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Khloe Kardashian: Son ex retrouvé inconscient dans un bordel

Lamar Odom a été retrouvé inconscient dans un bordel hier, le 13 octobre.

Son ex-femme, Khloe Kardashian serait dévastée et se serait empressée de se rendre à son chevet. 

Un informateur dit: «Khloe Kardashian avait coupé tous les liens avec Lamar cet été, mais est restée inquiète pour lui».

En effet, apparemment que la triste nouvelle n’aurait pas surpris la famille Kardashian, comme Odom aurait un mode de vie plutôt destructeur.

Selon le site web de E! News, le joueur de basketball n’aurait toujours pas repris conscience et serait dans un état critique.

Selon un autre site, TMZ, l’homme de 35 ans fêtait avec des filles au bordel depuis samedi et aurait consommé un substitut de Viagra à base de plantes.

Kardashian avait confié plus tôt cette année que jamais elle ne cesserait d’aimer Odom, même si le divorce était lié aux infidélités de l’athlète.

L’ancien couple s’était marié en septembre 2009, un mois seulement après leur rencontre dans une fête. Le divorce a eu lieu en décembre 2013.

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Susan Sarandon et David Bowie ont déjà été amoureux

En 1983, alors qu’ils étaient les vedettes du film The Hunger, Susan Sarandon et David Bowie ont eu une liaison amoureuse « secrète ».

Leur aventure se serait terminée, car Susan Sarandon, aînée d’une famille de neuf ans qu’elle a maternés plus d’une fois, ne voulait pas d’enfants à l’époque.

Finalement, l’actrice de Thelma and Louise sera finalement devenue maman malgré elle en 1985, alors qu’elle tombait enceinte du cinéaste italien Franco Amurri. Elle a ensuite rencontré sur le plateau de Bull Durham l’acteur Tim Robbins, avec qui elle a eu deux fils.

De son côté, David Bowie a également rencontré quelqu’un avec qui il partage sa vie depuis de nombreuses années. Il est marié avec Iman depuis 1992, et ils ont eu une fille.

À 67 ans, Susan Sarandon semble encore admirer en quelque sorte celui qu’elle a déjà aimé. Au journal The Daily Beast, elle a dit : « Bowie… Ouais. Ça vaut la peine de l’idolâtrer. C’est extraordinaire. C’était une période intéressante. Bowie était vraiment intéressant et si lumineux. Il est talentueux, c’est un peintre, et il est formidable ».

L’actrice sera bientôt à l’affiche du film The Last of Robin Hood, qui raconte l’histoire d’amour entre un homme de 48 ans et une adolescente de 15 ans.

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Portia de Rossi veut des enfants avec Ellen DeGeneres

Portia De Rossi a déjà dit ne pas vouloir avoir d’enfants, selon ce que rapporte Film News, mais semble avoir changé d’avis, croyant maintenant qu’un petit pourrait aider à rendre plus fort son mariage avec Ellen DeGeneres.

Une source a confié à InTouch Weekly : « Tout ce dont parle Portia, c’est de commencer un nouveau chapitre de leur vie et fonder une famille. Même si Ellen n’est pas aussi chaude que sa conjointe à l’idée d’avoir des enfants, elle est censée aller de l’avant pour encourager Portia qui est désespérée ».

Convaincue qu’un bébé est son meilleur remède, Portia De Rossi serait allée consulter ses diverses options dans un centre pour futurs parents et fécondation in vitro à Encino, en Californie.

L’actrice aurait même fait faire un montage vidéo de tous les enfants que sa femme Ellen a interviewés au cours de sa vie. Un moyen d’amadouer l’animatrice, qui aurait été très touchée et sans mot devant la vidéo. De Rossi lui aurait chuchoté à l’oreille après le visionnement : « Tu serais la meilleure mère qui peut exister »..

Rappelons qu’en mai, Portia De Rossi est entrée dans un centre de réadaptation pour régler des problèmes d’alcoolisme et de toxicomanie. Tous les jours, Ellen DeGeneres lui rendait visite.

Cette période sombre semble avoir été difficile pour le couple, marié depuis 2008. Selon la source, « elles sont sur la bonne voie. Même si ce ne sera pas facile et que Portia est prise par ses vieux démons, elles s’aiment ».

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Angelina Jolie a peur de son passé

Mère de six enfants et épouse engagée, femme respectée dans l’industrie et ambassadrice pour les Nations Unies, Angelina Jolie a de quoi avoir peur que son passé noir et houleux refasse surface.

L’actrice oscarisée avoue qu’elle a déjà consommé toutes les drogues possibles parce qu’elle « se cherchait et tentait de se trouver une identité », explique le site Film-News. Il n’en demeure pas moins qu’elle est effrayée à l’idée que ses enfants voient la vidéo enregistrée par son présumé ancien trafiquant de drogue.

Dans une entrevue scandaleuse avec le National Enquirer, Franklin Meyer a affirmé avoir fourni des substances à Angelina Jolie et en savoir beaucoup sur les secrets sexuels de la star avec son ancien mari, Billy Bob Thornton.

Il a raconté : « Angie était l’une de mes clientes depuis plusieurs années. Je lui vendais son héroïne et sa cocaïne. Un jour, elle m’a appelé et m’a demandé de venir la chercher chez elle. C’était sa façon de me dire qu’elle voulait que je passe pour une livraison de drogues. À l’époque, je venais d’acheter une caméra vidéo, et j’ai décidé de l’apporter. Quand je suis arrivé, je lui ai donné la drogue, puis elle m’a donné de l’argent. Son visage était émacié, et elle avait des marques d’aiguilles partout sur les bras ».

Une source près de l’actrice de 39 ans a confié au magazine britannique Star : « Angelina se sent humiliée par cette vidéo. Elle ne nie rien, par contre son passé noir n’est pas un bon souvenir pour elle ».

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Angelina Jolie a peur de son passé

Mère de six enfants et épouse engagée, femme respectée dans l’industrie et ambassadrice pour les Nations Unies, Angelina Jolie a de quoi avoir peur que son passé noir et houleux refasse surface.

L’actrice oscarisée avoue qu’elle a déjà consommé toutes les drogues possibles parce qu’elle « se cherchait et tentait de se trouver une identité », explique le site Film-News. Il n’en demeure pas moins qu’elle est effrayée à l’idée que ses enfants voient la vidéo enregistrée par son présumé ancien trafiquant de drogue.

Dans une entrevue scandaleuse avec le National Enquirer, Franklin Meyer a affirmé avoir fourni des substances à Angelina Jolie et en savoir beaucoup sur les secrets sexuels de la star avec son ancien mari, Billy Bob Thornton.

Il a raconté : « Angie était l’une de mes clientes depuis plusieurs années. Je lui vendais son héroïne et sa cocaïne. Un jour, elle m’a appelé et m’a demandé de venir la chercher chez elle. C’était sa façon de me dire qu’elle voulait que je passe pour une livraison de drogues. À l’époque, je venais d’acheter une caméra vidéo, et j’ai décidé de l’apporter. Quand je suis arrivé, je lui ai donné la drogue, puis elle m’a donné de l’argent. Son visage était émacié, et elle avait des marques d’aiguilles partout sur les bras ».

Une source près de l’actrice de 39 ans a confié au magazine britannique Star : « Angelina se sent humiliée par cette vidéo. Elle ne nie rien, par contre son passé noir n’est pas un bon souvenir pour elle ».

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Le climat scolaire plus efficace pour la prévention des drogues

Aux États-Unis, une école secondaire sur cinq utilise le dépistage de drogue comme moyen de prévenir ou de décourager l’usage de marijuana. Malheureusement, les résultats de cette pratique s’avèrent peu efficaces, selon Science World Report.

« Même si le dépistage de drogue à l’air d’un bon moyen préventif, basé sur la science, cela ne fonctionne pas », a déclaré Daniel Romer, de l’University of Pennsylvania Annenberg Public Policy Center en Pennsylvanie.

La recherche effectuée par son équipe a porté sur un échantillon de 361 étudiants, dont le tiers avait procédé au dépistage de drogues. Les scientifiques ont découvert que ceux-ci étaient tout aussi enclins à l’utilisation de tabac, de l’alcool ou de drogues.

Cependant, les chercheurs ont remarqué une corrélation entre l’atmosphère positive d’un milieu scolaire, notamment où l’on encourage le respect entre les professeurs et les élèves et où l’encadrement est plus proactif, et la diminution des dépendances à ces substances.

Les étudiants évoluant dans ces milieux étaient 20 % moins à risque d’essayer la marijuana, puis à 15 % relativement aux produits du tabac. Cependant, l’usage d’alcool, dans tous les cas, demeurait inchangé.

Le détail de l’étude a été publié dans le Journal of Studies on Alcohol and Drugs.  

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Grossesse : la consommation de tabac, drogues et alcool varie selon la race

Selon une enquête publiée cette semaine et dont les données ont été recueillies entre 2002 et 2010 par l’organisme américain Substance Abuse and Mental Health Services Administration, le taux de consommation de drogues, de tabac et d’alcool dépend de la race de la future mère.

Ainsi, il a été démontré que chez les femmes enceintes de race blanche, presque 22 % d’entre elles ont fumé à l’intérieur des 30 jours précédant l’accouchement, comparativement à 14 % des femmes noires et 6,5 % des hispaniques.

Si les femmes noires se retrouvent au deuxième rang en matière de tabac, elles grimpent au premier échelon en ce qui a trait à la consommation de drogues illicites. En effet, elles ont été dénombrées à 7,7 %, comparativement à 4,4 % chez les blanches et environ 3 % chez les femmes hispaniques.

Quant au plaisir de prendre un verre, le taux de consommation était pratiquement similaire chez les femmes de race noire et blanche (12,8 % et 12,2 %), alors qu’il était relativement plus bas chez les femmes hispaniques (7,4 %).

Selon l’organisme, même si les dangers d’abus de ce type de substances sont connus pour les mères et les bébés, il est important de trouver ce qui pousse les femmes enceintes de différentes ethnies à consommer, car chaque personne peut avoir ses motifs.

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Les enfants plus pauvres consommeraient plus de drogues

C’est ce qu’a démontré une étude, publiée dans le Journal of Public Health, se penchant sur la relation entre le bien-être subjectif, l’usage de substances et le contexte socioéconomique auprès des écoliers de 10 à 15 ans en Angleterre.

Cependant, les jeunes qui disent être capables de communiquer avec leur famille plutôt qu’avec leurs amis seraient moins susceptibles de consommer des substances illicites.

Les auteurs de la recherche prétendent que le contexte socioéconomique de l’enfant, le désir de se sentir bien ainsi que le sexe de l’enfant influençaient ses habitudes de consommation.

D’autre part, ils disent que le fait de recevoir des repas gratuits augmenterait le risque d’utiliser de telles substances, puisque les enfants éligibles à ce programme sont globalement moins heureux que ceux qui ne le sont pas.

Les chercheurs ont également relié le fait de fumer du tabac à des risques plus élevés de consommer d’autres drogues.

Rappelons qu’en 2009, 180 000 enfants de 11 à 15 ans fumaient régulièrement du tabac, 540 000 avaient consommé de l’alcool dans la semaine avant, et 250 000 avaient pris de la drogue dans le mois précédent.

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L’abus d’alcool et de drogue peut se développer dès l’adolescence

Une étude française soulève l’inquiétude quant à la consommation d’alcool et de drogue chez les adolescents.
 
En moyenne, c’est à 14 ans que les jeunes commencent à consommer, selon les Archives of General Psychiatry.
 
Le professeur Joel Swendsen et ses collègues de l’Université de Bordeaux ont examiné la prévalence, l’âge auquel les jeunes ont commencé à consommer ainsi que le facteur sociodémographique de 10 123 jeunes âgés de 13 à 18 ans.
 
78,2 % des adolescents disent avoir consommé de l’alcool, 47,1 % d’entre eux en consomment régulièrement, soit au moins 12 verres par année, et 15,1 % dépassent les critères d’abus.
 
Chez les adolescents un peu plus âgés, 81,4 % ont déjà pris de la drogue, alors que 16,4 % disent en consommer régulièrement.
 
On constate aussi que les adolescents blancs ou hispaniques sont les plus grands consommateurs.
 
L’étude révèle aussi qu’une consommation à l’adolescence est de plus en plus considérée comme un indicateur d’abus de substances plus tard.
 
Il est donc important de commencer la prévention très tôt afin d’informer les jeunes des dangers de l’alcool et des drogues.
 

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Drogues chez les enfants adoptés: les parents biologiques jouent un rôle

Les enfants adoptés, dont les parents biologiques avaient un problème de drogue, sont plus susceptibles d’abuser de drogues eux-mêmes, selon une recherche publiée récemment en ligne par les Archives of General Psychiatry.  

Les auteurs indiquent qu’ils ont mis beaucoup de temps à démontrer que les facteurs familiaux ont un lien avec l’abus de drogues, parmi les millions de personnes qui sont accros à cette substance à travers le monde.
 
Les chercheurs ont étudié 18 115 enfants qui sont nés en Suède entre 1950 et 1993. Ils ont également étudié leurs parents biologiques et adoptifs.
 
Ils ont notamment expliqué que la probabilité d’une dépendance à la drogue chez les enfants qui ont été adoptés et dont un parent biologique avait un problème de drogue était de 8,6 %. Ces enfants adoptés ont finalement obtenu un taux de 4,5 %, comparé à 2,9 % pour ceux qui sont nés à la même période.
 
Une étude de 2008 a indiqué qu’environ 120 000 enfants sont adoptés chaque année aux États-Unis.