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L’environnement économique lié à la délinquance plus tard

Pour une nouvelle étude, des chercheurs ont tenté de trouver un parallèle entre la crise économique qui a eu lieu aux États-Unis au début des années 80 et la délinquance des jeunes en 1997. Ils ont analysé les données provenant de 8984 adolescents qui étaient nés entre 1980 et 1984.

Ils ont découvert que si les jeunes avaient été exposés à une déviation de seulement 1 % du taux régional de chômage à l’âge de 1 an, ils étaient plus susceptibles de fumer de la marijuana, de boire de l’alcool, de se faire arrêter par la police, d’appartenir à un gang de rue ou d’avoir commis un vol.

Les chercheurs ont toutefois indiqué qu’il n’y avait pas de lien pour ce qui est de la consommation de drogues dures et de violence physique.

« Nos données suggèrent que des conditions économiques défavorables durant la petite enfance pourraient créer des circonstances qui affectent le développement psychologique de l’enfant et mener à des problèmes de comportement à l’adolescence », a indiqué l’auteur, Seethalakshmi Ramanathan, selon Science Daily.

Les résultats ont été publiés dans le journal médical Archives of General Psychiatry.

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Un boom touristique pour Washington grâce au cannabis?

Ceux qui ont suivi de près les dernières élections générales américaines, et qui ont vu Barack Obama être réélu comme président, avaient sans doute remarqué que plusieurs autres enjeux importants étaient décidés le même soir dans plusieurs grands États américains.

C’était le cas des politiques concernant les mariages gais, mais aussi la légalisation du cannabis. Contre toute attente, l’État de Washington a voté « oui » pour la légalisation, ce qui a été officialisé quelque temps plus tard.

Depuis quelques jours, on peut voir des images de gens « s’allumant un joint » près de certains des plus beaux monuments de l’État, célébrant leur nouvelle liberté acquise.

Le dossier va plus loin, alors que plusieurs sources, dont torontosun.com, croient que la région pourrait connaître un boom touristique majeur, un peu comme Amsterdam avec son réseau de coffee shops.

Par ailleurs, Amsterdam est en plein débat à savoir s’ils doivent conserver ou non leur laxisme en matière de marijuana. S’ils décidaient de fermer la porte aux touristes en ce qui a trait au cannabis, Washington pourrait bien devenir la prochaine capitale verte dans le monde.

Et cela se traduirait par des gains économiques massifs, ce dont les autorités se réjouissent.

Il s’agit du premier État de l’histoire des États-Unis à légaliser l’usage de la marijuana à des fins récréatives (chez les adultes).

Et vous, irez-vous faire un tour du côté de Washington bientôt?

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Les unités d’observation des hôpitaux pourraient épargner des milliards

Selon une étude récente, rapportée par nlm.nih.gov, les centres d’observation des hôpitaux pourraient faire épargner des milliards de dollars au système de santé.

Une unité d’observation est un lieu situé tout près des urgences, où l’on surveille les gens qui ne sont pas officiellement admis comme patients ou ceux qui sont sur le point de sortir, pour une période de 24 heures. On réduit ainsi les risques de complications ou de mauvaises surprises.

On rapporte que seulement le tiers des hôpitaux aux États-Unis possèdent ce genre de centre, et qu’il serait grandement bénéfique pour les autres de se doter d’un tel système.

Les chercheurs du Brigham and Women’s Hospital de Boston analysent les données et publient les résultats sous forme de coûts moyens épargnés par les hôpitaux qui utilisent une unité d’observation.

Ainsi, ils concluent qu’en moyenne, 1572 $ par patient (par visite) seraient épargnés lorsqu’on place celui-ci en observation. Un hôpital réduirait donc ses coûts de 4,6 millions par année, et le système de santé gagnerait 3,1 milliards par an.

Il s’agit de chiffres astronomiques, mais réalistes quand on considère les hôpitaux qui reçoivent 50 000 visites et plus par année dans leurs urgences.

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Londres pour 57 $ la nuit

Un peu à l’instar des compagnies aériennes qui baissaient de plus en plus leur prix de base et qui offraient ensuite des extras habituellement inclus dans le prix, un nouvel hôtel de Londres offre désormais sa chambre avec un prix de base inférieur à 60 $, si vous êtes prêt à faire fi des petits extras dont vous aviez l’habitude de profiter dans la formule classique d’une chambre d’hôtel.

Exit les serviettes, exit le séchoir à cheveux et exit le ménage de la chambre : Tune Hotels, tout près des grands centres d’attraction touristique, vous offre l’une de ses 75 petites chambres avec lit double pour seulement 57 $ CA, un prix dérisoire dans cette ville, où le coût de la vie est considéré très élevé pour n’importe quel touriste.

Toutefois, aussi touffus qu’un menu de restaurant populaire, les extras ont tous un prix pour chacun des caprices que n’offre pas la chambre de base. Les serviettes coûtent 1,63 $ chacune, l’utilisation du séchoir à cheveux, 3,27 $, et le ménage de la chambre, 12,27 $.

D’autres extras, comme l’utilisation du coffre-fort, une télévision ou même la connexion Wi-Fi, ont tous un prix.

La chaîne d’hôtels, qui est de propriété malaise, compte exploiter ce créneau à Londres, en ouvrant 14 autres établissements du genre, pour un total éventuel de 1 500 chambres d’ici 2017.