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Des vies prolongées grâce à un virus modifié

Le magazine britannique Nature Medicine a publié un rapport qui relate certains tests concluants effectués sur des patients atteints du cancer du foie, qui ont vu leur vie être prolongée grâce à une nouvelle percée médicale prometteuse.

De fait, ce sont 30 patients en phase terminale de la maladie qui ont reçu le traitement, que l’on décrit comme un virus modifié capable de cibler les cellules cancéreuses.

C’est clairement la nouvelle approche de la communauté scientifique en matière de cancer, c’est-à-dire de créer des éléments qui peuvent « tuer » les cellules cancéreuses.

On a pu observer que les patients qui avaient reçu des doses importantes de ce virus modifié, appelé Pexa-Vec, ont prolongé leur vie de 7 à 14 mois en moyenne, selon les sujets.

« C’est la première fois dans l’histoire de la médecine que nous avons pu montrer qu’un virus issu du génie génétique pouvait améliorer la survie de patients atteints du cancer », lance David Kim, coauteur des recherches.

La chimiothérapie a ses limites, de l’aveu même des spécialistes, et de telles techniques permettraient de combattre sur plusieurs fronts et sur une période de temps plus longue.

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Les gens généreux vivraient plus longtemps

Une nouvelle étude rapportée par Santé Log devrait rendre les plus généreux d’entre vous très heureux, alors que les plus pingres risquent fort d’être déçus.

Pour les chercheurs américains en tête de l’étude, la générosité et l’altruisme permettraient une plus grande durée de vie. Cette longévité serait observable assez facilement chez ce type de personne, notamment parce que les gestes de générosité abaissent le niveau de stress.

Ce fameux stress, outre les maladies graves à proprement parler, s’avère l’ennemi numéro un de la santé depuis plusieurs années.

Les chercheurs de l’Université de Buffalo croient que les actes de générosité sont un puissant contre-stress et permettent d’étirer la durée de vie chez ceux qui en pratiquent souvent.

En pratique, cela signifie que les gens stressés ont plus de risque de décéder avant le temps, mais que ceux qui sont portés vers les autres et aiment aider et faire preuve de générosité « récupèrent » ces années, ou font diminuer les risques créés par le stress.

Ce n’est pas la première étude à tracer un tel lien entre les comportements psychosociaux et la longévité, mais on commence à se rendre compte de plus en plus à quel point nos actions ont une véritable incidence sur l’avenir et notre santé.

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Bilan de santé désastreux pour les baby-boomers

Radio-Canada rapporte une nouvelle concernant le bilan de santé des baby-boomers, et il ne semble pas très reluisant.

En fait, il semble que la génération phare de la société québécoise moderne ne soit pas préoccupée outre mesure par les risques de problèmes de santé qui se pointent le bout du nez avec l’âge.

Pourtant, les mêmes répondants à ce sondage proposé par la Fondation des maladies du cœur affirment avoir des plans précis et de grands projets pour leur retraite et leurs jours dorés.

Pour y parvenir, encore faut-il s’y rendre… vivant! Pour la Fondation, les baby-boomers doivent commencer à prendre leur santé au sérieux. On semble croire que les bilans sont bons du côté des principaux intéressés, mais lorsqu’interrogés sur leurs habitudes alimentaires et de vie, il y a de quoi s’alarmer.

Nourriture excessive et malbouffe, manque de fruits et de légumes, trop peu d’activité physique, bref, tout y passe. En moyenne, il semble que cette génération, pourtant vieillissante, s’assure de ne pas finir ses jours en beauté.

Selon Statistiques Canada, même avec une plus grande durée de vie, il existe un écart de près de dix ans entre l’espérance de vie moyenne et l’espérance de vie… en santé.

Une prolongation de vie inutile si on ne peut en profiter.

 

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Les relations sérieuses augmenteraient l’espérance de vie

Célibataires, vous voudrez peut-être réviser votre style de vie à la suite de la parution d’une nouvelle étude qui traite de longévité et de relations amoureuses et sociales.

En fait, l’étude américaine propose le constat suivant : entretenir une relation amoureuse sérieuse et à long terme permettrait de vivre plus longtemps.

Ce sont des chercheurs de l’Université de Caroline du Nord, rapporte Santé Log, qui proposent ce constat, après avoir analysé les dossiers de près de 5000 personnes nées dans les années 40.

Ces sujets ont répondu aux questions des chercheurs, et ces derniers ont aisément remarqué que les gens qui vivaient en couple jouissaient d’une longévité supérieure.

Ceci serait particulièrement vrai à partir de 40 ans, souligne l’équipe de spécialistes. Être seul passé la quarantaine pourrait augmenter les risques de mortalité par trois fois, croient-ils.

Après avoir analysé les variables et les autres paramètres qui pouvaient influencer la santé des sujets en question, ils concluent que le concubinage a un réel impact, et un impact majeur.

Ceci pourrait s’expliquer par les réactions émotionnelles ressenties en couple, en plus des styles de vie plus sains qui accompagneraient ce choix de vie.

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Étude contradictoire dans le dossier du surpoids et de la longévité

Voilà une étude qui fait jaser et qui continuera de le faire au fil des prochaines semaines. Le Journal of the Medical American Association (JAMA) vient de publier des recherches qui indiquent la possibilité d’une meilleure espérance de vie chez les gens légèrement en surpoids.

Voici qui contredit à peu près tout ce qui a été publié jusqu’à maintenant en matière de poids, de santé et de longévité.

La nouvelle de cette publication est reprise par plusieurs médias, dont Radio-Canada. On explique par ailleurs que cette étude n’en est pas une mince, mais plutôt ce que l’on appelle une « méta-étude ». On entend par là que cette étude analyse les résultats de plusieurs autres études précédentes sur un même sujet, dans ce cas-ci plus de 97 recherches couvrant pas moins de trois millions de personnes.

On parle de l’indice de masse corporelle, qui pourrait favoriser une plus grande durée de vie chez ceux qui en affichent une plus grande que la moyenne (IMC de 25 à 29,9, par exemple, contre 18,5 à 24,9 pour la moyenne).

Passé ces chiffres, les risques de mortalité prématurée grimpent en flèche. On parle donc d’un « bénéfice » observable dans les cas de surpoids léger.

Les chercheurs expliquent le phénomène par plusieurs théories plausibles, à commencer par celle qui veut que ces graisses en trop puissent bien fournir des énergies supplémentaires lorsque le corps tente de combattre les virus et maladies.

On peut s’attendre à voir d’autres études et recherches réagir à celle-ci dans un avenir rapproché.

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Le Roquefort : fontaine de jouvence?

Revirement de situation dans le cas du Roquefort, ce fromage gras, lourd et bleu, souvent déconseillé dans le cadre d’un régime alimentaire sain.

C’est que selon topsante.com, des chercheurs britanniques viennent de découvrir que le fameux fromage français possède des propriétés qui empêchent le vieillissement prématuré.

Le Roquefort, une fontaine de jouvence? Le mot est fort, mais il semble que ses vertus soient vérifiables. Si cela semble étrange pour certains spécialistes, notamment pour sa grande teneur en gras, cela pourrait expliquer notamment l’espérance de vie plus longue que la moyenne chez certaines Françaises amatrices de ce produit.

La durée de vie des Françaises, en moyenne, est de 84 ans.

Les chercheurs britanniques de Cambridge cherchaient d’abord à expliquer cet écart de longévité avec plusieurs autres peuples. Le vin rouge n’étant pas la réponse absolue, ils se sont tournés vers d’autres produits et aliments consommés massivement par les Français.

Le Roquefort s’est démarqué des autres, notamment par ses vertus anti-inflammatoires. Il appert également que malgré un taux de lipides élevé, le fromage ne serait pas néfaste pour la santé cardiaque.

Le fromage bleu reprend donc ses lettres de noblesse, au point où les chercheurs, qui ont baptisé le phénomène French Paradox, suggèrent à l’industrie cosmétique d’analyser les propriétés anti-âge du fameux fromage.

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« L’avantage de la survie » démontré chez les médaillés olympiques

Une étude rapportée par www.nlm.nih.gov vient démystifier le rapport entre la longévité et la pratique de certains sports.

Ainsi, on apprend d’abord que ceux qui pratiquent une activité de faible intensité sporadiquement, comme le golf, verraient leur durée vie augmenter de façon identique à ceux qui pratiquent un sport un peu plus intense.

C’est lorsqu’on arrive au sport d’élite que les chercheurs peuvent constater un réel changement sur la durée de vie potentielle. Ainsi, les chercheurs australiens en tête de l’étude parlent d’un véritable « avantage de survie » observable chez les médaillés olympiques, notamment.

L’auteur en chef, Philip Clarke, explique : « Nous ne cherchions pas à déterminer si les médaillés olympiques vivaient plus longtemps, mais plusieurs explications sont possibles quant à ce phénomène, dont l’activité physique, des choix de vie sains, le rang social et le statut qui découlent d’une victoire sur la scène mondiale ».

On note par ailleurs que les sportifs professionnels qui évoluent dans des sports de contact comme le football, le rugby ou le hockey auraient un taux de mortalité 11 % plus élevé (en fonction de la durée de vie) que leurs compatriotes des sports d’élite ou de puissance (cyclisme, canot-kayak, etc.).

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L’alcoolisme plus mortel que le tabagisme

De nouvelles recherches suggèrent que l’alcoolisme est plus ravageur que le tabagisme quant à l’espérance de vie, entre autres.

Ces résultats, rapportés par www.nlm.nih.gov, tendent à démontrer que la durée de vie serait raccourcie de plus d’années chez un alcoolique que chez un fumeur. On affirme aussi que cette statistique s’applique d’autant plus chez les femmes aux prises avec un problème d’alcool.

Voilà qui a de quoi surprendre, puisque la cigarette est devenue l’ennemi public numéro un en matière de santé au fil des dernières années.

Les chercheurs allemands à l’origine de ces recherches sont convaincus de ce qu’ils avancent : le taux de mortalité est 4,6 fois plus élevé chez les femmes alcooliques, et 1,9 fois plus chez les hommes, en comparaison avec le reste de la population dite « générale ».

Il s’agit d’une super-étude, puisque des données concernant plus de 4000 individus ont été compilées pour arriver à ces résultats.

Le directeur de l’Institute of Epidemiology and Social Medicine de l’University Medicine Greifswald urge les gens qui ont des problèmes d’alcool à consulter le plus rapidement possible afin d’obtenir de l’aide.

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Les fumeurs dorment moins longtemps et moins bien

La revue Addiction Biology dévoile une nouvelle étude sur les effets du tabagisme sur le sommeil.
 
Plus les personnes fument, plus elles auront un sommeil de courte durée et de piètre qualité.
 
Des chercheurs ont suivi 1071 fumeurs (au moins sept cigarettes par semaine) et 1243 non-fumeurs, tous âgés de 18 à 65 ans.
 
Ces participants ont répondu à un questionnaire sur leur sommeil, comme le temps pris pour s’endormir, la qualité du sommeil, la durée, l’efficacité et les troubles de sommeil.
 
Ceux qui fument le plus sont ceux qui déclarent avoir les moins bonnes nuits de sommeil. Le temps pour s’endormir est plus long, la durée et la qualité du sommeil sont moindres.
 
Le seul point positif, si l’on peut dire, est que les fumeurs vivent moins de somnolence diurne, en raison des effets de stimulants comme la nicotine.
 
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Une nouvelle méthode pour réduire la durée du rhume

Le Journal de l’Association médicale canadienne rapporte que les pastilles de zinc peuvent réduire la durée du rhume chez les adultes, permettant deux jours de moins de maladie.
 
Selon la Dre Michelle Science, on n’a remarqué aucun effet chez les enfants, probablement en raison du fait que durant les essais cliniques, les petits ont reçu des doses plus petites et sous forme de sirop.
 
Cependant, les bénéfices peuvent être vite relégués au second plan en raison des effets indésirables, notamment le mauvais goût des pastilles, mais aussi la possibilité de ressentir des nausées.
 
De plus, on ajoute que les pastilles de zinc n’ont aucune incidence sur l’intensité des symptômes du rhume.
 
Il reste maintenant à trouver le type de zinc et les doses exactes qui sont les plus efficaces pour réduire la durée du rhume.