Catégories
Hollywood PQ

FouKi se confie sur sa dyslexie

FouKi était de passage au Fabuleux printemps de Marie-Lyne, animé par Marie-Lyne Joncas, et il se confiait sur un fait que pas tout le monde connaît à son propos.

En effet, c’est suite à une question de l’humoriste que ce dernier se confiait sur son problème de dyslexie.

«Chien champion, aka Felipe Arriagada, c’est lui qui a fait vraiment tout ton visuel, ou presque, c’est avec lui que tu travailles. Qu’est ce que tu aimes de son univers coloré, cartoonesque?», demande Marie-Lyne.

«Bien, moi, en fait je suis un peu dyslexique, j’ai toujours eu de la misère à lire. Puis, c’est quelque chose qui m’a aidé à lire et à aimer la lecture, c’est les BD, c’est les manga. Ma musique aussi je trouve que des fois elle a un côté un peu cartoonesque, justement», lance un FouKi pas mal touchant.

Une confidence du chanteur qui permettra sans doute d’aider plusieurs jeunes dans cette situation!

Bonne continuation à FouKi!

Catégories
Potins

Jennifer Aniston parle des impacts de la dyslexie

Jennifer Aniston accepte de parler de son problème de dyslexie, et révèle que ce diagnostic aura eu plusieurs impacts sur sa vie.

Un diagnostic qui n’aura été confirmé qu’au début de la vingtaine dans son cas, ce qui avait mené l’actrice à croire qu’elle n’était pas vraiment intelligente.

« Je croyais que je n’étais pas intelligente. Je ne pouvais rien retenir. Mes yeux sautaient quatre mots et revenaient sur les deux précédents. J’avais aussi un œil qui semblait un peu à l’écart de l’autre. Je savais que je souffrais de ça (la dyslexie), parce que je devais porter des lunettes de prescription qui ressemblaient à celles de Buddy Holly », explique Jennifer Aniston.

Le diagnostic final aura au moins eu pour effet de permettre à Jennifer Aniston de comprendre qu’il s’agissait d’un problème de santé relativement commun, et non d’un trouble de l’intelligence.

Par ailleurs, Aniston reçoit ces temps-ci un vaste support d’artisans et de cinéphiles saluant sa performance dans Cake, pour laquelle elle n’a reçu aucune considération en vue des Oscars 2015.

Catégories
Potins

Les difficultés de Channing Tatum avec sa dyslexie et son TDAH

« J’ai toujours négocié les choses de la vie de façon physique, du football aux bagarres dans les parcs en passant par le strip-tease », raconte l’acteur de 34 ans Channing Tatum.

Celui-ci s’apprête à incarner le rôle le plus exigeant de sa carrière dans Foxcatcher. Tatum entrera dans la peau du lutteur olympique Mark Schultz. Il se sent proche du personnage à cause de leurs débuts dans la pauvreté.

Us Magazine rapporte que si l’acteur aime aussi « être acculé au pied du mur parce que ça te force à être créatif », c’est qu’il a été habitué à devoir faire sa place alors qu’il ne se sentait intégré nulle part à l’école.

Ayant reçu un diagnostic de dyslexie et de trouble de déficit d’attention avec hyperactivité, Channing Tatum s’est retrouvé en classe avec des enfants souffrant de trisomie et d’autisme. Il se disait « alors voilà ce que tu vaux ».

Selon lui, il y a une grosse faille dans le système scolaire lorsqu’on est « différent », puisque les enfants ne reçoivent pas l’encadrement qu’ils devraient recevoir.

Catégories
Uncategorized

Une imagerie cérébrale pour déceler les futurs troubles de dyslexie

Habituellement, on détecte les troubles de lecture trop tard, en ce sens que l’enfant est déjà dans le processus scolaire et traîne de la patte en comparaison de ses pairs.

Or, grâce à une intervention préventive, il serait possible d’améliorer les capacités de lecture et d’apprentissage dès le début, ce qui permettrait aux jeunes d’être mieux encadrés.

C’est l’objectif que vise Chelsea Myers et son équipe, indique Science World Report. Les scientifiques ont examiné l’imagerie cérébrale de 38 élèves de la maternelle. Ils ont par la suite suivi l’évolution de la matière blanche du cerveau de ces enfants jusqu’à la 3e année.

Ils ont découvert des différences notables parmi les enfants qui avaient de la difficulté à lire. Rappelons que la matière blanche est reliée directement à la perception, la pensée et l’apprentissage.

Le scanneur du cerveau a amélioré les prédictions de 60 % par rapport aux tests traditionnels de détection de troubles de lecture et de dyslexie.

La recherche a été publiée dans la revue scientifique Psychological Science.

Catégories
Uncategorized

Le tiers des adultes dyslexiques ont été victimes de violence physique durant l’enfance

Ce sont les résultats apportés par les chercheurs de l’Université de Toronto, en collaboration avec ceux de l’École de médecin universitaire de la Caroline du Nord, à Chapel Hill.

On mentionne que 35 % des adultes dyslexiques affirment avoir subi une agression physique avant l’âge de 18 ans. Or, dans la population générale, ce taux est de 7 %, indique Science World Report.

L’étude s’est portée sur 13 054 adultes de plus de 18 ans et plus, faisant partie du Canadian Community Health Survey. En tout, 1020 répondants avaient indiqué de la violence physique et parmi eux, 77 ont reçu un diagnostic de dyslexie de la part d’un professionnel de la santé.

Les deux coauteurs de la recherche, Esme Fuller-Thomson et Sandra Rotman, ont expliqué : « Même après avoir considéré l’âge, la nationalité, le sexe et d’autres facteurs comme les dépendances des parents, la violence physique était tout de même 6 fois plus susceptible d’être associée à la dyslexie ».

On s’attend à ce que les praticiens de première ligne, notamment en milieu scolaire, se penchent de façon préventive sur la question lorsqu’un enfant a des troubles de dyslexie.

Catégories
Uncategorized

Une nouvelle solution pour éliminer la dyslexie

Un enfant dyslexique peut avoir de sérieux troubles d’apprentissage. Dans le but de « guérir » ce trouble d’association des lettres et des sons, le psychologue Bart Boers, de l’Université catholique de Louvain, située en Belgique, apporte de nouvelles informations.

La science a toujours revendiqué que la dyslexie est le résultat d’informations mal stockées. Néanmoins, Boers rapporte, selon Top Santé, que ce serait en réalité la connectivité donnant accès à ces informations qui causerait le trouble dyslexique.

En d’autres termes, les connexions analysant la phonétique seraient inaccessibles. Les tests portés dans le cadre de la recherche ont analysé l’imagerie par résonnance magnétique du cerveau de 45 étudiants, dont 23 étaient dyslexiques.

Les résultats ont démontré que l’information phonétique était stockée de la même façon, tant par les participants atteints de dyslexie que les autres. Or, lorsqu’il s’agissait d’isoler les phonèmes (unités du son), les caractéristiques désordonnées de la dyslexie se manifestaient par l’incapacité de certaines zones du cerveau à traiter l’information.

Boers compte bien poursuivre sa recherche et prouver que l’on peut rétablir la connectivité des régions défectueuses du cerveau par stimulation électromagnétique.

S’il a raison, le traitement pourrait être prometteur pour aider les enfants qui ont des troubles d’apprentissage reliés à cette affection.

Catégories
Uncategorized

Les tablettes électroniques mieux adaptées pour les dyslexiques

La dyslexie frappe plus de gens qu’on le croit et s’avère souvent franchement frustrante pour ceux qui en souffrent, alors que les lettres s’embrouillent et transforment le plaisir de lire en véritable cauchemar.

La technologie et ses récents fruits, notamment les tablettes électroniques, pourraient bien aider en partie les personnes dyslexiques, selon ce que rapporte Santé Log.

En effet, selon une étude réalisée par des chercheurs de Harvard, les iPad de ce monde aident grandement à réduire les problèmes liés à la dyslexie, notamment grâce à la possibilité d’ajuster plusieurs paramètres comme la taille des lettres, la luminosité et le nombre de mots affichés par ligne.

Ce sont les conclusions de l’équipe de chercheurs en tête de l’étude, qui les publie dans la plus récente édition du magazine PLoS One, après avoir analysé un groupe de 100 patients souffrant de dyslexie.

Utilisant pour l’occasion un iPod touch, les chercheurs ont soumis quelques textes à lire aux patients volontaires, tout en changeant les paramètres visuels.

L’équipe de Harvard a rapidement remarqué qu’il était bel et bien possible d’améliorer la vitesse de lecture des participants, ainsi que leur facilité à décoder les messages.

Une excellente nouvelle pour les gens atteints de ce trouble, mais aussi pour les enfants, qui peuvent maintenant compter sur un nouvel outil de taille pour améliorer leur sort.  

Catégories
Uncategorized

La dyslexie causée par la déficience visuelle

Alors qu’il faut se montrer indulgent lorsque nos enfants apprennent à lire, il faut aussi rester alerte. Si une difficulté persiste, il se pourrait que votre petit souffre de dyslexie.

La dyslexie est un trouble spécifique de l’apprentissage de la lecture, lié à une difficulté particulière à identifier et mémoriser les lettres, les syllabes ou les mots, et aussi une difficulté à manipuler des sons mentalement. Voilà pourquoi les gens atteints ont du mal à lire correctement.

Une nouvelle recherche conduite par l’INSERM révèle un lien entre la dyslexie et la déficience visuelle. Une précédente étude avait lié la dyslexie à une anomalie du cortex auditif, mais avait tout de même suggéré la déficience visuelle comme possible cause.

Lors de ladite étude, les enfants dyslexiques observés étaient tous atteints de distraction visuelle. Ils avaient cependant vu leurs rapidité et exactitude de lecture être grandement améliorées lorsque les lettres des mots étaient plus espacées.

Publiés dans la revue Clinical Neurophysiology, les nouveaux résultats confirmant ce lien pourraient aider à détecter les troubles d’inattention visuels plus tôt et les prendre en charge plus rapidement, ce qui éviterait beaucoup de difficultés et d’embarras pour les jeunes à l’école.

Catégories
Uncategorized

Les jeux vidéo peuvent aider les enfants dyslexiques

L’étude a été publiée dans le journal scientifique Current Biology et correspond à la deuxième phase d’une recherche d’une même équipe italienne, qui a déjà établi que la dyslexie serait due à des problèmes d’attention visuelle, plutôt qu’à des problèmes d’apprentissage du langage.

Ces chercheurs ont testé les habiletés de lecture, de phonologie et d’attention de deux groupes d’enfants dyslexiques, avant et après que ceux-ci aient joué à des jeux vidéo durant 9 périodes de 80 minutes.

Ceux qui avaient joué aux jeux vidéo basés sur l’action étaient capables de lire plus vite, sans pourtant perdre de l’exactitude, et ils ont également fait des gains au niveau de l’attention.

« Les jeux vidéo d’action peuvent accroitre plusieurs aspects de l’attention visuelle, en particulier l’amélioration de l’extraction d’information dans l’environnement. Les enfants dyslexiques de notre étude ont appris à orienter et à concentrer leur attention de manière plus efficace, pour ainsi extraire l’information pertinente d’un mot plus rapidement », a noté le professeur Andrea Facoetti, selon ce que rapporte Science Daily.

Jusqu’à un enfant sur 10 aurait une forme de dyslexie, qui rend la lecture difficile.

Catégories
Uncategorized

Les chercheurs ont découvert un marqueur biologique de la dyslexie

Dans le cadre d’une nouvelle étude, des chercheurs ont enregistré les ondes cérébrales automatiques produites par 100 enfants d’âge scolaire lorsqu’ils entendaient des sons reliés à leur langue maternelle.

Selon les chercheurs, ceux qui possédaient les meilleures habiletés en lecture encodaient ces sons de la manière la plus constante possible, tandis que ceux qui éprouvaient le plus de difficultés à lire n’avaient pas une réponse constante.

En théorie, la réponse du cerveau des enfants devrait se stabiliser une fois que ceux-ci ont réussi à correctement lier les sons avec leur signification. Mais ce processus ne se fait pas bien chez les enfants dyslexiques. Ces enfants peuvent toutefois apprendre à décoder les sons correctement.

Les enfants qui lisaient le moins bien dans l’étude ont reçu un appareil « d’assistance à l’écoute » qui transmettait leur voix directement dans leurs oreilles. Au bout d’un an, ces enfants avaient non seulement plus de facilité avec la lecture, mais leur cerveau encodait les sons de manière plus constante, en particulier les consonnes.

Sachez donc qu’il est rare que les gens aient de la difficulté à encoder les voyelles, puisque les sons associés à celles-ci sont relativement simples et longs, ont fait remarquer les auteurs, selon Science Daily.