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Les enfants obèses consomment beaucoup plus de calories que prévu

Des chercheurs ont établi un nouveau calcul mathématique tenant compte des besoins énergétiques réels, selon des facteurs tels que le sexe, l’âge, la croissance et l’activité physique. Les résultats ont été publiés dans The Lancet Diabetes & Endocrinology.

En réalité, auparavant, le modèle suivi était le même pour le jeune enfant que l’adolescent en pleine croissance, peu importe le sexe. Or, les garçons, lors de la puberté, brûlent plus de calories que les filles, notamment à cause du développement musculaire. Ainsi, l’apport calorique représentant une prise de poids est désormais ajusté et plus important chez les garçons que chez les filles.

D’autre part, cette nouvelle équation prouve qu’il ne s’agit pas uniquement de faire de l’exercice pour faire perdre du poids à nos enfants. Ils doivent également revoir les calories ingérées pour s’assurer une perte de poids efficace, d’autant plus que l’on doit considérer les périodes de croissance rapide.

Ainsi, comme l’indique Hall, l’auteur de la recherche, « un enfant qui n’a pas encore perdu son “gras de bébé” avant la puberté sera à l’étape idéale pour entreprendre un nouveau régime alimentaire plus équilibré. Il sera ainsi à même de transformer ce poids en masse musculaire équilibrée ».

Le Dr David Katz, directeur du Yale Prevention Research Center, fait également l’éloge de ce nouveau modèle nutritionnel. Anciennement, l’échelle indiquait qu’un enfant de 5 ans ayant accumulé un surpoids de 22 livres à 10 ans avait consommé 40 calories de trop quotidiennement pour en arriver à ce résultat. La nouvelle formule constate qu’il s’agit plutôt de près de 400 calories par jour. Un résultat beaucoup plus représentatif.

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Les hommes qui se trouvent beaux en demanderaient plus

C’est une nouvelle étude rigolote que nous rapporte santelog.com, alors que des chercheurs britanniques ont établi un lien entre la confiance personnelle des hommes et ce qu’ils recherchent ensuite chez le sexe opposé.

Donc, plus un homme se trouve beau, plus il a confiance en lui, et plus il serait exigeant, conclut l’étude anglaise.

Publiées dans la plus récente édition du magazine PLos ONE, ces conclusions se basent sur l’analyse d’individus grâce à un système 3D à la fine pointe de la technologie. On évaluait les réactions de ces hommes types en fonction de leur confiance personnelle, puis selon les choix qu’ils effectuaient dans des situations données.

Ceci vient confirmer, malheureusement diront certains, cette notion « d’échelle sociale » qui semble régner au sein de nos sociétés contemporaines, puisque les personnes (ici, les hommes) qui reflètent de la confiance attireront davantage et seront plus enclins à avoir de « meilleurs » choix.

L’étude parle également de l’importance des traits du visage dans le choix d’un partenaire, plusieurs décisions s’effectuant à un niveau subconscient permettant d’être naturellement attiré vers une personne plus qu’une autre. On parle ici « d’origines génétiques similaires. »

Pour terminer, rappelons que plusieurs grands penseurs semblent convaincus que ces gens, bien que physiquement dominants, seront confrontés à des choix déchirants tout au long de leur vie et, par conséquent, seront moins aptes à trouver le bonheur facilement et dans les choses simples.

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Un outil pour vous aider à prévenir le surmenage

Des chercheurs norvégiens ont mis sur pied l’Échelle Bergen qui, d’après sept critères de base, peut vous aider à prévenir le surmenage en identifiant les signes avant-coureurs d’une dépendance à votre travail.
 
Si vous ne comptez pas les heures supplémentaires, que vous travaillez hors de votre bureau et que vous ne parvenez pas à décrocher, il y a lieu de s’inquiéter. Les excès de travail peuvent mener à des troubles de santé physique et psychologique.
 
Le questionnaire offre un choix de réponses multiples : jamais, rarement, parfois, souvent et toujours. Si vous répondez « souvent » ou « toujours » au moins à quatre reprises aux affirmations ci-dessous, vous êtes dépendants à votre travail.
 
– Vous cherchez des solutions afin de trouver du temps pour travailler plus.
– Vous passez plus de temps que prévu au travail.
– Vous travaillez pour diminuer votre sentiment de culpabilité, d’anxiété, d’impuissance et de déprime.
– Vos proches vous ont déjà dit de réduire vos heures de travail, en vain.
– À l’idée de ne pas pouvoir travailler, vous angoissez.
– Vous délaissez vos loisirs et activités physiques pour travailler plus.
– Votre travail a des répercussions sur votre santé.
 
« Des recherches antérieures ont déjà montré que le surmenage provoquait des insomnies, un épuisement professionnel et un stress permanent chez les dépendants, entraînant par ailleurs des conflits familiaux », déclare l’auteure principale de l’étude, la Dre Cecilie Schou Andreassen au Journal of Psychology.
 
Comme toute dépendance, le premier pas vers la guérison est d’admettre que l’on a un problème.