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La boîte à lunch, source d’empoisonnement alimentaire

Selon Female First, vider les petites graines dans le fond de la boite à lunch ne suffit pas. D’autre part, les linges à vaisselle sont eux-mêmes contaminés de bactéries.

S’il reste des graines dans le fond de la boîte à lunch, vous laissez libre cours à un incubateur de bactéries telles que la E. coli, la salmonelle et le staphylocoque doré. Ces informations proviennent de la Dettol Back to School Study.

N’oubliez pas que la boîte à lunch demeure à la température de la pièce. Il s’agit de conditions idéales pour la propagation de bactéries, ce qui augmente le risque d’empoisonnement alimentaire. En 8 heures à peine, une seule bactérie de la salmonelle se multiplie jusqu’à plusieurs millions.

Quelques trucs

– Ne réutilisez jamais les mêmes emballages pour les collations (sac à glissière, papier d’aluminium)

– Faites congeler les boissons. Elles éviteront que le repas n’atteigne la température critique

– Pour nettoyer la boîte à lunch, utilisez des lingettes désinfectantes qui retirent près de 100 % des bactéries.

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Enrayer l’E. coli grâce aux bactériophages

Le MedicalNewsToday rapporte une nouvelle étude qui vante les mérites des bactériophages contre l’E. coli, cette bactérie retrouvée dans certains aliments.

Ce sont des chercheurs de l’Université Purdue qui proposent la théorie et croient que les bactériophages permettraient d’enrayer 99 % des traces d’E. coli dans les aliments visés.

C’est d’ailleurs le résultat obtenu à la suite de l’essai et l’injection de bactériophages dans du brocoli et de la viande de bœuf, rapporte-t-on dans l’étude.

« Le traitement par les “phages” permet de libérer les propriétés naturelles antibactériennes de celles-ci, et de limiter l’E. coli et les autres pathogènes importants transmis par la nourriture », explique le professeur Paul Ebner.

Les résultats sur le brocoli ont même parfois atteint un taux de réussite de 99,9 %, ce qui s’avère une bonne nouvelle.

« Les bactéries ont des virus tout comme nous. On prend ce qui existe déjà dans la nature et on le concentre afin d’avoir un impact sur cette bactérie », conclut M. Ebner.

La souche d’E. coli testée par Ebner et ses collègues aurait fait à elle seule 20 morts et causé plus de 60 000 maladies aux États-Unis, en 2011 seulement.

Les résultats de l’étude de l’Université Purdue ont été publiés dans le Journal of Animal Science.

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Infection néonatale de l’E. coli associée au TDAH

Jonathan Godbout, professeur en neuroscience à l’Ohio State University, a mené de front cette recherche avec ses collègues. Il a confié à Medical News Today : « Il est important de comprendre que lorsque le cerveau du nouveau-né est infecté, la fonction des cellules qui s’occupent du développement se modifie pour combattre l’infection ».

En d’autres termes, les cellules de développement abandonnent le cerveau. Cela crée une carence en fer, qui plutôt que d’être distribué également dans les tissus pour aider à former la matière grise, se retrouve stocké à l’intérieur d’une infime partie des cellules.

Cette carence cause une brèche dans la communication des cellules du cerveau avec le système nerveux central. Plus tard, les conséquences se transforment en troubles comportementaux, notamment le trouble de déficit d’attention avec hyperactivité, ainsi que des troubles de motricité.

Godbout a informé Medical News today des statistiques d’infection par l’E. coli chez les nouveau-nés. « L’E. coli est la cause principale d’infection chez le nourrisson. On estime le nombre d’enfants affectés entre 1 à 8 sur 1000 naissances. »

De plus, cette infection est plus fréquente chez les prématurés ou bébés qui ont un poids sous la normale, le nombre passant de 160 à 300 sur 1000 naissances.

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Prévenir l’E. coli directement à la source

Des chercheurs britanniques affirment qu’il serait possible d’abaisser les statistiques de cas d’éclosion de la bactérie E. coli de près de 85 %, rapporte The National Library of Medicine.

Pour y parvenir, l’équipe du spécialiste Stuart Reid,  basée à l’Université de Londres, croit qu’il faudrait enrayer le problème directement à la source, c’est-à-dire en vaccinant les animaux potentiellement porteurs de la maladie.

« Autant que l’on sache, le risque le plus élevé pour les humains provient de ces animaux qui portent la bactérie. Si le vaccin a un impact sur ces animaux, le risque pour les humains est proportionnellement réduit », explique Reid, qui parle bien sûr des bovins et des animaux destinés à finir dans nos assiettes.

Reid et son équipe poursuivent leurs explications en affirmant qu’il existe une période faste de prolifération de l’E. coli chez les bovins, et que c’est précisément lors de cette période qu’il faudrait agir massivement.

Si les vaccins permettent de réduire les risques de transmission de la bactérie de 50 %, Stuart Reid croit que le moment de l’opération peut faire grimper cette statistique à 85 %.

Ces conclusions ont été publiées dans la plus récente édition du journal Proceedings of the National Academy of Sciences.

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Le séchoir à mains serait moins efficace que le bon vieux papier

S’il peut sembler banal, léger et quasi inutile, le débat proposé par cette étude publiée dans le Clinique Mayo Proceedings s’avère cependant beaucoup plus important qu’on pourrait le croire, rapporte Santé Log.

La question est la suivante : doit-on privilégier le séchoir à mains ou le bon vieux papier après s’être lavé les mains dans un lieu public?

D’abord, lorsqu’on sonde l’intérêt ou la préférence des gens entre les deux outils, le papier remporte le concours de popularité, souvent de beaucoup. Il reste à savoir si cette méthode est aussi efficace, ce à quoi ont décidé de répondre des chercheurs australiens de l’Université Queensland, en collaboration avec des chercheurs chinois.

On vous fait grâce des nombreuses statistiques énoncées dans la publication de ces recherches, mais disons simplement que presque tous les tests mènent au même résultat : le séchage des mains à l’ancienne, avec papier, demeure beaucoup plus efficace que sa version technologique par séchoir.

On devrait par conséquent proposer cette option aux gens en milieux publics comme les hôpitaux et les écoles, croient les chercheurs concernés, afin d’assurer la sécurité publique et de prévenir la prolifération de bactéries comme l’E. coli ou encore de virus comme l’influenza et ses nouvelles souches.

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Les bactéries de la dinde résistent aux antibiotiques

L’émission télévisée CBS News nous apprend que divers échantillons de dinde ont été testés aux États-Unis, et les résultats ne sont pas reluisants. Certaines des bactéries découvertes sur la viande sont résistantes aux antibiotiques et sont potentiellement dangereuses.

Le Dr Urvashi Rangan, directeur de la sécurité alimentaire et du développement durable du Consumer Reports, s’est exprimé lors d’un point de presse : « Les humains ne consomment pas d’antibiotiques chaque jour pour prévenir la maladie, et les animaux en santé ne devraient pas non plus en consommer ».

En fait, les spécialistes ne s’attendaient pas à cette découverte. Le groupe a testé 257 échantillons de dinde crue provenant de divers endroits. Ils recherchaient 5 contaminants dangereux pouvant même causer la mort chez l’humain.

Ainsi, l’E. coli, la salmonelle, le campylobacter coli, l’entérocoque et le staphylocoque aureus étaient visés, selon CBS News.

Le rapport démontre que 90 % des échantillons testés étaient porteurs d’au moins une des bactéries.

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La FDA propose de nouvelles règles en matière d’alimentation

La FDA américaine (U.S. Food and Drug Administration) annonce qu’elle entend prendre de nouvelles mesures concernant la sécurité de la population quant à l’industrie alimentaire, rapporte www.nlm.nih.gov.

Pour l’instant, deux recommandations sont à l’honneur. Elles sont les premières phases concrètes du traité initié par l’actuel président, Barack Obama, et ratifié par la FDA.

Le Food Safety Modernization Act propose donc d’abord une sécurité accrue des fermes productrices, afin d’assurer une qualité optimale des produits qui y sont cultivés. On veut particulièrement protéger la population de certaines maladies et bactéries comme l’E. coli et la listériose.

La deuxième obligera les producteurs alimentaires à créer des plans pour assurer la protection du public face à leurs produits. Chaque usine, terre ou industrie devra dès lors se soumettre à des règles strictes.

La FDA veut mettre en place plusieurs autres règles au fil de 2013, afin de surveiller chaque étape de production des aliments, des fermes aux épiciers, jusqu’à l’assiette.

« Nous avons l’un des meilleurs systèmes au monde, mais nous devons renforcer les règles et la protection offerte au public en matière d’alimentation. C’est exactement ce pour quoi le traité a été créé », lance la Dre Margaret Hamburg, de la FDA.

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Encore un rappel de viandes en Alberta

Décidément, la viande albertaine fait les manchettes ces derniers temps. On se rappelle bien sûr du scandale qui avait touché la compagnie XL Foods, alors que plusieurs rappels de bœuf avaient été ordonnés à la suite de cas possibles d’E. Coli détectés.

Cette fois, c’est Capital Packers Inc. qui est touchée par un incident, rapporté par LeDevoir.com. La compagnie doit rappeler des paquets de saucisses en raison d’un risque de listériose, selon ce que confirme le porte-parole de la compagnie, Brent Komarnicki.

C’est une histoire de documents secrets, ou partiellement dévoilés, qui est à l’origine de l’histoire. M. Komarnicki confirme également que le système de rappel de la compagnie n’est pas au point et qu’il doit être amélioré rapidement.

Il promet que Capital Packers Inc. travaillera en collaboration avec l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) afin de régler le problème de façon définitive.

On indique que les paquets de saucisses ont été vendus entre autres chez Loblaws et Sobeys (dans l’Ouest seulement, pour l’instant).

Bien que l’histoire soit inquiétante et fasse une mauvaise presse à la compagnie, il semble que l’hygiène ou les normes de salubrité ne sont pas en cause, et que les activités pourront reprendre incessamment.

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Rappel massif de divers produits de boeuf haché

L’Agence canadienne d’inspection des aliments prolonge la liste des produits de bœuf haché rappelés le 16 septembre.

La liste complète des produits est disponible sur le site de l’Agence. Les produits visés pourraient avoir été contaminés avec la bactérie E. coli.

Aucun cas de maladie associé à la consommation de ces produits n’a été signalé.

Si d’autres produits touchés sont confirmés, la liste sera mise à jour sur le site.

Les aliments contaminés par E. coli O157:H7 ne présentent pas nécessairement d’altération visible ni d’odeur suspecte. La consommation d’aliments contaminés par cette bactérie peut occasionner des maladies graves, parfois mortelles, qui se manifestent notamment par des douleurs abdominales intenses et de la diarrhée sanguine.

Certaines personnes peuvent avoir des convulsions ou des accidents vasculaires cérébraux, d’autres peuvent avoir besoin de transfusions sanguines et de dialyse. Dans certains cas, les dommages causés aux reins sont permanents. Dans les cas graves, la contamination par E. coli O157:H7 peut causer la mort.

Le fabricant, XL Foods Inc., Edmonton (Alberta), et divers détaillants, transformateurs et distributeurs retirent volontairement du marché les produits touchés. L’ACIA surveille l’efficacité du rappel.

Pour de plus amples renseignements, les consommateurs et les gens de l’industrie peuvent appeler l’ACIA au 1-800-442-2342 / ATS 1-800-465-7735 (du lundi au vendredi de 8 h à 20 h, heure de l’Est).

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Avis de burgers de boeuf et de steakettes de boeuf contaminés

L’Agence canadienne d’inspection des aliments et New Food Classics demandent de ne pas consommer les burgers de bœuf et les steakettes de bœuf Sans nom vendus par Loblaws à l’échelle nationale. Ceux-ci seraient contaminés à la bactérie E. coli 0157:H7.
 
Déjà, le 25 février, on avait émis un avis, mais celui-ci a été élargi. Les produits concernés sont :
-12 burgers de bœuf Sans nom, 1,36 kg, CUP 0 60383 37333 7, Code de lot BB 2012 AL 22 EST 761;
– Steakettes de bœuf format club Sans nom, 2,27 kg, CUP 0 60383 01321 9, Code de lot BB 2012 AL 22 EST 761.
 
Les aliments contaminés par E. coli O157:H7 ne présentent pas nécessairement d’altération visible ou d’odeur suspecte.
 
La consommation d’aliments contaminés par cette bactérie peut occasionner des maladies graves, parfois mortelles, qui se manifestent notamment par des douleurs abdominales intenses et de la diarrhée sanguine.
 
Certaines personnes peuvent avoir des convulsions ou des accidents vasculaires cérébraux, d’autres peuvent avoir besoin de transfusions sanguines et de dialyse.
 
Dans certains cas, les dommages causés aux reins sont permanents, et dans les cas graves, la contamination par E. coli O157:H7 peut causer la mort.
 
Aucun cas de malade n’a été déclaré jusqu’à présent. New Food Classics procède au retrait volontaire des produits concernés.
 
Pour en savoir plus sur cet avis, contactez New Food Classics au 1-855-344-1825.