Catégories
Uncategorized

L’aîné des enfants serait plus intelligent que les autres

Les résultats de l’étude menée par V. Joseph Hotz et Juan Pantano, du National Bureau of Economic Research, proviennent notamment de l’opinion même des parents.

Les mères interrogées affirmaient la plupart du temps que leur premier enfant avait un QI plus élevé et réussissait mieux en classe. Plus d’un tiers des mères (33,8 %) affirmaient que leur aîné était premier de classe.

Ainsi, elles affirmaient d’emblée que les résultats scolaires diminuaient avec le rang des enfants. Mais la faute repose un peu sur leurs épaules, puisque c’est sans surprise que les chercheurs ont confirmé que les parents mettent moins d’efforts à éduquer les enfants subséquents.

Les parents sont donc naturellement plus stricts avec le premier-né. Ils exigent plus d’efforts sur le plan scolaire, sont plus attentifs au développement de ce dernier et sont plus punitifs qu’avec les petits derniers. Les enfants interrogés étaient aussi d’accord pour dire que dans leur famille, le plus vieux avait eu la vie plus dure que les autres…

Comme l’indique l’auteure de l’article sur The Bump, cela peut être frustrant pour les autres enfants de la famille. Mais c’est au parent de fournir l’effort et de s’assurer que les autres auront également le soutien nécessaire au développement de leur potentiel.

Catégories
Uncategorized

Les écoles envoient des lettres aux parents concernant le poids de leurs enfants

SheKnows rapporte entre autres le cas d’une mère d’une jeune fille de 11 ans, mesurant 5 pieds 3 pouces et pesant 124 livres. La lettre indiquait que sa fille était à risque de devenir obèse. Cette enfant est décrite par sa mère comme étant athlétique.

Le système scolaire se base souvent sur une simple mesure de l’indice de masse corporelle (IMC). Cette donnée à elle seule ne peut pas servir de prédiction d’obésité. Sans compter qu’ils envoient l’information par le biais de l’élève! Même sous lettre scellée, c’est inconsidéré.

Les mères interrogées sont d’accord pour dire que c’est aux parents et au pédiatre ou médecin de s’occuper du surpoids des jeunes. Pourtant, selon une étude datant de 2004 publiée dans Pediatrics, 86 % des mères qui avaient un enfant ayant un IMC supérieur au 95e percentile ne jugeaient pas leur enfant en surpoids.

Mais le système scolaire, qui diminue constamment ses heures d’éducation physique et offre le choix de repas santé (ou non) dans les cafétérias, devrait être pointé du doigt plutôt que de se permettre le rôle d’avocat du diable.

Plusieurs mères étaient d’avis que les dirigeants des écoles devraient mettre ces efforts pour enrayer l’intimidation plutôt que d’exacerber le problème de surpoids.

 

Catégories
Uncategorized

7 étapes pour tirer parti de la rencontre avec l’enseignant

Bien des parents sont nerveux à l’idée de cette courte discussion. Voici quelques étapes parmi celles proposées par ParentingSquad pour vous aider dans le processus.

1. Parlez à votre enfant d’abord. Cela vous donnera une idée de sa perception des choses. Profitez-en pour lui demander s’il y a des points qu’il aimerait que vous abordiez avec son professeur.

2. Laissez votre enfant à la maison. Sa présence pourrait entraver la discussion, par peur de mauvaise interprétation de sa part.

3. Arrivez tôt. Le temps des rencontres est approximatif. Il se peut qu’en arrivant tôt, vous ayez plus de temps.

4. Soyez préparé. Si vous avez des questions, faites-en la liste sur une feuille afin de ne rien oublier. Prenez aussi des notes.

5. Ayez une attitude positive. Même si vous savez que certains sujets délicats doivent être abordés. Cette rencontre a pour but de collaborer et trouver des solutions.

6. Déterminez la meilleure façon de communiquer par la suite. Demandez ses coordonnées, ainsi que les meilleures périodes pour le joindre.

7. Informez votre enfant. Il est important qu’il soit au courant des sujets discutés et des objectifs à atteindre, le cas échéant.

Catégories
Uncategorized

Quels sont vos moments les plus embarrassants en tant que parent?

Nous avons tous vécu ce genre d’incident où, tout à coup, les yeux sont tous tournés vers nous, impatients de connaître notre réponse ou notre réaction. FemaleFirst fait la liste de quelques-uns de ces instants que l’on préfèrerait oublier.

– Il y a bien sûr la crise en public, celle où votre enfant se met par terre à plat ventre.

– La fois où il vous a demandé comment les bébés étaient faits, devant les gens à la caisse du supermarché.

– Quand il a pointé du doigt en disant « Pourquoi elle est si grosse la madame? » et que vous êtes devenu écarlate.

– Lorsqu’il a rapporté ce qu’il vous avait entendu dire sur quelqu’un… directement à cette personne.

Dites-vous aussi que vous n’êtes pas la seule personne à vous faire appeler par le directeur parce que votre enfant a eu un comportement déplacé ou qu’il a répandu des poux à l’école.

Cela fait partie du lot qu’endure un parent, mais ces anecdotes restent, et avec le temps, on se les remémore avec un sourire… ou un soupir!

Quelles sont vos anecdotes?

Catégories
Uncategorized

La paranoïa des germes à l’école

La majorité d’entre vous répondra non, puisqu’il ne s’agit pas d’arguments suffisants pour quitter votre lieu de travail et faire tout le trajet pour aller prendre votre enfant et passer le reste de la journée à la maison.

Mais la paranoïa des germes est de plus en plus répandue dans le système scolaire, comme en témoigne Freerangekids.com. De nombreuses écoles, principalement des établissements du primaire, mettent en place des « normes » sous forme de notes qu’ils envoient aux parents dès que la température chute sous zéro.

Plusieurs parents sont d’ailleurs outrés et n’hésitent pas à faire des démarches auprès des commissions scolaires, sinon auprès du ministère responsable, lorsqu’ils se font demander de garder leurs enfants à la maison au moindre signe de rhume. On ne parle pas ici de fièvre, vomissements ou diarrhée comme c’était le cas il y a moins de 20 ans, mais bien de quelques toussotements ou de petits yeux fatigués.

Ironiquement, les enfants ont rapidement compris qu’ils pouvaient utiliser ce subterfuge pour être retournés à la maison. Ainsi, où se trouve la limite entre le raisonnable et le justifiable?

Si vous croyez que votre école prend les germes un peu trop à cran, n’hésitez donc pas à consulter les hautes sphères de la hiérarchie pour vous faire entendre.

Catégories
Uncategorized

5 façons agréables d’encourager vos enfants à écrire

Le site SheKnows vous propose quelques trucs simples et efficaces. Sans en faire de grands écrivains, ils ressentiront moins la pression à l’école s’ils y prennent plaisir.

Lettres à l’ancienne

La poste existe encore! À l’ère du numérique, encouragez les envois postaux. Débutez tôt. Les quelques mots se transformeront en phrases, puis en paragraphes. Et leurs grands-parents ou parrain et marraine seront ravis.

Écrire des bandes dessinées

Cette astuce constitue un atout important chez les enfants qui n’aiment pas écrire. Mais toute bonne bande dessinée commence avec une histoire. Il existe même des livres avec des cadres et des bulles vides, dans lesquelles votre enfant n’aurait qu’à laisser voguer son imaginaire.

Encouragez le journal intime

Non, ce n’est pas dépassé. Même les thérapeutes recommandent encore cette méthode pour nous aider à grandir intérieurement. Le journal intime est personnel, sans critique ni jugement, sans sujet ni contrainte. Encouragez votre enfant en lui disant d’aller au lit 15 minutes plus tôt afin qu’il y transcrive les événements marquants de la journée. 

Tableau familial

Chacun a sa couleur distincte pour écrire. Sur ce tableau, vous commencez une histoire par une phrase et chaque jour, les membres de la famille doivent ajouter du texte pour développer l’histoire. À recommencer chaque semaine. 

L’adresse courriel

Le secret avec les courriels, c’est une supervision adéquate. Encouragez-les à écrire à leurs amis et à la famille, tout en gardant l’œil ouvert.

Catégories
Uncategorized

La dyslexie causée par la déficience visuelle

Alors qu’il faut se montrer indulgent lorsque nos enfants apprennent à lire, il faut aussi rester alerte. Si une difficulté persiste, il se pourrait que votre petit souffre de dyslexie.

La dyslexie est un trouble spécifique de l’apprentissage de la lecture, lié à une difficulté particulière à identifier et mémoriser les lettres, les syllabes ou les mots, et aussi une difficulté à manipuler des sons mentalement. Voilà pourquoi les gens atteints ont du mal à lire correctement.

Une nouvelle recherche conduite par l’INSERM révèle un lien entre la dyslexie et la déficience visuelle. Une précédente étude avait lié la dyslexie à une anomalie du cortex auditif, mais avait tout de même suggéré la déficience visuelle comme possible cause.

Lors de ladite étude, les enfants dyslexiques observés étaient tous atteints de distraction visuelle. Ils avaient cependant vu leurs rapidité et exactitude de lecture être grandement améliorées lorsque les lettres des mots étaient plus espacées.

Publiés dans la revue Clinical Neurophysiology, les nouveaux résultats confirmant ce lien pourraient aider à détecter les troubles d’inattention visuels plus tôt et les prendre en charge plus rapidement, ce qui éviterait beaucoup de difficultés et d’embarras pour les jeunes à l’école.

Catégories
Uncategorized

L’USDA va de l’avant et entérine le programme « Smart Snacks »

Le Département de l’Agriculture américain, l’USDA, confirme qu’il va de l’avant avec le projet baptisé « Smart Snacks in School », selon Medical News Today.

L’initiative vise à faire disparaître toute trace de malbouffe dans les établissements scolaires américains et les remplacer par des aliments bons pour la santé, des aliments « intelligents ».

On ne peut que se réjouir d’une telle mesure, alors que les autorités prennent finalement compte du problème de l’accès trop facile à la malbouffe par les jeunes Nord-Américains dans les écoles.

« Rien n’est plus important que la santé et le bien-être de nos enfants. Les parents et les écoles travaillent dur pour donner à nos jeunes l’occasion de grandir en santé et fort, et le fait de permettre l’accès à des options santé à travers les cafétérias scolaires et les machines distributrices soutiendra ce superbe effort. »

La version définitive des standards à adopter par les écoles devrait être publiée d’ici le congé du 4 juillet, au grand bonheur de la majorité des Américains.

Catégories
Uncategorized

Être plus instruit peut-il prévenir certains troubles de santé?

Top Santé rapporte des statistiques avancées par l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique) qui tendent à démontrer un lien entre la bonne santé et le niveau d’instruction.

Ces chiffres sont proposés dans le rapport Regards sur l’éducation, le 21e du genre, et font état d’une meilleure qualité de vie et d’une meilleure chance d’accéder à un emploi de qualité durant une crise financière, le rapport faisant bien sûr allusion à celle que le monde a connue depuis 2008.

Plus encore, l’OCDE trace un lien direct entre le niveau d’éducation d’un individu et d’éventuels troubles de santé. Par exemple, on note que plus une personne est instruite, moins elle a de chance d’être fumeuse ou encore d’afficher un surpoids ou d’abuser de l’alcool.

« Aujourd’hui, il est plus important que jamais de quitter l’école avec un bon niveau de qualification. Les pouvoirs publics doivent axer leurs efforts sur les mesures en faveur des jeunes, plus particulièrement des jeunes moins qualifiés, les plus exposés au risque de bas salaire », résume José Angel Gurría, secrétaire général de l’OCDE.

Catégories
Potins

Halle Berry témoigne pour une loi anti-paparazzis

Hier (26 juin), Halle Berry, enceinte de son deuxième enfant, a témoigné devant le Comité législatif de la Californie en faveur d’un projet de loi anti-paparazzis, afin de les empêcher de photographier les enfants de célébrités.

L’actrice, qui doit souvent confronter les photographes, a raconté que sa fille de cinq ans, Nahla, se sent harcelée. « Ma fille ne veut plus aller à l’école, car elle sait que “les hommes” attendent pour la voir. Ils surgissent des buissons, de derrière une voiture ou de je ne sais où et encerclent ces enfants juste pour prendre une photo », raconte Berry.

« Si le projet de loi passe, ma qualité de vie et celle de mes enfants seront radicalement changées », ajoute-t-elle.

Selon FemaleFirst, le témoignage de l’actrice aurait permis d’obtenir le projet de loi et l’approbation des membres du comité. Le tout sera maintenant soumis aux responsables du Comité judiciaire de l’Assemblée, afin de clarifier le libellé de loi qui limitera la capacité des paparazzis à prendre des photos des enfants de célébrités et autres personnalités publiques sans l’autorisation d’un tuteur légal.