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Avec l’école, le retour des saines habitudes!

La rentrée des classes nous ramène à la routine, mais elle devrait aussi nous inciter à reprendre de saines habitudes. Bien que les enfants aient pu profiter des vacances estivales pour faire des écarts, il est désormais temps pour eux de suivre une meilleure alimentation et de faire plus d’exercice physique.

On lit sur ce sujet, sur Medical News Today, que l’été est un moment parfait pour se relâcher un peu et en profiter. Ainsi, on amène souvent les enfants manger au restaurant, et l’horaire habituel est doucement oublié.

Pourtant, avec la rentrée scolaire, on est souvent pris de court, et notre organisation manque de rigueur. Le manque de sommeil et les repas trop vite préparés mènent toutefois directement au gain de poids ou à d’autres problèmes de santé.

Les périodes de vacances n’ont pas toutes les mêmes répercussions. Durant le temps des fêtes, les enfants prennent souvent du poids. Malheureusement, tout ce poids n’est pas nécessairement perdu durant les vacances d’été.

On peut s’aider facilement, pour remédier à la situation ou prévenir les dérapages. On inscrit par exemple notre enfant à une activité sportive, et l’on accorde du temps à la planification des repas de la semaine – on parle ici d’une heure. Aussi, on voit à ce que les enfants aillent au lit plus tôt.

La rentrée scolaire peut donc devenir une belle occasion pour reprendre nos bonnes habitudes, et ce, pour toute la famille.

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Neuf heures de sommeil minimum

Les enfants de l’école primaire doivent dormir un nombre suffisant d’heures afin de bien fonctionner. Des chercheurs de l’Université Autonomous de Barcelone, l’UAB, se sont d’ailleurs penchés sur le lien entre le nombre d’heures de sommeil d’enfants de six ans à sept ans et leur réussite scolaire.

Selon leurs résultats parus dans Cultura y Educación, les enfants de cet âge qui ne dorment pas au moins neuf heures par nuit, qui se couchent tard ou qui n’ont pas de routine du coucher voient habituellement leur réussite scolaire compromise.

Il semble que la plupart des enfants, dans le cadre de cette étude, ne dorment pas selon la norme requise par leur développement intellectuel, car le manque de sommeil ne peut être recouvré.

Manquer ainsi de sommeil et suivre de mauvaises habitudes a des effets néfastes, et ce, particulièrement sur les aptitudes générales (par exemple, l’apprentissage des règles de grammaire), ce qui est primordial pour réussir à l’école.

Quant aux compétences liées à la cognition, comme la mémoire, les capacités d’apprentissage et la motivation, elles sont plus touchées par un manque d’habitudes régulières de sommeil.

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La vision influence ses résultats scolaires

Selon certaines études, 70 % des enfants d’âge scolaire qui ont des difficultés de lecture auraient en fait des problèmes de vision. Un ophtalmologiste, Dr Joel Zaba, souligne l’importance pour les parents d’y demeurer attentifs.

Et c’est avec raison, car nous savons que près de 80 % de ce qu’un enfant apprend se fait par la vision. Selon le Dr Zaba, si plusieurs facteurs peuvent faire en sorte qu’un enfant réussit moins bien à l’école, l’état de sa vue en fait partie, lisons-nous sur Medicinenet.

Quelques indices peuvent sous-entendre des problèmes de vision chez l’enfant. Par exemple, il doit plisser les yeux lorsqu’il observe quelque chose ou il approche un livre très près de son visage pour lire.

Le rêve éveillé peut aussi être un indicateur s’il est fréquent. Un enfant qui dodeline souvent la tête peut aussi indiquer un problème de la vue.

Finalement, on reste sensible aux symptômes les plus courants, soit les maux de tête, les nausées et les étourdissements durant la lecture.

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La vision influence ses résultats scolaires

Selon certaines études, 70 % des enfants d’âge scolaire qui ont des difficultés de lecture auraient en fait des problèmes de vision. Un ophtalmologiste, Dr Joel Zaba, souligne l’importance pour les parents d’y demeurer attentifs.

Et c’est avec raison, car nous savons que près de 80 % de ce qu’un enfant apprend se fait par la vision. Selon le Dr Zaba, si plusieurs facteurs peuvent faire en sorte qu’un enfant réussit moins bien à l’école, l’état de sa vue en fait partie, lisons-nous sur Medicinenet.

Quelques indices peuvent sous-entendre des problèmes de vision chez l’enfant. Par exemple, il doit plisser les yeux lorsqu’il observe quelque chose ou il approche un livre très près de son visage pour lire.

Le rêve éveillé peut aussi être un indicateur s’il est fréquent. Un enfant qui dodeline souvent la tête peut aussi indiquer un problème de la vue.

Finalement, on reste sensible aux symptômes les plus courants, soit les maux de tête, les nausées et les étourdissements durant la lecture.

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L’anxiété des maths : une réalité

Selon une professeure de mathématiques de la Saint Joseph University, Agnes Rash, Ph. D., l’anxiété des mathématiques est une réalité pour un grand nombre d’enfants. Prenant source à un jeune âge, cette anxiété devient souvent grandissante à mesure que l’enfant progresse à l’école.

La professeure explique ainsi sur Medical News Today que ce problème peut suivre un écolier durant toute la durée de son éducation, et même plus tard dans la vie. Bien que les enseignants doivent demeurer attentifs à ses premiers signes, les parents devraient quant à eux se questionner sur leur influence, donc sur leur propre comportement.

Par exemple, si un parent dit continuellement qu’il n’a jamais rien compris à cette matière et qu’il ne se sent jamais en mesure d’aider son enfant dans ses devoirs de maths, il est presque assuré que son anxiété lui sera transmise.

De plus, Agnes Rash soutient que le plus souvent, un enfant commencera à avoir des difficultés en mathématiques parce qu’il n’a pas bien compris un concept, non parce qu’il a des difficultés d’apprentissage.

Au contraire, la plupart des gens auraient des aptitudes en mathématiques, et ce, incluant l’algèbre et la géométrie. Le problème résiderait donc dans la compréhension de leurs principes de base. Selon la professeure Rash, la « bosse des maths » serait une conception fautive.

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Le tabagisme et l’absentéisme

Il semble que l’exposition à la fumée du tabac joue un rôle dans l’absentéisme des enfants. Une récente étude menée par le Massachusetts General Hospital a établi un lien entre le fait de vivre avec des parents fumeurs et le nombre de jours d’absence à l’école.

Comme nous pouvons le lire dans Pediatrics, il a été démontré que ces enfants accusent des taux de maladies respiratoires plus élevés en raison de cette exposition. Cette réalité augmente donc le nombre de jours d’absence à l’école.

En fait, on a évalué que chez les enfants de 6 à 11 ans qui vivent au sein d’une famille de fumeurs, entre le quart et le tiers de leurs jours d’absence sont dus à la fumée secondaire à la maison.

Les chercheurs ont même estimé les coûts de ces taux d’absentéisme : ils s’élèveraient à 227 millions de dollars en problèmes collatéraux (entraînant des absences au travail, notamment).

Un peu plus de 3 000 enfants ont participé à cette étude. Parmi ces derniers, plus de 14 % vivaient au sein d’une famille où au moins 1 personne fumait à l’intérieur de la maison, soit 8 % avec 1 fumeur et 6 % avec 2 fumeurs ou plus.

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Le tabagisme et l’absentéisme

Il semble que l’exposition à la fumée du tabac joue un rôle dans l’absentéisme des enfants. Une récente étude menée par le Massachusetts General Hospital a établi un lien entre le fait de vivre avec des parents fumeurs et le nombre de jours d’absence à l’école.

Comme nous pouvons le lire dans Pediatrics, il a été démontré que ces enfants accusent des taux de maladies respiratoires plus élevés en raison de cette exposition. Cette réalité augmente donc le nombre de jours d’absence à l’école.

En fait, on a évalué que chez les enfants de 6 à 11 ans qui vivent au sein d’une famille de fumeurs, entre le quart et le tiers de leurs jours d’absence sont dus à la fumée secondaire à la maison.

Les chercheurs ont même estimé les coûts de ces taux d’absentéisme : ils s’élèveraient à 227 millions de dollars en problèmes collatéraux (entraînant des absences au travail, notamment).

Un peu plus de 3 000 enfants ont participé à cette étude. Parmi ces derniers, plus de 14 % vivaient au sein d’une famille où au moins 1 personne fumait à l’intérieur de la maison, soit 8 % avec 1 fumeur et 6 % avec 2 fumeurs ou plus.

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Les devoirs : au travail, les parents!

La rentrée scolaire nous rappelle que les devoirs referont bientôt partie de la routine. Or, comme parent, si l’on souhaite motiver notre enfant à les faire, il semble qu’il faille changer notre propre attitude et notre comportement.

C’est ce qu’explique une étude parue dans Learning and Individual Differences. Des chercheurs de l’Université Ben-Gurion en Israël ont démontré qu’un parent doit adopter une certaine attitude pour que la motivation de son enfant grandisse.

Il choisira donc une attitude positive et soutenante. Il transmettra la valeur de l’apprentissage, plutôt que de ne parler que de l’accomplissement de la tâche ou de la réussite scolaire.

De plus, les parents devraient se questionner quant à leur propre motivation, leur attitude et leurs compétences avant d’essayer de changer leur enfant.

Chez les 135 enfants de la 4e année qui participaient à cette étude, plus de 60 % avaient l’aide d’un parent au moins 1 fois par semaine pour faire leurs devoirs.

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Les parents au coeur de la sécurité routière

Durant cette période de rentrée scolaire, on donne quelques conseils et rappels afin de maximiser la sécurité des enfants qui marchent pour se rendre à l’école. On peut lire sur Medical News Today un résumé des principes de base fournis par des spécialistes de l’University of Michigan Health System.

Par exemple, lorsqu’on est conducteur, on prend soin de rouler à basse vitesse dans les zones résidentielles et scolaires. On pense également à réduire les distractions dans notre voiture.

Aussi, on soutient les enfants dans leurs propres comportements de sécurité piétonne. Les parents ainsi que tous les conducteurs doivent prendre un peu plus de temps pour vérifier s’il n’y a pas d’enfants sur le chemin, et ce, même avant et après les heures de transport scolaire.

Les spécialistes insistent aussi pour que les parents qui reconduisent leur enfant à pied soient tout aussi prudents. Ainsi, il ne s’agit pas que de regarder des deux côtés de la rue (gauche, droite, et gauche encore) avant de traverser : on le fait aux intersections et si possible sur des passages pour piétons.

On rappelle à nos enfants, en donnant l’exemple, qu’on traverse toujours la rue en marchant. De plus, on leur rappelle de marcher face à la circulation et le plus loin possible du chemin s’il n’y pas de trottoir.

Finalement, un parent devrait accompagner tout enfant de 10 ans et moins pour traverser la rue. La sécurité routière lors de la rentrée scolaire est primordiale, pour conserver de bonnes habitudes tout au long de l’année.

Chaque année, plus de 25 000 enfants piétons sont victimes d’un accident, et ce, aux États-Unis seulement.

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Les enfants ne lisent pas assez

Une récente étude menée au Royaume-Uni nous indique que les enfants d’aujourd’hui ne sont pas tous de grands lecteurs, loin de là. On lit sur Actualitte qu’un enfant sur six lit moins d’un livre par mois.

La tendance observée en est une d’opposés : soit un enfant lit plus de 10 livres par mois, soit il ne lit pas du tout. Pourtant, la lecture devrait être partagée par un beaucoup plus grand nombre d’enfants, car nous en connaissons les bénéfices.

Par exemple, la lecture est fortement reliée à la réussite scolaire; l’une influence tout autant l’autre. Cela a à voir, entre autres, avec la concentration : 77 % des enfants qui lisent plus d’une heure à la fois ont plus de facilité, et seulement 4 % d’entre eux ont des difficultés.

D’autre part, si un enfant ne lit pas suffisamment, il pourra se retrouver avec des lacunes à l’âge adulte. On prévoit que plusieurs d’entre eux n’auront qu’un degré de lecture équivalent à celui d’un enfant de 11 ans. Une grande inquiétude réside donc dans ces futurs problèmes d’alphabétisation.