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Comment réduire le stress de notre enfant

Selon une recherche de l’University of Chicago, le stress vécu à l’école, que ce soit lors d’un examen ou pendant une activité sportive, peut entraver la réussite scolaire. On lit dans Emotion qu’un simple changement de perception pourrait toutefois changer la donne.

D’après les résultats des experts, il semble que le cortisol, une hormone du stress, peut à la fois être relié à un faible résultat et constituer un facteur de réussite. Cela ne dépendrait que de l’état d’esprit de l’enfant.
 
C’est la première fois que l’on établit un lien entre la mémoire, l’anxiété (quant à un test de mathématiques) et le cortisol. Soixante-treize élèves ont été évalués lors de cette expérimentation.
 
Afin de maîtriser son stress et ainsi s’en servir pour mieux réussir, notre enfant pourrait donc changer sa perception de la situation selon deux méthodes. Il peut soit écrire sur ses angoisses avant de faire un test, soit se rappeler un moment où il a vécu une réussite.
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Asthme mal soigné : les répercussions

Lorsqu’un enfant n’est pas suivi adéquatement quant à son asthme, les conséquences sont nombreuses. Selon une recherche de la National Jewish Health, les coûts relatifs à la santé sont doublés dans le cas de cette maladie.

De plus, l’enfant asthmatique qui n’est pas bien soigné sera plus enclin à être absent de l’école, ce qui va à l’encontre de sa réussite scolaire. On parle ici d’une moyenne de 18 jours d’absentéisme par année, contre 2 jours pour les autres patients asthmatiques.
 
Cette étude a été faite auprès de 628 enfants qui souffraient d’un asthme sévère ou difficile à soigner. Les sujets étaient divisés en trois sous-groupes, soit : très pauvrement suivis, pas très bien suivis et bien suivis. Ils étaient âgés de 6 à 12 ans.
 
Semble-t-il que c’était la première fois que l’on se penche sur les coûts engendrés par un traitement efficace ou non de l’asthme.
 
Les résultats complets de cette recherche sont parus dans l’édition d’août 2011 des Archives of Allergy, Asthma & Immunology.
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L’hygiène des mains à l’école

Se laver les mains demeure une excellente prévention contre la propagation des maladies. On lit dans l’American Journal of Infection Control qu’une meilleure connaissance de cette forme d’hygiène a un impact majeur sur la transmission des infections à l’école primaire.

Des programmes scolaires apprenant aux écoliers comment bien laver leurs mains en viendraient même à faire baisser le taux d’absentéisme. Cela a été démontré dans plus d’une étude.

Le taux d’absentéisme peut donc chuter de 66 % à la suite de l’implantation d’un tel programme, et le nombre d’enfants ne manquant pas du tout l’école durant l’année grimperait jusqu’à 20 %.

On explique finalement que les effets positifs du lavage des mains chez les enfants d’âge scolaire sont aussi importants que ceux observés chez des travailleurs du milieu de la santé, entre autres.

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Les soins particuliers nuiraient à la réussite scolaire

Une récente étude parue dans Pediatrics fait la lumière sur la vie sociale et la réussite scolaire d’enfants nécessitant des soins de santé particuliers. Il semble que les enfants ayant de tels besoins en soient discriminés.

En effet, après que l’on ait ajusté certains segments, on a remarqué que les enfants recevant des soins particuliers en milieu scolaire étaient plus souvent victimes d’intimidation et affichaient un comportement dérangeant dans une plus grande proportion.
 
De plus, ils démontraient une moins grande motivation et obtenaient de moins bons résultats scolaires. Parmi les enfants de 34 écoles, 33 % ont été reconnus comme nécessitant des soins particuliers.
 
Ceux-ci comprenaient les limites physiques dues à une maladie chronique et les problèmes de comportement. La seule prise de médicaments ne faisait pas partie des raisons, du moins dans cette recherche. Au total, 1 457 enfants de la 4e à la 6e année ont été évalués.
 
On recommande, à la suite des résultats obtenus, que les enfants ayant des besoins particuliers soient mieux soutenus dans le milieu scolaire.
 
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Le sac à dos peut être nuisible

Chaque année, à l’approche de septembre, on rappelle aux parents les règles de prévention entourant le sac à dos. Preventive Medicine publie d’ailleurs d’excellents conseils sur le sujet; en voici un aperçu.
 
Premièrement, le poids du sac ne doit jamais excéder 15 à 20 % du poids corporel de l’enfant. Aussi, on préconise les sacs qui ont des poches de côté, des bretelles rembourrées (qui sont toutes deux utilisées!) et une bande de soutien à la taille.
 
Car il est grandement question de répartition du poids. C’est pourquoi on doit expliquer à notre enfant de placer les livres les plus lourds le plus près possible du corps. Le reste, si possible, est rangé dans les pochettes.
 
De plus, à l’aide d’une démonstration, on explique à notre jeune écolier que lorsqu’il met son sac à dos sur ses épaules, il doit absolument le faire en s’appuyant sur ses deux genoux.
 
Finalement, on pense aux autres enfants : on ne laisse jamais traîner un sac par terre, pour éviter qu’on trébuche, et on ne le balance pas, pour ne pas faire mal aux personnes autour de nous.
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La rentrée des classes approche

La préparation pour la rentrée des classes devrait être entamée bien à l’avance, selon des experts. On lit d’ailleurs les conseils de Dre Robin Gurwitch du Cincinnati Children’s Hospital Medical Center sur Medical News Today.
 
On devrait donc commencer à parler de l’école à son enfant dès maintenant, en particulier s’il y aura un changement : l’entrée à la maternelle, un changement d’établissement scolaire ou une rentrée au secondaire.
 
Les parents d’un enfant peuvent ainsi cerner ses peurs et ses inquiétudes et avoir le temps de les apaiser ou d’y remédier. Certains gestes peuvent aussi être posés.
 
Par exemple, lorsqu’un tout-petit fait son entrée à la maternelle, on participe aux journées d’accueil et l’on établit une routine bien avant le début de l’année scolaire. Si notre enfant s’ennuie de nous, on peut ajouter des petits objets ou photos à son sac qui lui rappellent la maison.
 
Si nous avons un adolescent, il y a aussi une préparation à faire. Un parent devrait parler avec lui et l’aider à établir des buts et des façons d’obtenir de bons résultats scolaires. On prévoit aussi un outil de planification quotidienne.
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L’éducation nutritionnelle, c’est payant

Selon une étude parue dans Archives of Pediatrics & Adolescent Medicine, le partage de bonnes habitudes de vie auprès de jeunes du secondaire aurait des impacts majeurs sur les finances américaines.

En effet, après que l’on ait comparé 10 écoles, dont 5 avaient suivi le programme préventif Planet Health, on projette que l’éducation nutritionnelle pourrait sauver le système de santé.

C’est qu’il en coûterait tout simplement moins cher d’éduquer les élèves du secondaire et de prévenir l’obésité et les troubles alimentaires plutôt que de les soigner plus tard.

Dans le cadre de l’expérimentation, pas moins de 14 000 dollars auraient été sauvés par la participation au programme de 254 filles.

Si ce projet s’étendait sur 100 écoles, l’économie auprès du système de santé serait de l’ordre de près de 700 000 dollars.

Le programme Planet Health a été développé par la Harvard School of Public Health. En résumé, il consiste à apprendre aux jeunes à faire de bons choix alimentaires, à accroître leur activité physique et à réduire leur temps passé devant la télévision.

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La punition corporelle, néfaste pour l’intellect

Bien que ce ne soit plus très courant, l’usage de la punition corporelle à l’école existe encore.

Or, une récente étude ayant été menée au sein de deux écoles privées de l’Afrique de l’Ouest fait état de répercussions insoupçonnées de ce type de punition.

C’est que les enfants qui fréquentent une école faisant usage de punitions corporelles ont eu des résultats nettement plus faibles en ce qui a trait à certains processus psychologiques. Parmi eux, on note la planification et la pensée abstraite.

De plus, les chercheurs soutiennent qu’un enfant qui se développe dans un tel environnement pourrait vivre des effets à long terme sur son intelligence verbale et ses aptitudes d’exécution.

Conséquemment, il se trouve plus à risque d’avoir des problèmes de comportement.

Les résultats complets de cette étude ayant porté sur 63 enfants sont parus dans Social Development.

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Reprendre le chemin de l’école

Des chercheurs de l’Université de Cincinnati indiquent aux parents qu’une bonne routine scolaire n’a rien de compliqué. Afin de promouvoir l’éducation et la santé, on doit se souvenir de quelques lignes directrices, lisons-nous sur Medical News Today.

Ainsi, on devrait s’assurer que notre enfant fait de l’activité physique, qu’il profite de bonnes nuits de sommeil et qu’il prend un déjeuner satisfaisant. Ces trois clés seraient celles du succès en ce qui a trait à la réussite à l’école.

De plus, les chercheurs soutiennent que la rentrée peut avoir certaines répercussions sur la santé physique des enfants. Le temps passé à étudier n’en est effectivement pas un accordé à l’activité physique.

Pourtant, demeurer actif tout au long de l’année scolaire est bénéfique : il semble que notre esprit fonctionne mieux lorsqu’il est physiquement stimulé. Quant au déjeuner, nous connaissons déjà ses bienfaits : il demeure la meilleure préparation pour une longue journée d’école.

Le déjeuner prévient aussi l’obésité, tout comme le feraient de bonnes nuits de sommeil. Celles-ci devraient même être allongées jusqu’à 10 heures pour les enfants à l’école, pour ne jamais descendre en dessous de 8 heures par nuit.

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C’est l’été, la saison des amygdales

Selon Medical News Today, la saison estivale est aussi celle du retrait des amygdales. En effet, on profite souvent des vacances pour procéder à cette chirurgie. L’enfant peut donc se reposer plusieurs jours après l’opération, sans se soucier de manquer l’école.

De nombreux enfants se font encore enlever les amygdales. Aux États-Unis seulement, on évalue que 500 000 d’entre eux subissent une telle intervention chaque année.

La plupart du temps, on procède au retrait des amygdales afin de réduire le développement du rhume, des infections aux oreilles ou pour diminuer les ronflements et améliorer la respiration.

Les problèmes de sommeil demeurent la principale raison pour avoir recours à cette chirurgie. Le retrait des amygdales – ainsi que des glandes adénoïdes – libère les voies respiratoires, lesquelles peuvent entraîner, lorsqu’elles sont obstruées, des réveils fréquents et des ronflements.