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Mitsou se la fait «mère insouciante» pour la rentrée!

Mitsou révèle une anecdote savoureuse à propos de sa rentrée scolaire à laquelle plusieurs parents pourraient bien s’identifier.

La maman qu’est Mitsou ne semble pas trop s’en faire pour la rentrée scolaire à l’aube de la fin des vacances, elle qui révèle se la jouer «mère insouciante» cette année, n’ayant toujours acheté «aucune fourniture scolaire»!

«Moi, mère insouciante qui n’a acheté aucune fourniture scolaire. Watch out le stress demain!», écrit-elle sur Instagram en légende d’une photo d’elle relaxant sur un bateau, une image qui illustre bien son point.

Heureusement, Mitsou peut trouver du support auprès de ses abonnés, alors que de nombreuses autres mamans révèlent se retrouver dans une situation similaire!

La rentrée scolaire s’entame cette semaine pour des milliers de jeunes au Québec.

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Divertissement Potins

L’école à la maison, une catastrophe pour Angelina Jolie!

L’école à la maison s’est avérée catastrophique pour Angelina Jolie.

Angelina Jolie n’a ainsi pas trop apprécié son expérience de professeure à la maison!

Retranchée dans ses luxueux campements avec ses enfants en marge de la pandémie, Angelina Jolie a dû comme des millions d’autres parents se mettre le nez dans les bouquins afin d’aider sa progéniture à continuer le programme scolaire, une expérience difficile pour la star.

«J’ai quatre écoles qui roulent en même temps avec six enfants différents (…) Je suis aussi horrible en math et je questionne l’histoire, alors je suis un parent en difficulté quand il est question de tous ces trucs. Heureusement, j’ai des enfants très capables et intelligents. Ils s’en sortent, mais c’est difficile!», lance l’actrice et activiste à HELLO!.

Angelina Jolie, 45 ans, retrouvait par ailleurs tout récemment sa première passion, alors qu’elle campe le rôle principal du film Those Who Wish Me Dead.

La star est également d’Eternals et d’Every Note Played, prévus pour les prochains mois.

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Nightlife.ca

COVID-19: Aide financière possible pour les parents lors de la relâche

Plusieurs aides financières ont été possibles depuis le début de la pandémie, comme la PCU, la PCRE et la PCMRE. Cette fois-ci, c’est au tour de la PCREPA (la Prestation canadienne de la relance économique pour proches aidants) d’aider certains parents pour la semaine de relâche qui arrive à grands pas au début du mois de mars.

La Prestation canadienne de la relance économique pour les proches aidants pourra aider un des deux parents d’un enfant de moins de 12 ans lors de la semaine de relâche. Si l’école ou le service de garde de l’enfant est fermé pendant la semaine et que les deux parents n’ont pas de congés payés par leur employeur pendant la semaine de relâche, la PCREPA pourra donner un certain montant d’argent à un des deux parents s’il ne peut pas travailler au moins 50% de sa semaine de travail.

La PCREPA permet de toucher 500 dollars pour la semaine, ce qui équivaut à environ 450$ après le prélèvement du montant de l’impôt.

Si vous avez besoin de cette aide financière, vous pouvez remplir votre demande pour la Prestation canadienne de la relance économique pour les proches aidants juste ici.

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Divertissement Potins

Laurent Duvernay-Tardif invite les étudiants à un rassemblement virtuel

Laurent Duvernay-Tardif continue de s’impliquer auprès des jeunes, même si la pandémie rend les choses plus difficiles.

En marge des Journées de la persévérance scolaire, Laurent Duvernay-Tardif invite les étudiants à un rassemblement virtuel afin de discuter avec lui de divers sujets.

«Le 17 février, dans le cadre des Journées de la @perseverance_scolaire, j’invite toutes les classes du Québec de 3e cycle du primaire et secondaire, à un grand rassemblement virtuel! Les enseignants sont donc invités à inscrire leur classe et à soumettre la question qu’ils souhaiteraient me poser via le lien dans ma bio. On se voit bientôt!», écrit LDT en légende d’une petite vidéo proposée en ligne.

Laurent Duvernay-Tardif est porte-parole des Journées de la persévérance scolaire pour la troisième fois.

L’événement se tient cette année du 15 au 19 février.

Pour en apprendre davantage, visitez le site officiel!

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Art de vivre

Chers parents, ça va l’école à distance?

(CHRONIQUE)

Depuis le début de la pandémie, on a tous connu l’école à distance avec nos enfants à plus ou moins grande échelle. On dira ce qu’on voudra, ça a l’air tout beau sur papier, et en théorie c’est la meilleure solution, mais qu’en est-il de la réalité? Ici, c’est loin d’être une partie de plaisir!

Il faut savoir qu’au début, j’avais un enfant au primaire et que comme je travaillais dans une école et que ces dernières étaient fermées, j’avais beaucoup de temps pour l’aider. Mes deux plus grandes sont au secondaire et au Cégep et de prime abord, tout avait l’air de rouler. Comme la pandémie s’étire dans le temps et que mon mari et moi sommes des travailleurs essentiels, nous ne sommes plus disponibles le jour pour apporter du support à nos enfants. Ils ont beau avoir toujours eu de la facilité à l’école, de bonnes notes et une organisation quand même efficace pour leurs âges, se retrouver seuls pour gérer horaire, connexion Zoom, cahiers, travaux et devoirs, ça devient vite une charge de travail imposante. Surtout pour mon fils de 12 ans!

Au début, ma fille de secondaire 5 trouvait que c’était le meilleur des deux mondes d’étudier en présentiel un jour sur deux. Elle peut se lever plus tard (on habite en région et l’autobus passe beaucoup trop tôt), étudier à son rythme, voir ses amis de temps en temps à l’école, etc. Sauf que bien qu’au départ le rendement était le même, les choses ont changé peu avant le congé des Fêtes. Certaines matières ne sont pas du tout efficaces à distance, comme la biologie et la physique.

Les résultats de certaines matières dégringolent et on réalise que même si elle y met tous les efforts, apprendre derrière un écran, ce n’est pas bon pour elle! Et visiblement, la moyenne de la classe connaît le même sort, ce qui signifie que la majorité est dans le même bateau. Elle doit faire son inscription au Cégep en mars prochain. Espérons qu’elle puisse remonter ses notes, et ce, malgré le fait qu’il n’y aura que deux bulletins au lieu de trois cette année.

Crédit:Photo de Andrea Piacquadio provenant de Pexels

D’ailleurs, parlons-en, du Cégep! Ce sont de jeunes adultes, me direz-vous, mais rien n’est plus insécurisant pour eux que d’être lancés dans le vide de cette manière. Je m’explique! Le passage du secondaire aux études post-secondaires est déjà une grosse étape, puisque les étudiants doivent vraiment tout gérer par eux-mêmes. Les suivis en ligne ne se font pas correctement, les plages horaires pour remettre les travaux de fin de session sont limitées et les bugs informatiques rendent le tout assez compliqué.

En ce moment, ma plus vieille a des cours en ligne tous les jours, mais parfois, elle doit être présente au Collège. Le réel problème, c’est qu’elle n’a pas assez de temps entre ses cours pour prendre l’autobus et s’y rendre. Personne n’a pensé à ça? Résultat, l’anxiété monte en flèche, mon mari qui travaille de la maison tente de se libérer pour l’y reconduire, c’est complètement fou! Peu avant les Fêtes, elle a d’ailleurs été dans l’impossibilité de se présenter à son dernier cours de la session, puisqu’elle avait un autre cours à distance juste avant. Gros conflit d’horaire! À cause de son absence, elle est en échec! Elle doit reprendre son cours en entier, alors qu’elle avait déjà eu sa note et réussissait haut la main! Elle devra faire une demande d’incomplet.

Bref, tellement de choses incongrues, tellement de déceptions pour les élèves, de défis à relever et d’expériences perdues. Je trouve que malgré tout, on s’en sort bien, au sens où ça met à l’épreuve notre capacité d’adaptation. En tant que parent, on apprend à se revirer de bord, et faire de notre mieux pour soutenir nos enfants.

J’ai envie de vous donner une petite tape dans le dos d’encouragement ainsi qu’à tous les élèves et étudiants et de vous demander; comment ça se passe chez vous?

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Art de vivre

Enseigner en pandémie, une demi-année plus tard

(CHRONIQUE)

Comme les élèves, je suis en congé depuis le 21 décembre. Nous sommes presque à la mi-année scolaire et j’en suis fière. Ce fut des mois très chargés autant pour les enseignantes que pour les élèves.

J’ai l’impression, comme beaucoup de personnes, que le début de l’année scolaire a été beaucoup plus long que d’habitude. Ça vient probablement du fait que bien avant le mois de septembre j’avais déjà la tête dans la planification. J’ai dû me préparer à enseigner en présentiel (#MotDe2020) et en virtuel. C’est plutôt compliqué de ne pas savoir dans quel contexte je vais travailler ni à quel moment je peux passer d’un contexte à l’autre.

Dès les premiers jours d’école, avec les élèves, nous avons eu à faire de nombreux ajustements autant au niveau des mesures sanitaires que sur le plan des apprentissages. Nous avons dû revoir des notions de l’année précédente. Mes élèves ont dû réapprendre à discuter en français au quotidien. Il faut aussi prendre en considération que les règles que les écoles doivent suivent ont souvent changé dans les derniers mois.

Malgré tout ça, j’ai pas mal de chance. Même si j’enseigne à Montréal, il n’y a pas eu de cas de Covid-19 dans ma classe ou dans les familles des élèves. Il y a eu quelques cas à l’école, mais en comparaison à d’autres, nous nous en tirons plutôt bien. J’ai donc eu du temps pour enseigner à mes élèves. C’est beaucoup plus facile d’être physiquement à l’école pour permettre aux élèves de manipuler du matériel et pour travailler en équipe. Je suis donc vraiment heureuse de comment le début de l’année s’est déroulé.

Pour la seconde moitié, je pense malheureusement que je ne retournerai pas à l’école de sitôt. Selon les plans actuels, je retourne avec mes élèves en classe le 11 janvier. Cependant, avec le nombre de cas actuels, je doute que l’enseignement en présentiel soit la meilleure solution à envisager. Nous aurons la réponse dans les prochains jours. Malgré ces incertitudes, je suis prête pour l’enseignement virtuel.

Quelles sont vos prévisions pour le reste de l’année scolaire?

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Travis Scott offre des bourses d’étude

Intéressante initiative du rappeur Travis Scott.

Travis Scott met sur pied une fondation, soit The Cactus Jack Foundation, à travers laquelle il souhaite offrir des bourses d’études et aider plus de jeunes à se rendre à l’université.

«Mon grand-père voulait que je me rende jusqu’au bout à l’université, et je pense qu’il y a un pouvoir dans l’éducation, alors d’être capable d’offrir à quelqu’un l’opportunité de réaliser ce rêve est pas mal incroyable», lance Scott à TMZ.

L’ancien petit ami de Kylie Jenner, avec qui il partage une fille, Stormi, choisira cette année un premier gagnant d’une bourse d’études, selon cette même source.

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Nightlife.ca

Trois jours de congés pédagogiques de plus!

Le gouvernement provincial a récemment répondu à une demande déposée au printemps dernier par les syndicats d’enseignants, demandant des journées dédiées à la formation et la planification, pour être mieux outillés et préparés face à la situation de la COVID-19. Pour ce faire, trois journées pédagogiques seront ajoutées à l’année scolaire en cours.

« Ce sont des journées de planification et de formation. Ce ne sont pas des congés », explique à La Presse madame Geneviève Côté, attachée de presse du ministre de l’Éducation Jean-François Roberge.

Pour les parents qui doivent se rendre au travail, il est à noter que les services de garde pour les élèves seront ouverts et gratuits durant ces trois journées pédagogiques additionnelles — qui devront d’ailleurs être réparties sur trois mois différents.

« Ça fait longtemps qu’on dit que notre monde a besoin de temps », indique Josée Scalabrini, présidente de la Fédération des syndicats de l’enseignement. « Depuis mai, on explique pourquoi on a besoin de ça. On a commencé notre année scolaire comme si de rien n’était. On le disait [au gouvernement] qu’on n’était pas prêt et nos enseignants sont à bout de souffle, dans un état d’extrême fatigue », ajoute-t-elle.

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Ton petit look

5 essentiels pour la rentrée à Zoom-Université!

Pour tou·te·s les étudiant.es du Québec, cette rentrée scolaire sera bien différente. Je pense particulièrement à mes ami.es collégien·ne·s et universitaires qui devront s’adapter à la réalité de l’enseignement en ligne. Pour rendre le tout plus agréable, et parce que j’aime vraiment acheter des fournitures scolaires, je vous suggère quelques objets qui enjolivent un peu ma réalité d’étudiante de la TÉLUQ. Voici donc sans plus tarder, mes items préférés pour votre rentrée à Zoom-Université.

1. Sac à dos Fjällräven Kanken

Pourquoi commencer avec un sac à dos lorsqu’on est pris.e à la maison, me direz-vous? Et bien, il s’avérera utile pour ceux et celles qui auront une formule d’enseignement hybride et parce qu’à un moment donné c’est plaisant d’étudier ailleurs que chez soi pour changer d’air. Ce sac à dos au nom imprononçable fait partie de ma vie depuis plus d’un an et je l’adore. Il est léger, utilitaire, esthétiquement plaisant et est produit par une compagnie écoresponsable.

Ce sac à dos est disponible chez Simons!

2. Surligneurs Zebra Mildliners

On a tou·te·s vu ces jolis marqueurs sur les réseaux sociaux et je n’ai jamais regretté cet achat impulsif fait un beau jour chez Bureau en gros. On peut les utiliser pour enjoliver notre bullet journal, organiser nos notes ou encore pour s’initier à la calligraphie. On peut les acheter à l’unité ou en paquet et les 2 embouts les rendent assez polyvalents.

3. Gourde Hydro Flask

On sait tou·te·s que c’est important de bien s’hydrater et on peut franchement le faire avec une multitude de contenants réutilisables. Toutefois, si vous avez envie de vous gâter pour la rentrée et célébrer la VSCO Girl en vous, optez pour une gourde Hydro Flask. Elle vient en plusieurs couleurs et motifs, garde vos breuvages à la température voulue et vous pouvez faire comme sur Pinterest et les personnaliser avec des collants en vinyle de votre choix. Elles sont disponibles chez Atmosphère!

4. Bullet Journal Leuchtturm1917 

Je tiens un bullet journal depuis quelques années et c’est ma façon favorite de m’organiser. L’agenda ne fonctionnait plus pour moi et j’avais envie de laisser place à ma créativité sans nécessairement peindre un tableau, c’est alors qu’est arrivé cet objet versatile. Selon le temps que j’ai, je peux opter pour un style minimaliste ou élaboré et me faire plaisir en élaborant autant de listes que je veux. En plus il y a plein d’inspiration de « spreads » faciles à recréer sur les réseaux sociaux. Voici un lien pour te le procurer!

5. Cahier Five Star 5 sujets

Ce dernier item, mais non le moindre, me suis depuis le début de ma formation universitaire. C’est un cahier qui peut avoir l’air banal, mais la façon dont il est divisé est parfaite pour un horaire de 5 cours. Toutes mes notes et mes exercices se retrouvent au même endroit pour toute la session et il y a même des pochettes pour ne rien perdre dans le fond du sac à dos. Définitivement un item à petit prix à essayer!

Crédit:bloglovin.com

Bonne rentrée à tou.t.es!

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Art de vivre

Devrais-je inscrire mon enfant de 4 ans à la maternelle?

Inscrire ou ne pas inscrire.

Telle est la question!

À l’aube de la rentrée scolaire, certaines prématernelles affichent encore des disponibilités. 

Je danse encore sur un pied, puis sur l’autre, en matière de décision. C’est la polka de l’indécision. C’est le bal de l’appréhension. C’est le chaos dans mon ciboulot.

Une ambivalence sans précédent me triture le dedans.

N’ayant pas accès à la prématernelle 4 ans publique, j’ai quelques options privées en tête. Et puisque fiston fréquente un milieu non subventionné, après 5 ans sur la liste d’attente du système public, payer une prématernelle de notre pleine poche serait potentiellement même économique!

Mais l’argent n’est, évidemment, qu’une infime portion de mon interrogation.

Sommes-nous prêts à courir deux milieux, en terminant nos quarts de travail respectifs en catastrophe, passé 17h30 ? Petite puce à la garderie, grand garçon dans une autre ville, en institution scolaire; un calvaire géographique à calculer, sur fond enneigé. Je vous lève mon chapeau, parents qui vivent pareille situation. C’est la course folle! Vous devez avoir une habileté admirable, en matière d’enfilage éclair d’habit de neige.

Si on ajoute à ceci des horaires parentaux atypiques (soirs et fins de semaine) ainsi qu’un contexte COVID, dit « débrouille-toi tout seul », c’est un véritable casse-tête, pour lequel je ne suis pas tout à fait prête à assembler les morceaux.

Pourtant, notre fils, lui, est prêt pour pareille stimulation. Il aura 5 ans en décembre et tous ses petits copains font actuellement l’entrée en maternelle. Il les envie et me demande à quand son tour. Qui plus est, sa curiosité est insatiable et ses éducatrices le savent prêt pour l’école.

Ceci m’amène à réfléchir sans arrêt sur la valeur que nous souhaitons  prioriser, au sein de la famille.

Ceci me demande également de me définir, en tant que mère. 

Suis-je celle qui pousse son enfant vers l’éducation, priorisant d’abord et avant tout son développement, pour son bien individuel? Suis-je celle qui favorise le jeu libre dans un cadre éducatif non institutionnel une année additionnelle, limitant ainsi les problématiques contractuelles pour le bien collectif, pour le bien familial ?

Serons-nous fonctionnels et heureux, dans l’un ou l’autre de ces choix?

Allons-nous faire face à un milieu scolaire qui fermera, gracieuseté d’une deuxième vague de COVID? Serons-nous sans ressources?

Y a-t-il lieu de précipiter la scolarisation, dans une situation où rien ne sera « normal »? 

Sommes-nous égoïstes, comme parents, de « négliger » son éducation, en ne l’inscrivant pas, ou encore de soupeser le portefeuille familial en matière de décision ? Est-ce que choisir la facilité est un crime parental, contre le développement optimal?

Il y a mille et une questions.

Mais je me fais une raison.

Nul besoin d’accélérer ou de forcer le processus scolaire, pour l’instant. L’année sera houleuse; tâchons de la rendre simple.

À nous, parents, de nourrir son esprit.

À nous, parents, de sélectionner l’option qui maximisera notre temps de qualité en famille.

À nous, parents, d’écouter notre corps, pour mieux écouter le sien.

Parce que des parents au bout du rouleau, ça n’améliorera pas le sort de notre coco.