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L’arsenic dans l’eau potable pourrait nuire aux performances du cerveau

La présence d’arsenic dans l’eau potable inquiète un grand nombre de citoyens et de spécialistes, même si celui-ci se retrouve souvent en faibles quantités.

Il n’en demeure pas moins que le fait d’associer l’arsenic à l’eau potable semble terrifiant, et une nouvelle étude en provenance de l’État du Maine donne des munitions à cette peur, selon The National Library of Medicine.

La présence de traces d’arsenic dans l’eau potable du Maine n’étant pas un secret pour ses citoyens, des chercheurs ont décidé de faire passer des tests d’intelligence et de performance mentale à des groupes de jeunes étudiants, dont certains sont davantage exposés à la présence d’arsenic.

Les craintes des chercheurs américains se sont avérées fondées, alors que ces derniers ont observé des résultats plus faibles chez les groupes exposés à l’arsenic.

« Même si le fait d’acheter un filtre standard à la quincaillerie est inadéquat pour traiter l’eau potable des puits, la bonne nouvelle est qu’il existe des étapes pour améliorer la situation », explique l’auteur des travaux, Joseph Graziano.

Ce dernier fait référence à un système appelé « inversement de l’osmose », malheureusement coûteux. Des programmes éducatifs sont également offerts aux familles du Maine pour en apprendre davantage sur le phénomène et les méthodes de prévention possible.

Les conclusions et observations de l’étude menée par M. Graziano ont été publiées dans le journal Environmental Health.

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Tom Hardy détestait l’école

L’acteur de 36 ans Tom Hardy n’a jamais aimé l’école. Il préférait se donner corps et âme dans le sport et mettre le moins d’efforts possible sur ses résultats scolaires.

Cependant, quand on lui a dit qu’il « crèverait de faim » s’il ne faisait rien, il a été secoué et s’est inscrit à l’école d’art dramatique.

« Je n’étais pas un grand fan de la paperasse scolaire, de l’idée que si tu faisais ce qu’ils disaient, tu deviendrais intelligent », raconte-t-il au magazine Total Film. « Comme si un diplôme te rendait automatiquement fiable. »

Hardy se rend compte avec le recul qu’il était borné, mais dans sa jeunesse, il était plus « impulsif ». « J’étais jeune, j’étais stupide, ça n’avait rien de tangible ni de logique à mes yeux. »

Lorsqu’il est sorti de l’école d’art dramatique, il avait 24 ans et se rappelle à quel point il a eu de la difficulté à aborder l’industrie. Il devait d’abord se reprendre en main et sortir de sa dépendance à l’alcool et au crack.

C’est en 2003 que Tom Hardy est entré en désintoxication. Sa sobriété aura permis de le propulser vers des rôles comme ceux de The Dark Knight Rises et Lawless.

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Tom Hardy détestait l’école

L’acteur de 36 ans Tom Hardy n’a jamais aimé l’école. Il préférait se donner corps et âme dans le sport et mettre le moins d’efforts possible sur ses résultats scolaires.

Cependant, quand on lui a dit qu’il « crèverait de faim » s’il ne faisait rien, il a été secoué et s’est inscrit à l’école d’art dramatique.

« Je n’étais pas un grand fan de la paperasse scolaire, de l’idée que si tu faisais ce qu’ils disaient, tu deviendrais intelligent », raconte-t-il au magazine Total Film. « Comme si un diplôme te rendait automatiquement fiable. »

Hardy se rend compte avec le recul qu’il était borné, mais dans sa jeunesse, il était plus « impulsif ». « J’étais jeune, j’étais stupide, ça n’avait rien de tangible ni de logique à mes yeux. »

Lorsqu’il est sorti de l’école d’art dramatique, il avait 24 ans et se rappelle à quel point il a eu de la difficulté à aborder l’industrie. Il devait d’abord se reprendre en main et sortir de sa dépendance à l’alcool et au crack.

C’est en 2003 que Tom Hardy est entré en désintoxication. Sa sobriété aura permis de le propulser vers des rôles comme ceux de The Dark Knight Rises et Lawless.

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Les kiosques de nourriture gagneraient à intégrer des aliments santé

Une nouvelle étude constate des effets bénéfiques à l’ajout d’aliments santé au sein de certains kiosques de nourriture d’universités américaines, rapporte le Medical News Today.

Appelés par des chercheurs de l’université à intégrer de la nourriture santé au kiosque du booster club de l’équipe de football locale, les membres de l’organisation ont décidé de relever le défi.

Une décision qui se serait avérée payante pour l’école de Muscatine en Iowa, qui a vu ses revenus à la caisse de son kiosque de nourriture non pas dégringoler, mais bien augmenter de manière intéressante.

On signale une hausse des ventes de près de 4 % la première année, mais il y a plus. En effet, on constate aussi que les aliments santé ont compté pour 9,2 % des ventes totales de nourriture cette année-là.

Les organisateurs affirment également que les parents, étudiants et joueurs de l’Université d’Iowa se sont massivement dits contents de la manœuvre, et de cet accès à de meilleurs aliments lors des matchs et des activités de l’équipe et de l’école.

Comme quoi l’offre santé n’est pas nécessairement impopulaire, et qu’une meilleure éducation en matière d’alimentation peut bénéficier à toutes les parties impliquées.

Les résultats de cet essai, par ailleurs effectué au cours de l’année 2008-2009, ont été révélés dans le Journal of Public Health.

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Autisme : La zoothérapie utilisée dans une école de Trois-Rivières

Une école de Trois-Rivières, au Québec, mise sur un projet avant-gardiste pour aider des élèves autistes de sa région, rapporte Radio-Canada.

Les dirigeants de l’Académie les Estacades de Trois-Rivières font en effet appel à des chiens pour aider à faire progresser ces enfants, qui ont parfois du mal à se sentir à l’aise dans leur environnement scolaire, ou qui vivent de la confusion.

La zoothérapie permettrait à l’enfant autiste de créer un lien avec l’animal, un chien dans le cas présent, et d’ainsi améliorer plusieurs aspects de sa condition.

« Ils sont capables d’entrer en relation avec l’animal, et l’animal répond bien. », lance Maryse Deschênes, une éducatrice spécialisée.

Ces chiens sont ceux de Mme Élaine Morin, une zoothérapeute, qui vient rendre visite en compagnie de ses canidés aux élèves autistes de l’Académie les Estacades, au plus grand bonheur de ces derniers.

 

Des études ont révélé l’importance de la zoothérapie dans plusieurs situations, notamment chez les personnages âgés, pour aider les enfants aux prises avec des problèmes d’adaptation à se sentir plus en confiance, ou encore pour favoriser une bonne humeur et des contextes sociaux.

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La réforme alimentaire scolaire aux États-Unis porte ses fruits

Il semble que la campagne et la réforme en alimentation dans les écoles américaines aient commencé à porter leurs fruits, alors que l’on recense une hausse de la consommation des fruits et légumes chez les étudiants.

C’est à tout le moins les conclusions proposées par une étude en provenance de la Harvard School of Public Health, à Boston, qui suggère un premier succès pour la réforme qui avait pris naissance en 2012.

On se souviendra que Michele Obama y avait été d’un intense plaidoyer en faveur d’une amélioration de la nourriture proposée dans les écoles, mais surtout d’un accès bonifié aux fruits, légumes et aliments sains pour les jeunes moins favorisés.

Une réforme officielle de la part de l’US Department of Agriculture (USDA) avait alors été proposée à l’automne 2012, rappelle MedicalNewsToday.

Selon les recherches effectuées par l’équipe de Harvard, Juliana Cohen en tête, c’est pas moins de 32 millions d’étudiants qui mangent un repas à l’école chaque jour. Du lot, un grand nombre d’étudiants issus de familles moins fortunées vont chercher 50 % de leur apport calorique quotidien à l’intérieur des murs de leur école.

Cohen et son équipe se réjouissent donc maintenant de constater que la consommation de fruits et de légumes est en hausse de près de 23 % chez ces étudiants.

Un premier pas de franchi, donc, dans la lutte sans relâche que tentent de mener les autorités contre le fléau de l’obésité en Amérique du Nord.

Les conclusions de la recherche en provenance de Harvard ont été publiées dans l’American Journal of Preventive Medicine.

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Le comportement scolaire de votre enfant vous inquiète, que se passe-t-il?

Psychoenfant.fr donne quelques conseils pour aider votre enfant, selon la problématique qu’il vit à l’école et qui entraîne inévitablement la démotivation.

 
Un problème avec l’enseignant

Il vous faut entendre les deux côtés de la médaille. Ne jugez pas votre enfant. Il se peut que les paroles ou agissements de son enseignant lui aient causé plus de tort que nécessaire, mais il faut régler la situation des deux côtés, sinon le malaise persistera.

Pris entre l’enseignant et l’opinion des parents

Si vous avez une dent contre l’enseignant de votre enfant, sous aucun prétexte vous ne devez laisser votre enfant entendre vos critiques. Autrement, l’autorité de l’enseignant sera remise en cause, et vous pourriez être responsable du mauvais comportement de votre enfant.

Une pression trop forte

Lorsque la peur de l’échec prend le dessus sur l’apprentissage, la motivation en prend pour son rhume. Selon Jeanne Siaud-Facchin, psychologue : « Il est essentiel de lui donner confiance en lui, et cette confiance, c’est dans le regard de ses parents qu’il la trouve ». Cette confiance doit se bâtir sur autre chose que la réussite scolaire.

Il se peut aussi qu’il soit simplement fatigué. Demeurez aux aguets.

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Les parents empêchent-ils les enfants de marcher pour aller à l’école?

Les résultats du sondage de la compagnie britannique sont à double tranchant. D’un côté, les parents ont surtout peur de laisser leurs enfants marcher pour aller et revenir de l’école, surtout pendant les courtes journées d’hiver.

Par contre, comme les parents préfèrent aller conduire leurs enfants en voiture durant cette période, cela crée davantage de circulation et de risques d’accident.

Donc, même si 70 % des parents jugent que leur enfant est en sécurité sur le chemin de l’école, ceux qui croient le contraire devraient revoir leur propre comportement sur la route, lorsqu’ils vont porter leur enfant.

En effet, 39 % des répondants ont été témoins ou sont au courant d’accidents de voiture entre parents, et 75 % de ceux qui vont conduire leurs enfants ont vu des parents devenir agressifs entre eux pour trouver un espace de stationnement.

Female First rapporte que chez les Britanniques, 56 % des enfants vont à l’école en voiture. La marche se retrouve en deuxième place, avant l’autobus, avec 28 % des jeunes.

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Est-ce que votre adolescent devrait prendre une année sabbatique avant de poursuivre ses études?

Selon Deena Maerowitz, en entrevue avec SheKnows, il y a un avantage certain à prendre une année sabbatique entre le secondaire et le cégep. Il s’agit d’une occasion enrichissante, qui permet d’apprendre à mieux se connaître, d’économiser de l’argent, de faire du bénévolat ou de voyager.

Maerowitz est une consultante en éducation et fondatrice du site Undergradadmit.com. « Cela permet aux étudiants de prendre de la maturité et d’avoir plus de certitude quant au temps, à l’argent et à la concentration qu’ils sont prêts à investir pour leurs études. » Apparemment, même les établissements scolaires apprécient cette maturité chez les élèves qui prennent une sabbatique.

Sans compter que les jeunes apprennent à se connaître durant ce temps de réflexion, qui leur donne la possibilité d’explorer diverses options et intérêts.

Cependant, cette décision ne se prend pas à la légère. Elle n’est pas pour tout le monde et comporte des inconvénients. Retourner à l’école si l’on a trouvé un travail que l’on juge « suffisant », par exemple, peut mettre un frein à l’envie de poursuivre des études.

D’ailleurs, Maerowitz rappelle qu’il est important d’utiliser ce temps précieux intelligemment. « Ils doivent penser à leurs raisons de retarder le retour en classe et s’assurer de ne pas déroger du plan établi. »

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Taux de suicide réduit grâce aux associations gai-hétéro en milieu scolaire

Les gay-straight alliances (GSAs) ou associations gai-hétéro sont des regroupements menés par des étudiants. Elles visent un milieu scolaire respectueux et sécuritaire pour tous les étudiants, peu importe leur orientation sexuelle.

Les GSAs sont composées de filles et garçons homosexuels, bisexuels, transgenres ou en questionnement d’orientation, et de leurs alliés hétérosexuels.

Elizabeth Saewyc, responsable de la recherche sur les bienfaits de ces regroupements sur le taux de suicide, explique : « Ce sont eux, bien souvent, qui sont les plus ciblés par l’intimidation. Mais les hétérosexuels peuvent aussi être la cible d’intimidation à caractère homophobique ».

Les résultats sont probants. Les écoles qui ont mis en place depuis plus de 3 ans ce genre d’association, en plus d’avoir émis des politiques anti-homophobie claires, ont remarqué une diminution marquée de la discrimination et des taux de suicide, de tentative ou d’idées suicidaires.

Entre autres, la discrimination et les idées suicidaires étaient diminuées de plus de la moitié dans ce contexte scolaire. Les tentatives de suicide chez les garçons homosexuels ou bisexuels ont également diminué de 70 % par rapport aux écoles sans associations ou politiques contre l’homophobie.

L’étude a utilisé les données du British Columbia Adolescent Health Survey de 2008, sondage effectué auprès de 21 708 étudiants du secondaire.

Les détails de la recherche sont disponibles ici.