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Nick Lachey ne veut pas de Los Angeles pour son fils

Nick Lachey, célèbre membre de 98 Degrees et ex de Jessica Simpson, dévoile ses plans concernant l’éducation de son fils de sept mois Camden, né de son union avec Vanessa Minnillo.

Pour Lachey, pas question d’élever son fils à Los Angeles, et encore moins à Hollywood. En fait, le chanteur de 39 ans préfère retourner dans le Midwest américain, en Ohio plus précisément, afin d’offrir un environnement digne de ce nom à son enfant.

Le chanteur, originaire de Cincinnati, explique sa vision : « J’ai adoré grandir à Cincinnati, d’où je viens. Mon frère est là, ses enfants sont là, mes parents sont là. Je valorise vraiment l’impact de la famille sur le développement d’un enfant. Je veux que Camden et nos futurs enfants soient près de leurs cousins et de leurs grands-parents. Je veux lui donner l’enfance la plus normale possible ».

Vanessa Minnillo, sa conjointe et la mère de Camden, serait tout à fait d’accord avec ce raisonnement.

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Le projet scientifique de will.i.am pour les jeunes

will.i.am affirme qu’il désire lancer un nouveau projet aussi audacieux qu’altruiste, rapporte Music-News.

En effet, le célèbre chanteur et producteur souhaite venir en aide aux enfants qui désirent en apprendre davantage sur les sciences et les technologies, par le biais d’un projet qui leur permettra de construire des automobiles.

« J’ai construit une voiture pour un projet que je fais dans le cœur des villes. Je réunis un tas de gens qui sont qualifiés pour enseigner les sciences, la technologie, la mécanique et les mathématiques aux enfants. Puis, au fil de l’apprentissage, ils construisent des véhicules », explique un will.i.am enthousiaste.

La superstar conduit ensuite les œuvres mobiles de ces enfants, comme on a pu le voir faire récemment à Los Angeles.

Il dit vouloir inspirer la jeune génération et transmettre sa passion pour la science. Un geste qui l’honore.

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Les enfants en apprennent souvent à leurs parents sur l’environnement

Des chercheurs se sont attardés à l’éducation environnementale dans le contexte particulier des îles Seychelles, où la protection de l’environnement est une tradition extrêmement importante et très forte.

15 clubs de « protection de la nature », qui apprennent aux enfants à prendre soin de leur environnement à travers le système scolaire, ont participé à la recherche.

Les enfants impliqués dans ces clubs, ainsi que leurs parents, ont rempli des questionnaires sur leurs connaissances des milieux humides, par exemple les espèces qui y vivent et les menaces qui les affectent. Les parents ont également répondu à des questions portant sur la conservation de l’eau et sur leur niveau de conscience face à de possibles pénuries.

Les chercheurs ont prouvé que la participation des enfants aux activités d’un club augmentait non seulement les connaissances de leurs parents, mais affectait également leur comportement : les parents étaient par exemple beaucoup plus susceptibles de faire des efforts pour conserver l’eau si leur enfant était membre d’un de ces clubs.

Les résultats de l’étude ont été publiés dans le journal Environmental Research Letters.

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George Lucas veut donner tous ses profits à une bonne cause

Le porte-parole de Lucasfilm a mentionné à THR que la fondation choisie par George Lucas n’est pas encore déterminée, mais elle visera l’amélioration de l’éducation. Le montant total qui ira à la cause n’a pas encore été dévoilé.

Il affirme cependant que Lucas compte donner « la majorité de ses gains » à cette œuvre de charité.

En ce moment, Lucas est le président d’Edutopia, qui fait partie de la Georges Lucas Educational Foundation. Il pourrait donc y verser la somme, ou créer une nouvelle fondation.

Rappelons qu’en 2006, le cinéaste avait fait don de 175 millions $ pour l’éducation, en plus d’effectuer d’autres dons, notamment pour la Film Foundation, Stand Up to Cancer et la fondation Make-A-Wish.

Le richissime artiste a déclaré, selon hollywoodreporter.com : « Pendant 41 ans, la majorité de mon temps et de mon argent a été investi dans ma compagnie. Puisque j’entame un nouveau chapitre de ma vie, il est gratifiant d’avoir l’occasion de dévouer mon temps et mes ressources à des causes philanthropiques ».

Le porte-parole de Lucas a également expliqué les valeurs personnelles de Lucas quant à l’éducation. « […] Nous devons prévoir notre futur collectif, et la première étape consiste en un engagement social, émotionnel et intellectuel envers nos enfants. »

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Situation pré-immigration : impact important sur les enfants immigrés

Ce sont les conclusions auxquelles sont parvenus les chercheurs à la Pennsylvania State University. Les résultats se retrouvent dans la section Spécial immigration de la revue Child Developpement, édition septembre/octobre 2012.

Selon eurekalert.org, les critères évalués font partie du New Immigrant Survey (États-Unis), qui a été soumis à plus de 2100 enfants âgés de 6 à 12 ans. Les parents faisaient également partie du sondage.

Les données relevées différaient d’un groupe d’immigrants à l’autre, selon la provenance, notamment. L’éducation des parents, la profession et le statut d’emploi étaient les principales caractéristiques analysées. De plus, le niveau de stimulation cognitif avec l’enfant et le niveau de connaissance préalable de la langue du pays d’adoption contribuaient également aux résultats.

En résumé, les familles ayant un bon statut social, une bonne éducation et un revenu substantiel avant l’immigration se retrouvent défavorisées en regard des ressources du nouveau pays. Les emplois leur sont moins favorables.

Au contraire, les familles de parents peu scolarisés ou sans emploi se retrouvent dans un environnement où l’emploi est plus facile et les ressources plus avantageuses. Ainsi, les enfants de ces familles, même après la seconde génération d’immigrants, sont favorisés dans leur réussite et leurs réalisations sociales.

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Éducation : les parents devraient prêcher par l’exemple

Afin d’inculquer vos bonnes qualités et votre savoir-faire à votre enfant, vous devriez d’abord l’inclure dans vos tâches quotidiennes et activités.

Si cela peut prendre plus de temps pour exécuter vos tâches quotidiennes avec votre enfant que seul, dites-vous que ce n’est pas du temps perdu.

« Il absorbe les valeurs importantes comme la responsabilité, prendre soin des autres et apprendre qu’en famille, on participe et on travaille ensemble », explique l’auteure Michele Borba.

Aussi, servez-vous des enfants de vos amis comme modèles. Si le fils de votre copine mange ses brocolis, contrairement au vôtre, il pourra l’influencer.

De plus, si votre enfant écoute la télévision, regardez ce qu’il écoute afin de ne pas avoir de mauvaises surprises. L’enfant pourrait ne pas saisir le message et faire ce que le vilain de l’émission fait ou dit, alors qu’il aurait dû comprendre de ne pas le faire.

Finalement, souvenez-vous que les mots que vous dites ne tombent pas dans l’oreille d’un sourd. Les beaux mots comme les jurons peuvent être retenus par votre enfant.

Rappelons que dès que les enfants savent parler, certains commencent à utiliser des jurons. Bien qu’ils ne sachent pas vraiment ce que signifient ces blasphèmes, ils répètent les mots qu’ils entendent.

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Accouchement : les femmes éduquées meurent moins

Une analyse scientifique du Chili, qui a accumulé pendant 50 ans les données concernant la mortalité chez les mères, a conclu que les femmes qui ont une certaine éducation réduisent leurs risques de mourir pendant la grossesse ou à l’accouchement.

En effet, ces dernières seraient plus portées à se renseigner, à pratiquer de saines habitudes de vie, à accéder à des ressources de santé et à faire affaire avec des médecins ou des sages-femmes reconnus, dévoile la recherche publiée dans la revue PLoS ONE.

C’est en se basant sur les données recueillies entre 1957 et 2007 au Chili que les chercheurs se sont aperçus que le niveau d’éducation pouvait avoir un meilleur impact sur le taux de survie des mères, comparativement à d’autres facteurs susceptibles d’affecter la mortalité maternelle, comme le revenu par habitant, le nombre de grossesses de la femme, l’approvisionnement en eau propre, etc.

Les chercheurs ont tenté de démontrer que l’éducation est le modulateur majeur qui a permis au Chili d’atteindre une position parmi les pays les plus sûrs pour la maternité, avec le Canada et les États-Unis.

L’éducation contribue également à diminuer le nombre de grossesses non désirées à un jeune âge, tout comme à éviter que les femmes attendent trop tard pour la maternité et courent de graves risques, selon les experts.

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Les parents doivent s’entendre sur leur façon d’éduquer les enfants

Pour bien évoluer, les enfants ont besoin de routine et de structure. Constamment, ils testent les limites des adultes.

Il semblerait que lorsque les mères sont plus permissives et les pères plus autoritaires, les petits ont tendance à mal se conduire (crise de colère, non-partage des jouets, etc.). Dans aux familles où le père fait surtout preuve d’une attitude ferme, mais juste et amicale, les enfants ont tendance à afficher une attitude plus positive.

Les chercheuses Christina Rinaldi de l’Université de l’Alberta et Nina Howe de l’Université Concordia à Montréal précisent que tous les êtres humains sont différents.

Il est normal que le comportement diffère selon l’humeur des parents, ou encore que l’agissement ne soit pas le même pour chaque enfant d’une famille.

« Certains enfants nécessitent une attention un peu plus que d’autres, et cela déroute plus d’un parent », explique Mme Rinaldi.

Le parent doit s’adapter dans sa manière d’éduquer. Selon la spécialiste, il ne faudrait pas s’inquiéter à savoir si l’enfant dira un jour qu’il s’est senti moins aimé qu’un autre parce qu’il devait faire face à une plus grande autorité.

Elle précise au site Science Daily qu’il y a plusieurs façons d’être un parent efficace, mais ceux qui s’entendent pour partager des traits autoritaires sans être trop stricts, qui sont clairs et précis avec leur progéniture et qui fournissent une structure de vie aimante et attentionnée connaissent plus de succès.

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Harry Potter fait des enfants créatifs

Les parents qui se sentent coupables de laisser leurs jeunes enfants regarder trop de films fantastiques peuvent se détendre.

Harry Potter, Nounou McPhee, Les Chroniques de Narnia, les films animés de Walt Disney et tous les autres films provenant d’un monde imaginaire où les personnages comme le Père Noël et la fée des dents ne sont pas une perte de temps et irréalistes, sont un moyen pour votre enfant de s’éduquer, de faire face à la réalité et de développer sa créativité.

C’est ce que pensent des chercheurs de l’Université de Lancaster au Royaume-Uni qui, pour la première fois, ont tenté de voir s’il y a des avantages éducatifs à exposer les enfants à du contenu magique. En d’autres termes, y a-t-il un lien entre la pensée magique et la créativité chez les enfants d’âge préscolaire?

Des tests de créativité ont été présentés à 52 enfants de 4 à 6 ans qui ont été divisés en deux groupes. Le premier a regardé 15 minutes du film Harry Potter à l’école des sorciers, tandis que l’autre a visionné 15 minutes du même film, mais des scènes sans contenu magique.

Il s’est avéré que le groupe qui a regardé des scènes de magie a mieux réussi les tests portant sur trois domaines distincts que l’autre groupe. Mentionnons d’ailleurs que la majorité des enfants de cet âge croient que la magie fait partie de la vie quotidienne.

Il est maintenant prouvé que les films de ce genre à la pensée magique (animaux qui parlent, sorciers qui volent sur un balai, etc.) donnent la capacité à l’enfant de renforcer sa vision du monde réel et lui permet de se construire un monde alternatif, affirment les chercheurs.

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Accouchement : les femmes font-elles vraiment ce qu’elles veulent?

Une étude néerlandaise parue dans le Journal of Psychosomatic Obstetrics & Gynecology révèle des critères étonnants qui font en sorte qu’une femme peut ou non accoucher dans la position qu’elle souhaite.
 
Selon les données qui ont été recueillies auprès de 1154 femmes aux Pays-Bas, toutes celles qui ont voulu donner la vie en étant couchées sur le dos (59 %) ont pu le faire. Toutefois, la demande de celles qui voulaient le faire debout ou en position accroupie (20 %) n’a pas été acceptée dans tous les cas, et les autres futures mères (21,5 %) n’avaient pas de préférence pour la position adoptée le jour J.
 
Ce qui influencerait le choix de la sage-femme ou du médecin à accepter la position désirée? La durée du travail de la deuxième étape de l’accouchement, le niveau de l’éducation de la femme et si elle donne naissance à la maison ou en milieu hospitalier.
 
En résumé, les auteurs de l’étude expliquent que si la femme désire accoucher dans une position autre que couchée sur le dos, ceci ne semble être accordé que si le travail dure trop longtemps et que cela oblige à tester des positions différentes.
 
De plus, les femmes qui accouchent à domicile semblent plus libres de réaliser ce qu’elles désirent. Si elles veulent donner la vie en milieu hospitalier de façon accroupie ou debout, les futures mères doivent convaincre le médecin avec de bons arguments et s’être documentées à l’avance pour fournir des propos justifiables. Cela expliquerait pourquoi le niveau d’éducation entre en ligne de compte dans les critères plutôt étonnants de cette étude.