Catégories
Potins

Gwyneth Paltrow a consommé de l’ecstasy

L’actrice Gwyneth Paltrow avoue avoir déjà consommé de l’ecstasy.

Invitée plus tôt cette semaine à l’émission Watch What Happens Live de la chaine américaine Bravo, Gwyneth Paltrow a révélé à l’animateur Andy Cohen que l’ecstasy est la drogue la plus forte qu’elle a consommée.

Après avoir offert cette réponse, la blonde de 42 ans a esquissé un sourire gêné.

La question embarrassante est survenue dans un segment de l’entrevue où les invités peuvent refuser de répondre à l’une des trois questions posées par l’animateur. Visiblement, la vedette de la série de films Ironman a choisi l’honnêteté sur la question de la drogue.

Gwyneth Paltrow a aussi révélé que c’est à elle que James Cameron voulait offrir le rôle féminin principal pour le film Titanic face à Leonardo DiCaprio. Le rôle a finalement été interprété par Kate Winslet.

La vedette a de plus parlé de ses projets. Elle travaille en ce moment sur un musical appelé Head Over Heels, mettant en vedette la musique du groupe féminin The Go-Go’s.

Photo : BANG/BIG

Catégories
Uncategorized

Attention, recrudescence d’ecstasy chez les adolescents

« Ce n’est que la pointe de l’iceberg », affirme Steve Pasierb, président-directeur général de Drugfree.org. « On ne parle ici que des cas qui se sont retrouvés en salle d’urgence, et ça devrait sonner l’alarme. »

Comme l’indique webmd.com, plus de 10 000 jeunes en 6 ans ont été hospitalisés. D’ailleurs, la U.S. Substance Abuse and Mental Health Services Administration (SAMHSA) rapporte que dans la majorité des cas, la combinaison avec de l’alcool a été relevée.

L’ecstasy augmente la sensation d’euphorie et redonne de l’énergie, et ce, en raison d’une altération du fonctionnement chimique du cerveau. Mais en parallèle, les effets secondaires regroupent la déshydratation, l’augmentation marquée de la température corporelle et de la pression sanguine, et un rythme cardiaque rapide. Des symptômes qui peuvent mener à un arrêt cardiaque ou un dysfonctionnement rénal.

Si vous entendez parler de Molly, méfiez-vous d’autant plus. Il s’agit d’une nouvelle forme d’ecstasy, en poudre, qui peut facilement être recoupée avec d’autres ingrédients hallucinogènes, potentiellement mortels.

Les autorités sont plus alertes depuis le retour de décès en lien avec la surdose d’ecstasy, et demandent aux parents d’en faire de même.

Catégories
Potins

CeeLo Green ne sera pas condamné pour agression sexuelle

Le chanteur CeeLo Green, dont le vrai nom Thomas DeCarlo Callaway, 39 ans, avait été accusé d’agression sexuelle l’an dernier. Non seulement avait-il nié les faits, mais il avait encouragé le service de police à pousser l’enquête plus loin.

La police du comté de Los Angeles a dû se rendre à l’évidence : l’histoire de la présumée victime était houleuse. Elle affirmait notamment fréquenter CeeLo depuis quelques mois et avait apparemment déjà eu des relations intimes avec le chanteur.

Elle a accusé Green d’avoir glissé de l’ecstasy dans son verre, alors qu’ils étaient dans un restaurant de sushis. Selon son témoignage, elle a repris connaissance alors qu’elle était nue dans le lit de la star.

Selon TMZ, l’enquête a pris fin, faute de preuves. Mais CeeLo Green sera tout de même accusé d’avoir fourni de la drogue. Comme il s’agit d’une première offense, le chanteur s’en sortira sans doute avec une simple probation.

Le juge de l’émission The Voice a déjà été marié à Christina Johnson, jusqu’en 2005. Il sera sans doute heureux d’expliquer à son fils, Kingston, 14 ans, que les accusations portées contre lui étaient fausses.

Catégories
Potins

15 000 $ de drogue pour Lindsay Lohan

Un trafiquant de drogue appelé David « DJ » Joseph aurait révélé au magazine Star qu’il ne croit pas que la désintoxication de l’actrice changera grand-chose.

Bien qu’il ne semble pas considérer que Lindsay Lohan n’avait pas d’autre choix pour échapper à la prison, il dit : « Lindsay a encore envie de faire la fête. Elle croit que d’aller dans ce centre va lui sauver la face auprès du public ».

Lohan aurait dépensé entre 10 000 et 15 000 $ en cocaïne et en ecstasy. DJ dit même avoir eu à arrêter d’en vendre à la sa cliente, car elle n’arrivait pas à contrôler sa consommation. C’est sans compter le médicament Adderall dont elle a tant de difficulté à se défaire.

Visiblement inconscient de l’impact du marché dans lequel il se trouve, le revendeur affirme : « Lindsay ne faisait pas attention à ce qu’elle prenait, donc j’ai tourné les talons. J’avais peur qu’elle prenne de la cocaïne en plus de pilules et qu’elle en meure. Mon travail ne consiste pas à aider les gens à se tuer ».

Bref, souhaitons que cet homme ait tort et que Lohan ressorte de sa désintox avec une nouvelle vision de la vie et avec de nouvelles priorités plus constructives.

Catégories
Potins

15 000 $ de drogue pour Lindsay Lohan

Un trafiquant de drogue appelé David « DJ » Joseph aurait révélé au magazine Star qu’il ne croit pas que la désintoxication de l’actrice changera grand-chose.

Bien qu’il ne semble pas considérer que Lindsay Lohan n’avait pas d’autre choix pour échapper à la prison, il dit : « Lindsay a encore envie de faire la fête. Elle croit que d’aller dans ce centre va lui sauver la face auprès du public ».

Lohan aurait dépensé entre 10 000 et 15 000 $ en cocaïne et en ecstasy. DJ dit même avoir eu à arrêter d’en vendre à la sa cliente, car elle n’arrivait pas à contrôler sa consommation. C’est sans compter le médicament Adderall dont elle a tant de difficulté à se défaire.

Visiblement inconscient de l’impact du marché dans lequel il se trouve, le revendeur affirme : « Lindsay ne faisait pas attention à ce qu’elle prenait, donc j’ai tourné les talons. J’avais peur qu’elle prenne de la cocaïne en plus de pilules et qu’elle en meure. Mon travail ne consiste pas à aider les gens à se tuer ».

Bref, souhaitons que cet homme ait tort et que Lohan ressorte de sa désintox avec une nouvelle vision de la vie et avec de nouvelles priorités plus constructives.

Catégories
Uncategorized

L’ecstasy et le speed liés à la dépression chez les adolescents

Une étude réalisée à l’Université de Montréal pendant cinq ans démontre que l’ecstasy (MDMA) et le speed (méthamphétamine) seraient liés à un risque accru de dépression chez les adolescents.
 
Selon l’étude, les jeunes de 15 et 16 ans qui ont consommé une de ces drogues sont près de deux fois plus susceptibles de souffrir d’une dépression l’année suivante.
 
« Nous concluons que l’utilisation récréative de MDMA et de méthamphétamine augmente le risque que les étudiants du secondaire développent des symptômes de dépression », mentionne à Radio-Canada Frédéric N. Brière, du Groupe de recherche sur les environnements scolaires.
 
Des études plus poussées sont nécessaires, car il est impossible pour le moment d’exclure des effets de combinaisons de drogues et difficile également de connaître la composition exacte des pilules consommées.
 
Des recherches supplémentaires doivent donc être faites pour apporter ces réponses ainsi que favoriser une meilleure compréhension de la différence des effets sur les adolescents et les adultes.
 
Catégories
Uncategorized

Ecstasy : les effets nocifs chez les nourrissons

La recherche a été menée par la Case Western Reserve University School of Medicine, en collaboration avec l’University of East London et la Swansea University au Royaumne-Uni. Elle montre, pour la première fois, les effets de l’ecstasy sur le développement fœtal et infantile.

Cette étude internationale, publiée dans Neurotoxicology and Teratology, démontre que la consommation d’ecstasy chez les femmes enceintes, qui est un stimulant et un hallucinogène, affecte la signalisation chimique qui détermine le sexe d’un bébé et contribue à des retards de développement.
 
Les chercheurs ont notamment décelé une prépondérance des naissances masculines chez les femmes qui ont utilisé l’ecstasy pendant leur grossesse.
 
L’ecstasy peut épuiser le niveau de sérotonine, un neurotransmetteur qui est important pour de nombreuses fonctions cérébrales, a expliqué l’un des chercheurs.
 
La sérotonine régit, entre autres, l’humeur, le sommeil et l’anxiété. Elle joue un double rôle d’hormone et de neuromédiateur du système nerveux central.
 
Au début du développement du fœtus, la sérotonine exerce un rôle vital dans la formation du cerveau. Si le niveau de la sérotonine est altéré, le bébé peut avoir des effets négatifs à long terme sur l’apprentissage et la mémoire.

L’étude a été financée par le National Institute on Drug Abuse. Les chercheurs espèrent obtenir des fonds supplémentaires pour poursuivre leurs recherches.

Catégories
Uncategorized

De l’ecstasy contre le cancer

Une équipe de l’University of Birmingham a découvert qu’une forme modifiée d’ecstasy était particulièrement efficace pour vaincre le cancer.

 

Ce procédé serait 100 fois plus efficace pour détruire les cellules cancéreuses, rapporte le journal Investigational News Drug.

Déjà, il y a six ans, les chercheurs avaient constaté que les psychotropes pouvaient freiner la croissance des cellules, mais à ce moment, la dose d’ecstasy nécessaire était beaucoup trop forte pour obtenir de tels résultats et pouvait être mortelle.

Mais les nouvelles recherches ont permis de trouver une forme modifiée, dont une plus faible dose est encore plus efficace contre la maladie.

Les premiers résultats démontrent un potentiel contre la leucémie, les lymphomes et les myélomes.

« Nous ne voulons pas donner de faux espoirs aux gens, mais les résultats de notre recherche offrent un potentiel pour améliorer les traitements dans les années qui viennent », indique le professeur John Gordon.

Catégories
Uncategorized

L’ecstasy provoquerait d’importantes pertes de mémoire

La prise à long terme d’ecstasy provoquerait une importante perte de mémoire chez les utilisateurs, rapporte le British Medical Journal.
Des experts du Centre de recherche de l’Université d’Amsterdam ont passé au scanneur le cerveau d’utilisateurs d’ecstasy.
 
On a mesuré la taille du cerveau de 10 personnes ayant pris cette drogue, à raison de plus de 250 comprimés sur six ans et demi, et on a comparé les données avec le cerveau de sept personnes n’ayant jamais pris d’ecstasy.
 
Chez les utilisateurs d’ecstasy, on a remarqué un rétrécissement de 10 % de l’hippocampe, la région de la mémoire, comparativement au groupe témoin. Ce rétrécissement se constate souvent chez des personnes ayant la maladie d’Alzheimer.
 
Les études doivent maintenant se poursuivre sur un plus grand nombre de personnes.
 
Le professeur David Nutt, autrefois conseiller du gouvernement, a rejeté cette étude justement en raison du nombre réduit de participants. Rappelons toutefois que le Pr Nutt a été congédié après avoir dit, en 2009, que l’ecstasy, le LSD et le cannabis étaient moins dommageables que l’alcool et le tabac.
Catégories
Uncategorized

L’ecstasy pour traiter les traumatismes

Des chercheurs américains viennent de trouver un usage médical à l’ecstasy, ou plutôt à la molécule MDMA.
 
Selon ce que rapporte le Journal of Psychopharmacology, cela pourrait aider à soigner des personnes victimes de traumatismes.
 
20 personnes ont participé à des essais cliniques. Toutes souffraient de syndrome de stress post-traumatique (SSTP) et les traitements classiques n’avaient donné aucun résultat.
 
Parmi ce groupe, huit patients n’ont reçu qu’un placebo, mais parmi ceux qui ont reçu la MDMA, 83 % ont montré des signes de guérison. De plus, on n’a noté aucun effet secondaire.
 
En fait, cette molécule de l’ecstasy placerait la personne dans des conditions parfaites afin qu’elle puisse raconter ce qui l’a traumatisée sans se laisser envahir par les émotions. Cela est très utile, car pour toutes les thérapies ayant pour but de traiter les victimes de traumatismes, il faut que la personne se replonge dans les événements.
 
Le feu vert a maintenant été donné afin d’effectuer des tests avec un plus large échantillon constitué de vétérans de l’armée.