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Stevens d’OD dans l’Ouest reprend la tournée dans les écoles

Stevens Dorcelus, ex-candidat d’OD dans l’Ouest, annonce qu’il reprendra la tournée des conférences dans les écoles primaires et secondaires!

En effet, c’est sur Instagram que le sportif de haut niveau qui se spécialise dans le saut en longueur a annoncé qu’il allait reprendre les conférences dans les écoles!

«C’est avec grand plaisir que je vous annonce mon retour avec la tournée des conférences dans les écoles primaires et secondaires ! 🥳🥳🥳 Les journées de la persévérance scolaire auront lieu du 13 au 17 février 2023. Pour plus d’info, écrivez-nous au jlm@jumplikeme.ca 📧», a-t-il annoncé avec, il semblerait, beaucoup d’excitation!

Dans ses conférences, le grand gagnant de sa cohorte OD parle de motivation, de discipline, de confiance en soi, de ses expériences, de ses hauts et de ses bas!

Il tentera à travers ses paroles de faire comprendre aux jeunes qu’ils ne sont pas seuls dans ce qu’ils vivent!

Aimeriez-vous que Stevens Dorcelus fasse une visite à votre école?

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Un nouveau balado explore le système scolaire à trois vitesses

Les admissions au secondaire sont souvent anxiogènes pour les parents et les enfants… Mais pourquoi?

Radio-Canada OHdio et Picbois Productions viennent tout juste de lancer un nouveau balado qui risque d’être fort intéressant pour les parents d’enfants qui entreront bientôt au secondaire. Il s’agit du balado Chacun sa classe, qui aborde notamment le système scolaire à trois vitesses dans lequel baignent les élèves.

Le balado est réalisé par Christine Chevarie suite à une idée originale de la fondatrice de Picbois, Karine Dubois. Cette dernière assure aussi la narration et s’occupe de la production avec Marie-Pierre Corriveau. L’idée a germé dans l’esprit de Karine Dubois alors qu’elle était elle-même face au dilemme de l’école à choisir pour son enfant. École privée? École publique? Programme particulier? Les options sont toutes très différentes les unes des autres, et c’est à se questionner si le choix qu’on fait peut avoir un impact sur la société. Quand on y pense, est-ce que ce système à trois vitesses ne mine pas le principe d’égalité des chances entre les enfants? Ce genre de questionnement est au centre de ce nouveau balado, et la réflexion est des plus pertinentes!

Chaque épisode dure 25 minutes et aborde différentes facettes de l’enjeu. Karine Dubois fait notamment une incursion dans une école publique typique, elle participe aux portes ouvertes d’un collège privé, elle se questionne sur tout le processus des demandes d’admission au privé et dans les programmes particuliers, etc. La série comporte 5 épisodes qu’on écoute avec attention du début à la fin tant ils sont pertinents.

Vous pouvez en apprendre plus sur Chacun sa classe en cliquant ici.  

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TPL Moms

Ce nouveau balado de Savoir média explore des questions importantes en lien avec l’éducation

Le philosophe Normand Baillargeon anime les épisodes en présence d’invités pertinents.

Un tout nouveau balado présenté par Savoir média s’intéresse de près à plusieurs questions fondamentales en lien avec l’éducation. La série appelée L’école en 10 questions est animée par le philosophe Normand Baillargeon et présente plusieurs intervenants pertinents. Les questions mises de l’avant par le balado sont très pertinentes pour la situation actuelle dans le milieu de l’enseignement, et s’adressent autant aux enseignants qu’aux parents et aux étudiants.

Chaque épisode de trente minutes est filmé en plus d’être enregistré comme balado. Les épisodes seront diffusés les lundis à 21h30 dès le 29 août sur les ondes de Savoir média. Des questions ultra pertinentes comme «est-ce que l’école dénature les enfants?» ou «devrait-on éliminer les notes?» sont abordées au fil des épisodes. Pour chacune des dix questions posées, Normand Baillargeon et ses invités présentent la pensée d’un philosophe comme Platon, Jean-Jacques Rousseau, John Dewey ou encore Emmanuel Kant.

Ça promet d’être vraiment intéressant!

Pour en savoir plus sur ce projet, cliquez ici.

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Il manque encore 700 enseignants pour la rentrée scolaire

Le ministre Roberge se dit toutefois confiant…

La pénurie d’enseignants ne date pas d’hier au Québec, et cela fait déjà quelques rentrées scolaires que de nombreuses classes n’ont tout simplement pas d’enseignants attitrés au début de l’année. Avec les conditions d’enseignement qui se dégradent chaque année, le manque de valorisation du métier et la pandémie qui a exacerbé les difficultés du métier, la pénurie est loin de s’améliorer.

C’est ainsi qu’on apprend via un article de TVA Nouvelles qu’il manque encore 700 enseignants pour pourvoir tous les postes à la rentrée scolaire. Toutefois, certaines affectations sont en cours ou se dérouleront prochainement dans les différents centres de service scolaire, selon le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge.

Cette année, le ministère procède à une récolte de données afin de savoir de manière hebdomadaire où les postes à combler se situent. Les données devraient être rendues publiques, comme l’a affirmé aujourd’hui le ministre Roberge sur les ondes du 98,5 FM.

En juin dernier, une campagne de recrutement appelée Répondez présent a permis de récolter plus de 6000 candidatures. Considérant ceci, le ministre Roberge se dit confiant que tous les postes pourront être pourvus à temps. Rappelons toutefois qu’il ne reste que deux semaines avant la rentrée scolaire, et la tâche risque d’être immense.

Outre la pénurie d’enseignants, il y a aussi des problèmes avec tout le personnel de soutien. Le ministre Roberge a toutefois affirmé par voie de communiqué, comme le rapporte Radio-Canada, que les efforts du gouvernement ont porté leurs fruits, et que l’année scolaire 2022-2023 se fera avec un soutien pédagogique amélioré et une plus grande sécurité. De nombreux investissements du gouvernement en éducation devraient avoir des répercussions positives cette année, comme une enveloppe de 19 millions de dollars pour le soutien à la santé mentale et au bien-être des élèves.

Plusieurs inquiétudes minent toutefois l’ambiance de la rentrée 2022. Il y a notamment les préoccupations sur la qualité de l’air dans les écoles ainsi que l’impasse avec les transporteurs scolaires qui n’est toujours pas réglée.

Tâchons de rester optimistes nous aussi et suivons les développements dans les différents dossiers au cours des deux prochaines semaines.

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Des purificateurs d’air à assembler soi-même pourraient être une solution économique pour les classes

Que pensez-vous de cette idée?

Les classes québécoises pourraient toutes être équipées d’un purificateur d’air à assembler pour environ une centaine de dollars par classe. C’est ce qu’explique cet article de Radio-Canada dans lequel on fait la découverte de la boîte Corsi-Rosenthal qui a été conçue afin de réduire les risques de transmission de la COVID-19.

Le principe derrière ce purificateur d’air à fabriquer soi-même est de réduire les particules de virus que respirent les gens en ajoutant quelques filtres à un système de ventilation. Le premier modèle fabriqué par l’un des deux co-inventeurs, Richard Corsi, a par la suite été amélioré par Jim Rosenthal, le président-directeur général d’une compagnie de filtres au Texas. Les deux ingénieurs ont par la suite conçu un purificateur d’air qui est somme toute assez simple à assembler et qui permet de purifier l’air de manière efficace (une étude de l’Université de Californie s’est penchée sur la question).

La boîte est composée de quatre filtres MERV13 et d’un ventilateur carré. Le tout est assemblé par du ruban adhésif. Idéalement, les filtres devraient être remplacés tous les six mois. Cette vidéo (en anglais) montre comment assembler une boîte Corsi-Rosenthal.

Au Québec, il n’y a pour l’instant aucune intention d’utiliser la boîte Corsi-Rosenthal. Par contre, quelques personnes ont pris la décision d’installer les boîtes dans certaines écoles du Québec. C’est le cas notamment de l’école primaire Pierre Elliott Trudeau, à Gatineau. L’école a reçu une subvention du gouvernement pour l’achat des boîtes. D’ailleurs, la construction des purificateurs d’air pourrait faire une activité très intéressante à faire avec les élèves!

Que pensez-vous de cette solution originale à la qualité de l’air dans les classes du Québec?

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Rentrée scolaire: tous les capteurs de CO2 seraient installés

Le ministre de l’Éducation affirme que tout est prêt pour la rentrée scolaire.

À quelques jours de la rentrée scolaire 2022, le ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, affirme que tous les capteurs de CO2 ont été installés dans les classes de la province. Les écoles sont donc prêtes à vérifier les niveaux de CO2 afin d’assurer la sécurité et le bien-être des élèves.

La demande pour ce genre de capteurs date du début de la pandémie, et après plus de deux ans, l’installation dans toutes les écoles est enfin complétée. Les capteurs de CO2 seront utilisés dans le cadre d’une stratégie de gestion de la qualité de l’air dans les écoles. Afin d’éviter la propagation de la COVID-19 dans les classes et les aires communes, les capteurs mesurent différents paramètres comme la température, le taux d’humidité et le taux de CO2 dans la pièce. La cible provinciale a été établie à 1000 ppm (parties par million), avec une tolérance jusqu’à 1500 ppm.

Cette cible ne fait toutefois pas l’unanimité, surtout dans le milieu scientifique.

En effet, comme le rapporte Radio-Canada, le chargé de cours au Département de bio-ingénierie de l’Université McGill, Stéphane Bilodeau, explique que lorsqu’on «accepte 1500 ppm, c’est qu’on est très tolérant au risque d’infection. Si on est dans ce que beaucoup d’experts parlent comme une limite convenable, on est plus dans l’ordre de 800 parties par million. Certains mentionnent même 700.»

D’ailleurs, la solution priorisée par le ministère de l’Éducation afin de gérer les niveaux de CO2 dans les classes est toujours l’aération naturelle, soit l’ouverture des fenêtres, même en plein hiver. Si quelques écoles à l’échelle de la province ont bénéficié de travaux comme des changements de fenêtres ou l’installation de la ventilation mécanique, ce n’est pas l’ensemble du parc immobilier scolaire qui a été rénové. Cette situation inquiète évidemment de nombreux parents qui aimeraient que davantage d’actions soient posées afin d’assurer la qualité de l’air dans les écoles.

Considérant que la rentrée scolaire 2022 se fera sans mesure comme le port du masque, la distanciation ou la réduction du nombre d’élèves par classe, et qu’une huitième vague semble guetter la province, les inquiétudes des parents sont tout à fait compréhensibles.

Néanmoins, le ministre Roberge se dit satisfait des travaux effectués. Il affirme aussi que l’amélioration du réseau scolaire reste une priorité pour la CAQ.

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Pas de transport scolaire à la rentrée? Des milliers d’élèves pourraient être touchés

L’impasse entre les transporteurs et les centres de services scolaires se poursuit.

Entre l’augmentation fulgurante des prix des fournitures scolaires et un retour à l’école qui pourrait être marqué par la huitième vague de la COVID-19, les parents ont de quoi s’inquiéter! Et comme si ce n’était pas suffisant, voilà maintenant qu’on apprend via TVA Nouvelles que des milliers d’élèves pourraient ne pas avoir de transport scolaire à la rentrée.

C’est une impasse dans la négociation entre les transporteurs et le réseau scolaire qui est à l’origine de cette situation. En effet, plus de la moitié des contrats en transports scolaires à l’échelle de la province sont arrivés à échéance en juin dernier. Ils doivent être renouvelés, mais les deux parties ne s’entendent pas sur le coût.

Du côté des transporteurs scolaires, on affirme que la bonification accordée par Québec n’est pas suffisante pour pallier l’augmentation des coûts comme l’essence et le stationnement des autobus.   

«La bonification n’est malheureusement pas suffisante pour permettre aux transporteurs de couvrir l’ensemble des frais, comme le carburant, la main-d’œuvre, les pièces pour l’entretien et la réparation, qui ont connu des augmentations effarantes», affirme Luc Lafrance, président-directeur général de la Fédération des transporteurs par autobus, rapporte cette même source.

La problématique est surtout inquiétante pour les grands centres, comme Montréal, Québec, Sherbrooke et Gatineau. Dans ces villes, le risque d’un bris de service pour le transport scolaire est réel. Si la situation ne se règle pas d’ici les deux prochaines semaines, ce sont possiblement des milliers d’élèves qui n’auront pas de transport.

Du côté du ministère de l’Éducation, on affirme que le dossier est prioritaire et que des solutions seront trouvées avant la rentrée scolaire.

Le dossier devra donc être suivi au cours des prochains jours.

En attendant, c’est un stress de plus pour les parents…

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Art de vivre

Tous les matins, il m’envoie des bisous à la clôture

« Bonne journée, Maman! Je t’aime! »
C’est devenu une tradition. Chaque matin où je marche jusqu’à l’école avec les garçons, Coco sort dans la cour d’école, il dépose son sac à dos sur le côté de l’immeuble, puis il s’installe à la clôture, celle qui donne sur le trottoir où je passe pour revenir à la maison.
Des fois, je suis encore de l’autre côté de l’immeuble, alors il reste là. Les mains autour des maillons de la clôture, il attend. Quand je surgis au coin de la rue, Coco s’enthousiasme : « Maman! » Il s’exclame comme s’il ne m’avait pas vue depuis des jours, alors qu’on s’est laissés il y a à peine trois minutes.
D’autres fois, j’arrive à la clôture avant lui. Des fois même, je suis déjà passée. Je suis en train de traverser l’intersection, avec d’un côté le brigadier, de l’autre un groupe d’enfants qui vont en sens inverse du mien, ou alors je suis loin, de l’autre côté de l’intersection. Ça n’arrête pas Coco : « Bye, Maman! Je t’aime! »
Il crie, en boucle. Jusqu’à ce qu’il ne me voie plus. Même si la rue est longue, et qu’il continue de me voir longtemps. Il continue de crier « Maman! » sans se fatiguer. Je lui réponds, évidemment. « Moi aussi je t’aime! Bonne journée mon grand! À ce soir! » Quand je suis rendue loin, trop loin pour crier, je lui envoie le bras. Je lui souffle des bisous. « Bonne journée, Maman! » Lui crie encore, la face bien étampée dans la clôture, parce que « trop loin pour crier », pour lui, ça n’existe pas. Il me souffle des bisous à son tour. Je vois ses ami.e.s le rejoindre à la clôture, le saluer, l’inviter dans leur jeu. Il est d’accord, mais pas tout de suite. Là, maintenant, il est occupé.
C’est toujours un peu émouvant de le voir aussi content de me regarder partir, aussi joyeux de cette occasion de me voir encore un peu avant de commencer sa journée à l’école. C’est toujours un peu cocasse, aussi. Je sais bien que nos adieux hyperboliques font sourire autour de nous, tant de son côté dans la cour d’école que du mien sur le trottoir. Mais je sais aussi qu’il ne m’aimera plus jamais autant que maintenant, jamais autant qu’à l’époque où il m’envoyait des bisous à la clôture.
Alors quand il m’appelle, je me retourne. Même si j’ai traversé l’intersection, même si je suis si loin que je ne distingue plus vraiment ses traits. Même si je suis rendue devant l’entrée de cour du troisième voisin de l’école qui me regarde, le sourcil levé, sans comprendre à qui je m’adresse et pourquoi je gesticule tant à 8h15 le matin.
Je lui crie que je l’aime. Je lui souffle des bisous. Juste au cas où ce serait la dernière fois.
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Divertissement Potins

Mitsou se la fait «mère insouciante» pour la rentrée!

Mitsou révèle une anecdote savoureuse à propos de sa rentrée scolaire à laquelle plusieurs parents pourraient bien s’identifier.

La maman qu’est Mitsou ne semble pas trop s’en faire pour la rentrée scolaire à l’aube de la fin des vacances, elle qui révèle se la jouer «mère insouciante» cette année, n’ayant toujours acheté «aucune fourniture scolaire»!

«Moi, mère insouciante qui n’a acheté aucune fourniture scolaire. Watch out le stress demain!», écrit-elle sur Instagram en légende d’une photo d’elle relaxant sur un bateau, une image qui illustre bien son point.

Heureusement, Mitsou peut trouver du support auprès de ses abonnés, alors que de nombreuses autres mamans révèlent se retrouver dans une situation similaire!

La rentrée scolaire s’entame cette semaine pour des milliers de jeunes au Québec.

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Divertissement Potins

L’école à la maison, une catastrophe pour Angelina Jolie!

L’école à la maison s’est avérée catastrophique pour Angelina Jolie.

Angelina Jolie n’a ainsi pas trop apprécié son expérience de professeure à la maison!

Retranchée dans ses luxueux campements avec ses enfants en marge de la pandémie, Angelina Jolie a dû comme des millions d’autres parents se mettre le nez dans les bouquins afin d’aider sa progéniture à continuer le programme scolaire, une expérience difficile pour la star.

«J’ai quatre écoles qui roulent en même temps avec six enfants différents (…) Je suis aussi horrible en math et je questionne l’histoire, alors je suis un parent en difficulté quand il est question de tous ces trucs. Heureusement, j’ai des enfants très capables et intelligents. Ils s’en sortent, mais c’est difficile!», lance l’actrice et activiste à HELLO!.

Angelina Jolie, 45 ans, retrouvait par ailleurs tout récemment sa première passion, alors qu’elle campe le rôle principal du film Those Who Wish Me Dead.

La star est également d’Eternals et d’Every Note Played, prévus pour les prochains mois.