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Hollywood PQ

Roy Dupuis: «J’ai connu la violence conjugale»

Roy Dupuis était de passage sur le plateau de Tout le monde en parle le 22 janvier pour parler de sa série À cœur battant en compagnie de la comédienne Ève Landry.

Une série dont le sujet principal est la violence conjugale et qui vient certainement remémorer des souvenirs à l’acteur puisque lui-même a été victime de violence, confirmait-il lors de son entrevue avec Guy A. Lepage.

«De reprendre ce personnage-là, dans ce contexte-là, ça t’interpellait beaucoup. Pourquoi?», demandait Guy A. Lepage à Roy Dupuis, faisant ainsi allusion à son personnage de Christophe L’Allier qui existait aussi auparavant dans la série Toute la vie.

«(…) Je sens qu’il y a un problème à régler. Je dirais à accepter que la violence (…) c’est une maladie, si on ne s’occupe pas de cette maladie-là, elle se répand. J’ai connu la violence conjugale, j’ai eu un père violent, j’ai été battu. Il battait ma sœur, mon frère et ma mère. Le plus traumatisant c’est quand il battait ma mère, donc c’est quelque chose que je connais, c’est un sujet que je connais», répondait un Roy Dupuis très candide et touchant.

«Lui, mon père, tout ce qu’il connaissait, c’était comme ça qu’il a été élevé, puis même pire. Quand j’ai appris qui était le père de mon père, à travers la psychanalyse, j’ai appris à comprendre mon père (…) Pour moi il y a quelque chose d’exponentiel là-dedans (…)», ajoute l’acteur.

L’acteur révèle d’ailleurs avoir choisi de faire une thérapie à l’époque pour s’assurer que s’il fondait une famille, il ne ferait pas les mêmes erreurs que son paternel.

Un moment de télévision très touchant.

La résilience de Roy Dupuis est remarquable, n’est-ce pas?

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Divertissement Potins

Déjà 30 ans pour «Les filles de Caleb»

Comme le temps a passé vite!

Voilà déjà 30 ans que Les filles de Caleb s’imposait sur les ondes de Radio-Canada, transformant en partie et à jamais le paysage télévisuel québécois.

C’est en effet en 1990 que les téléspectateurs faisaient la connaissance d’Ovila Pronovost et d’Émilie Bordeleau en chair et en os dans ce qui allait devenir une série culte au Québec.

Émilie Bordeleau en personne, ou plutôt Marina Orsini, n’allait par ailleurs pas manquer une aussi belle opportunité de rendre hommage à l’un des personnages les plus importants de sa carrière.

«30 ans…déjà…», écrit le plus simplement du monde la comédienne, un message assorti d’un coeur que l’on devine bien senti, en légende de deux photos de Roy Dupuis, alias Ovila, et d’elle.

Les filles de Caleb, l’adaptation de la saga d’Arlette Cousture du même nom, a été diffusée entre octobre 1990 et février 1991, dépassant souvent la barre des trois millions de téléspectateurs par épisode.

La série a eu droit à une suite, Blanche, en 1993.

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Divertissement Potins

Déjà 30 ans pour «Les filles de Caleb»

Comme le temps a passé vite!

Voilà déjà 30 ans que Les filles de Caleb s’imposait sur les ondes de Radio-Canada, transformant en partie et à jamais le paysage télévisuel québécois.

C’est en effet en 1990 que les téléspectateurs faisaient la connaissance d’Ovila Pronovost et d’Émilie Bordeleau en chair et en os dans ce qui allait devenir une série culte au Québec.

Émilie Bordeleau en personne, ou plutôt Marina Orsini, n’allait par ailleurs pas manquer une aussi belle opportunité de rendre hommage à l’un des personnages les plus importants de sa carrière.

«30 ans…déjà…», écrit le plus simplement du monde la comédienne, un message assorti d’un coeur que l’on devine bien senti, en légende de deux photos de Roy Dupuis, alias Ovila, et d’elle.

Les filles de Caleb, l’adaptation de la saga d’Arlette Cousture du même nom, a été diffusée entre octobre 1990 et février 1991, dépassant souvent la barre des trois millions de téléspectateurs par épisode.

La série a eu droit à une suite, Blanche, en 1993.

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Cinéma

Gaston Lagaffe adapté au cinéma

UGC va produire une adaptation cinématographique des aventures de Gaston Lagaffe, rapporte le Figaro.

La confirmation survient après de longues négociations entre la maison d’édition Dupuis et UGC, qui se sont finalement entendus sur les termes d’une entente.

Le célèbre personnage de bande dessinée prendra donc vie, sous la direction du réalisateur Pierre-François Martin-Laval.

Il s’agira d’une grande première pour Gaston Lagaffe, qui n’a jamais été transposé au grand écran comme d’autres de ses homologues emblématiques comme Astérix et Obélix, ou encore Tintin.

Dupuis voit donc un autre de ses projets créer de l’engouement au cinéma, après les confirmations des adaptations du Petit Spirou et de Benoît Brisefer.

D’ici à la réalisation de ce film qui sera certainement très couru, Pierre-François Martin-Laval s’attaquera d’abord à la suite de Les Profs, prévue pour cet été (juillet 2015).

La sortie de Gaston Lagaffe, le film, est prévue pour 2016.

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Cinéma

Suzanne Clément et Paul Doucet pour Rest Home

L’intense Suzanne Clément et le talentueux Paul Doucet se retrouveront pour le tournage du film Rest Home, un projet anglophone, rapporte le Journal de Québec.

Mené par le réalisateur Michael Rowe, Rest Home s’annonce comme un drame sombre et percutant. L’histoire est celle d’un homme menant une vie paisible et oeuvrant au sein d’une maison de retraite, mais qui basculera dans la folie après avoir surpris sa femme avec un autre prétendant, selon cette même source.

« C’est un projet très intéressant. Ce sont deux personnages maganés par le passé qui essaient de refaire leur vie ensemble. Mais la lourdeur du passé est très présente. Michael est vraiment un auteur et un cinéaste fascinant. Il s’intéresse beaucoup aux silences et aux atmosphères », explique un Paul Doucet enthousiaste en entrevue avec le JDQ.

Michael Rowe a été récompensé à Cannes en 2010 pour Année bissextile, et tentera de séduire de nouveau les critiques avec Rest Home.

Fait intéressant, le premier rôle masculin avait initialement été proposé à Roy Dupuis, mais Michael Rowe a finalement préféré Paul Doucet. Même chose pour le premier rôle féminin, qui devait aller à Melissa George. Un conflit d’horaire aura finalement souri à Suzanne Clément.

Paul Doucet sera également en vedette dans Guilbord s’en va-t-en-guerre, justement en compagnie de Suzanne Clément, et dans la version française des Nouveaux Héros.