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Écrire avant un examen permet d’avoir de meilleurs résultats

Le journal Science nous apprend que prendre 10 minutes avant un examen pour écrire ses états d’âme permet d’évacuer ses angoisses et ainsi obtenir de meilleures notes.
 
« On est avant tout débarrassé de cette relation qui existe entre l’anxiété liée à l’examen et la performance », mentionne le professeur en psychologie de l’Université de Chicago, Sia Lé Beilock.
 
Depuis longtemps, les psychologues et professeurs savent que le stress joue un énorme rôle dans les résultats d’examens. Ainsi, un élève brillant peut échouer simplement parce qu’il était trop inquiet durant le test.
 
Prendre 10 minutes pour écrire comment on se sent sur une feuille de papier permet d’améliorer ses notes et de libérer l’anxiété. Cette dernière est un obstacle au cerveau lorsque l’on souhaite utiliser la mémoire.
 
L’écriture est une thérapie utilisée depuis longtemps, notamment dans les cas de dépression et de choc post-traumatiques, car elle diminue les inquiétudes.
 
On espère éventuellement trouver un moyen pour améliorer les performances d’une personne, et ce, même en état de grand stress.
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Un journal pour les cancéreux

Des chercheurs américains encouragent désormais les patients atteints de cancer à écrire un journal. Selon eux, cet exercice littéraire permettrait d’améliorer la communication entre le médecin et son patient, mais aussi de favoriser le bien-être ainsi que la diminution de la douleur.

234 sujets cancéreux ont participé à cette recherche. Ils ont été répartis en 3 groupes. Les membres du premier groupe tenaient un journal dans lequel ils notaient en détail leurs symptômes. Le second groupe se contentait de répondre à un questionnaire sur leurs symptômes. Les patients du troisième, eux, suivaient simplement leurs traitements.

Le Dr M. Soledad Cepeda a découvert que le premier groupe avait un meilleur moral et avouait ressentir moins de douleur que les deux autres groupes ayant participé à l’étude.

Seule nuance au tableau, d’autres recherches devront être menées afin de corroborer cette hypothèse auprès des cancéreux en phase terminale.