Ce n’est pas qu’au Québec que le dossier du fluor dans l’eau potable fait jaser, mais bien partout dans le monde.
C’est ce qu’on comprend de cet article publié par le Daily Mail (UK), qui révèle certaines données inquiétantes en lien avec ce dossier chaud. Les résultats et inquiétudes subséquentes de la part d’experts et d’observateurs découlent d’une récente étude sur le sujet, qui fait état d’une possible hausse des risques de démence chez les consommateurs d’eau potable dont on aurait manipulé les taux de fluor.
Des observations qui s’appliquent donc tout à fait chez nous, puisque les raisons avancées en territoire européen pour expliquer l’affaire sont sensiblement les mêmes que chez nous.
Dont la principale, soit celle qui vante les mérites du fluor dans l’eau pour contrer les caries dentaires, notamment chez les tout-petits. Moins de caries, mais aussi plus de chances de voir se développer des maladies cérébrales et neurologiques comme la démence, voilà une transaction qui n’est pas équitable, croient plusieurs chercheurs.
C’est l’opinion de Doug Cross, qui lance en conclusion : « Le problème va au-delà d’une histoire de plombages, car une exposition massive au fluor peut entraîner des problèmes dentaires. De plus, comme il est avancé qu’un tiers de nos personnes âgées de plus de 65 ans mourront d’Alzheimer, ajouter un risque supplémentaire est simplement fou ».
Pendant ce temps, au Québec, le dossier a littéralement sombré dans l’oubli.