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Justin Timberlake consomme de la drogue

Le chanteur et acteur de 30 ans Justin Timberlake ne cache aucunement le fait qu’il fume de la drogue lorsqu’il a besoin d’une pause mentale. C’est du moins ce qu’il a confié au magazine Playboy.

Par contre, Timberlake affirme qu’il est mûr pour cesser sa consommation de marijuana. « Je sens que je suis à un tournant de ma vie et qu’il y a beaucoup de choses que je peux apprécier, si seulement je prends le temps de m’arrêter pour prendre le temps d’en profiter. »
 
Le chanteur, dont le dernier album remonte à 2006 et qui a rapidement atteint le stade du disque platine, avoue ne pas savoir où il en est avec la musique. « On me demande souvent à quel moment je produirai un nouvel album. Je n’en sais rien, ce n’est pas une priorité pour l’instant », explique Justin Timberlake.
 
Peut-être est-ce le fait d’avoir touché à l’industrie du film qui le fait hésiter. Timberlake affirme qu’il se considère toujours comme un débutant dans tout ce qu’il entreprend : « C’est important de se diversifier et d’apprendre d’autrui. J’espère être en mode apprentissage jusqu’à mes vieux jours. »

Son prochain film, la comédie Friends with Benefits avec Mila Kunis, sortira le 22 juillet prochain.

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D’autres risques liés au TDAH

Une récente étude du Massachusetts General Hospital parue dans le Journal of the American Academy of Child & Adolescent Psychiatry démontre un lien entre le trouble du déficit de l’attention avec hyperactivité (TDAH) et les problèmes de consommation.

On a suivi des patients dès l’âge de 11 ans, ces derniers vivant tous avec le TDAH. On a remarqué que 10 ans plus tard, leur trouble était un indicateur important d’une future dépendance, à la cigarette, aux drogues ou à l’alcool.
 
En comparaison à ces 268 enfants ayant le TDAH, on a suivi un groupe témoin formé de 229 enfants. Tous les participants avaient sensiblement le même âge au début de la recherche, soit 10,9 ans en moyenne dans le premier groupe et 11,9 ans en moyenne dans le second.

Selon les chercheurs, les enfants atteints du TDAH étaient trois fois plus enclins à développer une dépendance. En ciblant certains facteurs, ils en sont tout de même arrivés à un risque plus élevé de 1,5 fois chez ceux qui avaient un trouble du déficit de l’attention.

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Musique

Les paroles manuscrites de Lucy in the Sky with Diamonds rapportent gros

La chanson Lucy in the Sky with Diamonds des Beatles est paru sur l’album Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band lancé en 1967. Les paroles, écrites par John Lennon, auraient été inspirées par un dessin de son fils, alors âgé de 4 ans. Toutefois, les médias et les fans ont longtemps spéculé que les initiales de la chanson, LSD, faisaient référence à la drogue hallucinogène.

Il n’en demeure pas moins que le manuscrit composé de la main de Lennon et comportant également le début des paroles de la chanson She’s Leaving Home, du même album, s’est vendu 237 132 $ aux enchères. Il s’agit, selon Spinner, de l’une des ventes d’articles commémoratifs les plus importantes à Los Angeles.
 
« Le document était visiblement une composition en pleine évolution, puisqu’il est plein de ratures et de notes », rapporte une source. Néanmoins, toujours aucun indice sur la possible référence au LSD, ce qui laisse encore aujourd’hui une porte ouverte aux mauvaises langues.

Certains sont cependant intrigués de la réunion de ces deux chansons sur la même feuille, pour ne pas dire qu’ils doutent de l’authenticité du document de John Lennon. En effet, alors que Lucy in the Sky with Diamonds a été écrite par Lennon, She’s Leaving Home est une composition de Paul McCartney.

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Potins

Whitney Houston encore en cure?

Selon TMZ, Whitney Houston se serait inscrite de son propre chef à un programme de réadaptation. Ce programme est suivi par le biais de soins ambulatoires, ce qui signifie que la chanteuse ne se trouve pas en centre fermé en ce moment.

Il semble par ailleurs que le programme ne concerne pas la consommation d’alcool ou de drogue. Rappelons que Houston a fait plusieurs cures dans le passé pour se libérer de ses dépendances à l’alcool et aux drogues dures.
 
Elle a donc commencé ce programme, dont l’objet demeure secret, il y une dizaine de jours. Whitney Houston peut donc se trouver en public sans problème, tant qu’elle est accompagnée d’un moniteur. Ainsi, elle a été vue à un concert de Prince à Los Angeles avec sa fille à ses côtés.

D’après ce qu’a confié une source à TMZ, la vedette suivrait ce programme afin d’être bien prête pour le tournage d’un tout nouveau film.

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L’Internet pousserait les ados vers la drogue?

Selon une étude de la Queen’s University publiée dans le Journal of Preventive Medicine, les jeunes qui passent beaucoup de temps sur Internet auraient plus tendance à consommer des drogues et à avoir des relations sexuelles non protégées.

La différence serait grande entre ceux qui demeurent collés à leur ordinateur et les autres. On estime donc que les jeunes accros de l’Internet seraient 50 % plus enclins à adopter un comportement à risque.
 
La raison en serait que selon une théorie sociale cognitive, lorsque nous sommes témoins de personnes ayant un certain comportement, nous sommes poussés à en faire l’apprentissage, donc à le répéter.

Depuis quelques années, les adolescents passent de plus en plus de temps à l’ordinateur, soit plus de 4,5 heures par jour en moyenne. Ils se retrouvent donc très exposés à différents comportements transmis par la publicité, laquelle est devenue très présente sur Internet.

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Les aliments gras et sucrés créent une dépendance

Ne vous demandez plus pourquoi vous ne pouvez pas résister à un gâteau, une barre de chocolat ou encore à un hamburger de la chaîne de restauration rapide de votre coin. Des chercheurs américains ont trouvé que les aliments gras et sucrés créaient le même genre de dépendance que la drogue.
 
L’étude effectuée sur des rats s’est échelonnée sur trois ans. Les aliments gras et sucrés ont créé chez les animaux une véritable dépendance, similaire à ce que l’on constate avec la consommation de drogue.
 
Les rongeurs habitués à ce type d’alimentation pouvaient en manger compulsivement, au point de devenir obèses en seulement quelques mois.
 
Les chercheurs croient donc que comme la drogue, l’obésité aurait les mêmes fondements neurologiques.
 
Les effets obtenus chez les rats pourraient donc également se confirmer chez l’homme.
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Plus de dépendances chez les enfants avec le TDAH

Indépendamment du sexe et de l’ethnie, un enfant atteint d’un trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) connaîtra plus souvent des problèmes de consommation une fois adulte.

C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des spécialistes de l’Université de la Caroline du Sud après avoir analysé 27 études longitudinales. Celles-ci avaient suivi au total plus de 10 000 enfants.

Sur une période de 10 ans, on a donc observé 4 100 enfants atteints du TDAH et 6 800 enfants non atteints. On a remarqué que ceux avec le trouble avaient deux à trois fois plus souvent des problèmes de consommation à l’adolescence et à l’âge adulte.

Ces problèmes concernaient l’alcool, la nicotine, la marijuana, la cocaïne ainsi que d’autres drogues. De plus, on a remarqué que les personnes qui avaient eu un trouble déficitaire de l’attention n’arrivaient pas à se défaire de leur dépendance.

Selon les chercheurs de cette étude, parue dernièrement dans Clinical Psychology Review, on pourrait douter du résultat s’il ne s’agissait que d’une seule étude. Or, la conclusion est tirée de plus de 25 recherches différentes.

On peut donc conclure à l’importance d’un diagnostic le plus tôt possible et à la nécessité d’un suivi médical adéquat pour les enfants atteints du TDAH.

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Les parents refusent de voir la réalité quant aux drogues

Le Centre canadien de la lutte contre l’alcoolisme et les toxicomanies a commandé un sondage qui a été réalisé par téléphone auprès de 1 002 parents. Du lot, 131 parents avaient des enfants âgés de 12 à 17 ans.

Selon 70 % des répondants, leurs adolescents n’ont jamais expérimenté la drogue, que ce soit des substances illicites ou des antidouleurs sous ordonnance. Or, la réalité est tout autre.

Un autre sondage, celui-là réalisé en Ontario en 2009, nous a appris que près du tiers des jeunes de 15 à 17 ans et plus de la moitié des 18 à 19 ans ont fumé de la marijuana durant l’année.

Par ailleurs, le cinquième des parents du présent sondage a reconnu que la pharmacie du domicile contenait des antidouleurs sous ordonnance, mais croit à 92 % que leurs adolescents n’en ont jamais volé.

Pourtant, 18 % des jeunes Ontariens ont avoué en avoir déjà consommé dans un but autre que de soulager la douleur et les avoir pris à la maison.

Michel Perron, chef de la direction du Centre canadien, conseille donc aux parents de parler ouvertement de drogues avec leurs adolescents, sans toutefois le faire d’une manière inquisitrice.

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Les parents refusent de voir la réalité quant aux drogues

Le Centre canadien de la lutte contre l’alcoolisme et les toxicomanies a commandé un sondage qui a été réalisé par téléphone auprès de 1 002 parents. Du lot, 131 parents avaient des enfants âgés de 12 à 17 ans.

Selon 70 % des répondants, leurs adolescents n’ont jamais expérimenté la drogue, que ce soit des substances illicites ou des antidouleurs sous ordonnance. Or, la réalité est tout autre.

Un autre sondage, celui-là réalisé en Ontario en 2009, nous a appris que près du tiers des jeunes de 15 à 17 ans et plus de la moitié des 18 à 19 ans ont fumé de la marijuana durant l’année.

Par ailleurs, le cinquième des parents du présent sondage a reconnu que la pharmacie du domicile contenait des antidouleurs sous ordonnance, mais croit à 92 % que leurs adolescents n’en ont jamais volé.

Pourtant, 18 % des jeunes Ontariens ont avoué en avoir déjà consommé dans un but autre que de soulager la douleur et les avoir pris à la maison.

Michel Perron, chef de la direction du Centre canadien, conseille donc aux parents de parler ouvertement de drogues avec leurs adolescents, sans toutefois le faire d’une manière inquisitrice.

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Les jeux vidéo seraient bons pour les garçons

Des chercheurs de l’Université Yale ont remarqué que les jeux vidéo avaient des effets sur les garçons et les filles.

Selon leurs résultats, parus dans Pediatrics, les garçons auraient des bénéfices à tirer en jouant à ces jeux mais l’impact serait tout le contraire chez les jeunes filles.

En fait, il semble que les garçons adeptes de ces activités seraient moins portés à fumer la cigarette et à consommer de la drogue (ici, de la marijuana). Ils auraient aussi tendance à avoir de meilleurs résultats scolaires.

Les filles qui s’adonnent à ces mêmes jeux, quant à elles, auraient plus de risques d’être mêler à des disputes avec coups ainsi qu’à posséder une arme.

On a pu tirer ces conclusions d’après un sondage réalisé auprès de 4 028 adolescents du Connecticut, les questionnant sur leurs habitudes de jeux vidéo et leur comportement en général.

Un peu plus de la moitié de ces jeunes jouaient à des jeux électroniques sur une base hebdomadaire. Parmi ceux-ci, plus de 75 % étaient des garçons.