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Les bienfaits de l’adaptabilité chez les jeunes

Dans une société comportant un haut taux de décrochage comme la nôtre, cet article est fort intéressant. Les jeunes facilement adaptables seraient plus susceptibles de mieux participer en classe, d’aimer l’école davantage et d’avoir une meilleure estime de soi.

C’est ce que suggère une première étude du genre. À la suite de l’observation de 969 élèves australiens du secondaire provenant de neuf écoles différentes, les chercheurs de la Faculté de l’éducation et du travail social à l’Université de Sydney ont constaté combien la capacité de s’adapter à des situations et des conditions nouvelles et changeantes est essentielle pour leur bien-être.

L’auteur principal de l’étude, le professeur Andrew Martin, indique que les résultats, publiés dans le Journal of Educational Psychology, prouvent que la capacité à faire face à un monde en perpétuel changement est une aptitude essentielle pour les jeunes de demain.

« En identifiant les composantes de l’adaptabilité et de ses effets, nous sommes dans une bonne position pour aider les jeunes à faire face aux aléas de la vie. On peut leur enseigner à voir les choses différemment, comment modifier leur comportement et ajuster leurs émotions. Lorsque nous les aidons sur ce plan, nous développons leur adaptabilité, ainsi que leur futur », conclut le Pr Martin.

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Les bébés apprennent avant la naissance

Une intéressante recherche a été conduite en Finlande par l’Academy of Finland’s Finnish Centre of Excellence in Interdisciplinary Music Research ainsi que par l’unité de recherché cognitive de l’Institute of Behavioural Sciences de l’Université de Helsinki.

L’étude s’est concentrée sur 24 femmes enceintes. Durant le dernier trimestre de leur grossesse, la moitié d’entre elles ont fait jouer la mélodie de la populaire berceuse anglophone Twinkle Twinkle Little Star à raison de 5 fois par semaine à leur fœtus.

Une fois nés, les bébés ayant écouté la chanson avant d’être mis au monde ont fortement réagi à la mélodie, comparativement à ceux qui n’y avaient pas été exposés. Ceci a démontré qu’ils avaient reconnu les sons entendus à partir du ventre de leur mère. Analysés de nouveau à l’âge de 4 mois, ils se rappelaient toujours de l’air.

Ceci signifie qu’il est possible de commencer à apprendre avant même de venir au monde, et les spécialistes y voient une intéressante avenue concernant le développement de la parole.

« Même si nos recherches antérieures ont indiqué que les fœtus peuvent apprendre des détails mineurs de la parole, nous ne savions pas combien de temps ils pouvaient conserver les informations. Ces résultats montrent que les bébés sont capables d’apprendre à un très jeune âge, et que les effets de l’apprentissage restent apparents dans le cerveau pendant une longue période », commente Eino Partanen, qui termine sa thèse à l’Unité de recherche cognitive sur le cerveau.

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Améliorez la routine de sommeil de votre enfant

Alors que plusieurs parents éprouvent de la difficulté à faire dormir leurs petits, le site ParetingSquad offre des trucs pratiques et efficaces pour trouver un bon équilibre.

On conseille de commencer très tôt, c’est-à-dire, dès que le nourrisson fait ses nuits. On commence la routine bain-histoire-musique et moment calme avant le dodo.

Un point très important est d’être consistant dans la démarche pour ne pas dérégler bébé.

Éliminez plusieurs éléments de stress en planifiant les choses. Certaines tâches comme préparer le pyjama, avoir choisi le livre à lire ou avoir déjà mis la musique à jouer peuvent être faites avant d’amorcer la routine.

Un simple baiser sur le front ou une caresse feront l’affaire. Passer trop de temps à cajoler l’enfant dans son lit pourrait lui faire développer un besoin qu’il n’a pas, et ainsi compliquer la mise au lit.

Quand l’enfant vieillit, la routine reste, mais certains éléments changent. À l’âge préscolaire, ils aiment être impliqués dans les choix d’histoire, de pyjama, etc. Ils aiment aussi jouer dans le bain plus longtemps, et auront peut-être besoin de plus de temps pour se calmer avant d’aller dormir.

Quand vous verrez ces changements, n’hésitez pas à adapter la routine à leur développement naturel, mais n’oubliez pas, la constance sera toujours la clé.

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Bien construire l’estime de son enfant

Sur le site todaysparent.com, on explique intelligemment comment ne pas rater notre coup quand vient le temps d’aider nos jeunes à bâtir leur estime personnelle.

Nous voulons tous le mieux pour nos jeunes, et comme le manuel n’existe pas, plusieurs parents nuisent en pensant bien faire. Si vous êtes du genre à féliciter votre enfant dans absolument tout ce qu’il entreprend, bien fait ou pas, vous risquez de l’aliéner plutôt que de l’aider.

En agissant ainsi, le message envoyé est qu’il n’a pas à faire d’efforts particuliers pour être « super bon ». Le sentiment d’estime est lié à ceux de l’amour, de la sécurité et de la compétence. Malheureusement, la compétence ne s’acquiert pas avec des compliments.

Quand un enfant pratique quelque chose, il est préférable de lui rappeler que plus il fera d’efforts, plus il réussira et s’améliorera. Entre autres, il est conseillé de laisser les enfants prendre des risques et faire des choix. De plus, sans les rendre misérables, il est bon de les encourager à continuer et à finir leurs engagements, notamment dans les activités comme les sports.

Si votre enfant éprouve beaucoup de difficulté dans une activité, plutôt que de le laisser se sentir incapable, proposez-lui plutôt quelque chose qui se situe dans ses aptitudes.

Finalement, pour reprendre les mots d’Albert Einstein : « Tout le monde est un génie. Mais si vous jugez un poisson sur ses capacités à grimper à un arbre, il passera sa vie à croire qu’il est stupide ».

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Emmailloter les bébés peut être mauvais

Bien qu’il s’agisse là d’un truc vieux comme le monde, la technique d’emmaillotement serré pourrait empêcher le bon développement physique de bébé. C’est néanmoins ce que l’on apprend dans une nouvelle étude pouvant être lue sur le site Famili.fr.

Le fait est que, comme le mentionne Andreas Roposch, chirurgien orthopédiste de Londres qui déconseille cette pratique, « il existe effectivement des preuves que cet emmaillotement peut affecter le développement normal des hanches des nourrissons ».

Langer bébé de cette façon faciliterait son sommeil, apaiserait ses pleurs et même ses coliques, en recréant la chaleur rassurante qu’il a connue dans le ventre de sa mère, selon les parents. Mais il reste qu’envelopper ainsi le nourrisson l’empêche de gigoter et, donc, de bouger normalement les hanches et les jambes, soulignent les spécialistes.

Selon le professeur Nicholas Clarke, chirurgien pédiatre orthopédiste cité dans la revue pédiatrique britannique Archives of Disease in Childhood, les problèmes les plus communs y étant liés sont la luxation congénitale de la hanche, qui peut conduire à la nécessité d’une prothèse totale de la hanche à l’âge adulte.

Il serait donc recommandé de pratiquer l’emmaillotement moins serré afin de laisser libre cours aux membres des petits.

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Les troubles comportementaux et les gènes

Alors que nous avons tendance à pointer du doigt les parents pour le caractère de leurs enfants, il semblerait qu’ils soient en effet responsables, mais génétiquement.

Les chercheurs de l’Oregon State University ont conclu, à la suite d’une étude sur les troubles comportementaux, que certains enfants étaient génétiquement prédisposés à avoir plus de problèmes que d’autres, et qu’il faut cesser de présenter uniquement les erreurs parentales.

De plus, la socialisation en centre de la petite enfance n’y serait pour rien, malgré ce que certains parents semblent croire.

Les chercheurs ont recueilli des données à partir de 233 familles et ont constaté que les parents ayant un haut taux d’émotions négatives et une pauvre maîtrise de soi étaient plus susceptibles d’avoir des enfants luttant avec des problèmes de comportement. Le même lien a été fait chez les enfants adoptés et leurs parents biologiques, malgré que ces derniers ne les aient pas élevés.

Selon l’auteure principale de la recherche publiée dans l’International Journal of Behavioral Development, la Dre Shannon Lipscomb, « nous pouvons cesser de nous inquiéter à croire que tous les enfants vont développer des problèmes de comportement dans les établissements préscolaires, parce que c’est en effet un sujet de préoccupation. Certains enfants avec cette prédisposition génétique pourraient cependant être plus en mesure de gérer leur comportement dans un contexte comme le milieu familial ou dans un plus petit groupe ».

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L’insécurité alimentaire liée aux troubles de comportement

Une longue étude menée par les chercheurs de l’INSERM a démontré un lien plutôt direct entre la précarité alimentaire et certains problèmes comme la dépression, la difficulté de concentration, l’anxiété et l’hyperactivité chez l’enfant.

À noter que l’INSERM qualifie la précarité alimentaire d’« accès restreint, inadéquat ou incertain à des aliments sains et nutritifs » causé par « des difficultés financières ».

Malheureusement, ce serait plus de 10 % des Occidentaux qui seraient dans cette situation, ce qui est plutôt alarmant.

Pour l’étude, ce sont les données de 2120 enfants québécois qui ont été analysées en deux étapes. D’abord entre 18 mois et 4 ans et demi, puis à l’âge de 4 à 8 ans. Les enfants ayant vécu cette insécurité comptaient pour 5,9 % du groupe.

Le constat est que ces jeunes étaient 3 fois plus enclins à souffrir des troubles mentionnés plus haut. Les enfants se retrouvent souvent à consommer trop de sucre et de matières grasses, en plus d’une ration insuffisante de fer, entre autres.

Dans le rapport publié par la revue scientifique Plos One, il est mentionné : « L’incapacité des parents à s’occuper de façon régulière et satisfaisante de l’alimentation de la famille pourrait fragiliser le lien parents-enfants dans la petite enfance, avec des effets sur le développement des enfants à long terme ».

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Le chocolat est bon pour les enfants

Ce sont les petits qui seront heureux! En effet, tant que l’on comprend bien la différence entre le bon et le mauvais chocolat, le premier devrait faire partie de l’alimentation de nos enfants autant que de la nôtre.

Plus le pourcentage de cacao est élevé, mieux c’est (65 à 95 % de cacao). Selon le nutritionniste Hervé Robert, « le chocolat est un aliment énergétique aux apports nutritionnels intéressants pour les enfants ».

Sur Famili.fr., il est expliqué qu’il en est ainsi à cause de ses propriétés antioxydantes et de sa teneur en magnésium, potassium, fer, phosphore, de vitamines PP, B2, B9 et des substances toniques et stimulantes comme la théobromine, la caféine, les cannabinoïdes et la phényléthylamine.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, il permet aussi de lutter contre le stress, la fatigue, les maladies cardiovasculaires, le diabète et certains cancers.

Fait encore plus surprenant, la poudre de cacao possède un effet anticariogène dû à la présence de tanins, de fluor et de phosphates, le tout aidant à prévenir la carie!

Pour les enfants, il est recommandé d’attendre l’âge de 2 ou 3 ans avant de donner du chocolat en morceau, et une dose de 50 g par jour semble être la quantité maximum.

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Sclérose en plaques : S’en protéger par l’éducation

Une récente étude italienne publiée dans la revue Restorative Neurology and Neuroscience nous fait part d’un intéressant facteur pouvant contribuer à la minimisation des déficits cognitifs chez les patients de sclérose en plaques (SEP).

Des tests cognitifs ont été effectués sur 50 patients atteints de SEP et un groupe de 157 personnes non atteintes. Les résultats ont clairement démontré que les individus souffrant de SEP ayant un niveau d’éducation supérieur semblaient « protégés » contre les troubles cognitifs associés à la maladie. Ceux ayant reçu une éducation limitée démontraient un score beaucoup moins élevé.

Importante constatation, la réussite professionnelle et la fatigue n’ont démontré aucun impact sur la sévérité des déficits.

Le rôle de la fatigue a en effet aussi été évalué, car il était suggéré qu’elle avait un effet négatif sur les performances cognitives, qui ont été évaluées grâce à l’échelle PASAT (Paced Auditory Serial Addition Test), utilisée afin de détecter les déficits des patients de SEP.

Le compte-rendu final de la recherche est cité comme suit : « Une éducation limitée est donc un facteur de risque de déficience cognitive chez les personnes atteintes de maladies neurologiques telles que la SEP, alors qu’un niveau d’éducation élevé peut tout à fait être considéré comme un facteur de protection contre les troubles cognitifs associés à la maladie ».

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La première année de vie de bébé

Vous ne dormirez plus et vous serez parfois submergé par les tâches à accomplir, surtout s’il s’agit de votre premier enfant. Ça, vous le savez déjà. Pour le reste, le site de FemaleFirst arrive à la rescousse avec quelques trucs forts simples pour vous aider à passer à travers.

Faites un budget. Un enfant, ça coûte cher! Il est donc essentiel d’ajuster votre budget à votre nouvelle réalité.

Évitez le neuf. À moins que ce soit très important comme un siège de voiture, qui doit être parfaitement ajusté à votre voiture en plus de bébé, considérer les choses de seconde main pourrait vous faire économiser une fortune.

Achetez en gros. Vous avez des amies qui sont aussi nouvelles mamans? Magasinez ensemble et partagez l’achat d’articles en gros. Encore des économies!

Si vous ressentez des symptômes de dépression, voyez-y dès que possible avec votre médecin. De plus, se faire des copines mamans pourrait vous faire le plus grand bien. Partager ses expériences avec d’autres qui les vivent aussi vous aidera à mieux les gérer.

Finalement, dès que vous avez trop de quelque chose, comme des vêtements de bébé par exemple, vendez-les! Ou encore, organisez une journée d’échanges avec les copines mamans.