerveau, qui réagit fortement face à certains produits. Les plus connus sont bien sûr l’héroïne et la cigarette, mais on découvre qu’une réaction similaire est observable à la suite de l’ingestion d’aliments à forte teneur glycémique comme le pain blanc, les pommes de terre et plusieurs produits considérés comme de la malbouffe.

D’autres études doivent être faites, alors que le sujet demeure hautement controversé.

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Johnny Depp n’a jamais été alcoolique

Dans une longue entrevue avec le magazine Rolling Stone, l’acteur Johnny Depp y va de confidence en confidence. Après avoir parlé de sa rupture avec Vanessa Paradis, disant que les dernières années avaient été difficiles pour le couple, Depp parle maintenant de sa consommation d’alcool et de drogues.

Bien qu’il admette en avoir pris beaucoup, il se défend d’avoir été drogué ou alcoolique. Il y a un an et demi, il a toutefois décidé de ne plus boire.

« Je n’ai pas besoin physiquement de prendre de la drogue ou de boire de l’alcool. Non, c’est plutôt mon automédication, pour calmer tout ce cirque au fil des années. Quand le cirque fait effet, toute cette fête dans le cerveau, ça peut être impitoyable », dit-il.

Il ajoute qu’il ne ressent aucun besoin de se défoncer pour être heureux. « J’ai presque tout ce que je veux, sans ça. Je me suis plongé abondamment dans le vin et les spiritueux, et ils se sont sans doute plongés en moi également : on s’est rendu compte qu’on fonctionnait bien ensemble. Peut-être trop bien. »

Sa réputation d’alcoolique et de fêtard, il l’attribue à ses frasques dans les hôtels alors qu’il fréquentait Kate Moss, mais aussi parce qu’il est un bon ami de gens comme Keith Richards des Rolling Stones et Bob Dylan.

Malgré tout, Depp se défend d’avoir eu une dépendance, et ce, même dans les moments difficiles comme sa séparation de Vanessa Paradis. Ses enfants, Lily-Rose et Jack, l’ont aidé à garder la tête froide.

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Johnny Depp n’a jamais été alcoolique

Dans une longue entrevue avec le magazine Rolling Stone, l’acteur Johnny Depp y va de confidence en confidence. Après avoir parlé de sa rupture avec Vanessa Paradis, disant que les dernières années avaient été difficiles pour le couple, Depp parle maintenant de sa consommation d’alcool et de drogues.

Bien qu’il admette en avoir pris beaucoup, il se défend d’avoir été drogué ou alcoolique. Il y a un an et demi, il a toutefois décidé de ne plus boire.

« Je n’ai pas besoin physiquement de prendre de la drogue ou de boire de l’alcool. Non, c’est plutôt mon automédication, pour calmer tout ce cirque au fil des années. Quand le cirque fait effet, toute cette fête dans le cerveau, ça peut être impitoyable », dit-il.

Il ajoute qu’il ne ressent aucun besoin de se défoncer pour être heureux. « J’ai presque tout ce que je veux, sans ça. Je me suis plongé abondamment dans le vin et les spiritueux, et ils se sont sans doute plongés en moi également : on s’est rendu compte qu’on fonctionnait bien ensemble. Peut-être trop bien. »

Sa réputation d’alcoolique et de fêtard, il l’attribue à ses frasques dans les hôtels alors qu’il fréquentait Kate Moss, mais aussi parce qu’il est un bon ami de gens comme Keith Richards des Rolling Stones et Bob Dylan.

Malgré tout, Depp se défend d’avoir eu une dépendance, et ce, même dans les moments difficiles comme sa séparation de Vanessa Paradis. Ses enfants, Lily-Rose et Jack, l’ont aidé à garder la tête froide.

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Sharon et Ozzy Osbourne vivent de nouveau ensemble

Sharon Osbourne, dévastée par la rechute dans l’alcool et la drogue de son conjoint des trente dernières années, Ozzy Osbourne, avait quitté le domicile familial plus tôt cette année pour s’installer au Beverly Hills Hotel.

Maintenant que le chanteur de 64 ans a promis qu’il ne touchait plus à l’alcool et la drogue, l’animatrice est de retour chez elle.

« Sharon est déterminée à aider Ozzy à rester loin de ces substances. Elle a même embauché une “équipe de sobriété” pour le surveiller 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour l’éloigner des dangers potentiels », raconte une source à TMZ.

L’animatrice se réjouit maintenant de retrouver son mari sobre, mais elle lui a dit qu’au moindre écart, il pourrait y avoir des conséquences graves sur leur union.

« Ozzy fera tout ce que Sharon demande tant qu’elle le reprend. Il ne peut supporter de vivre sans elle. Mais elle l’a prévenu de ne rien faire dans son dos. Au moindre dérapage, elle partira », ajoute la source.

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Matthew Perry parle de ses abus

Alors qu’il était au sommet de son succès, Matthew Perry combattait de très fortes dépendances. Malgré tout, il dit lui-même avoir été très doué pour dissimuler ses problèmes à ses amis et collègues de Friends, Jennifer Aniston, Courteney Cox, David Schwimmer, Matt Leblanc et Lisa Kudrow. Ils ont cependant fini par s’en rendre compte.

Au fil de temps, l’acteur de 43 ans s’est battu contre ses dépendances à l’alcool, au Vicodin, aux opiacés, à la méthadone et aux amphétamines. Il admet aujourd’hui avoir beaucoup de mal à regarder des photos de lui de cette époque. « C’est effrayant à regarder. J’étais un homme vraiment très malade », dit-il en se confiant à Mail Online.

Depuis son rétablissement, il participe activement à aider d’autres toxicomanes dans leur bataille. Il a entre autres transformé son manoir sur le bord de l’eau de Malibu en maison de transition pour les hommes qui sortent de traitements.

Il explique sa motivation en disant : « À la fin d’un traitement, quand on retourne dans le vrai monde, la route est parfois trop cahoteuse ».

Il travaille également de pair avec le spécialiste en dépendance Earl Hightower sur son projet Perry House pour lequel il a récemment été prisé par la Maison-Blanche.

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Matthew Perry parle de ses abus

Alors qu’il était au sommet de son succès, Matthew Perry combattait de très fortes dépendances. Malgré tout, il dit lui-même avoir été très doué pour dissimuler ses problèmes à ses amis et collègues de Friends, Jennifer Aniston, Courteney Cox, David Schwimmer, Matt Leblanc et Lisa Kudrow. Ils ont cependant fini par s’en rendre compte.

Au fil de temps, l’acteur de 43 ans s’est battu contre ses dépendances à l’alcool, au Vicodin, aux opiacés, à la méthadone et aux amphétamines. Il admet aujourd’hui avoir beaucoup de mal à regarder des photos de lui de cette époque.

« C’est effrayant à regarder. J’étais un homme vraiment très malade », dit-il en se confiant à Mail Online.

Depuis son rétablissement, il participe activement à aider d’autres toxicomanes dans leur bataille. Il a entre autres transformé son manoir sur le bord de l’eau de Malibu en maison de transition pour les hommes qui sortent de traitements.

Il explique sa motivation en disant : « À la fin d’un traitement, quand on retourne dans le vrai monde, la route est parfois trop cahoteuse ».

Il travaille également de pair avec le spécialiste en dépendance Earl Hightower sur son projet Perry House pour lequel il a récemment été prisé par la Maison-Blanche.