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La tablette mobile divertit et éduque votre enfant

Une nouvelle étude réalisée par l’institut de recherche Nielsen démontre qu’il y a de plus en plus d’enfants de moins de 11 ans qui utilisent une tablette numérique. Les enfants téléchargent des jeux et s’amusent surtout lors de voyages. D’ailleurs, plus de la moitié des parents ont affirmé se servir de la tablette comme divertissement numéro un en voyage.

Deux parents sur cinq interrogés ont notamment avoué recourir régulièrement aux tablettes numériques lorsqu’ils ne sont pas à la maison pour que leurs enfants demeurent sages et calmes.

Si le divertissement et l’évasion semblent arriver en tête des fonctions qu’a la tablette numérique auprès des enfants, sachez que la fonction éducative est très populaire et suit de près.

« 77 % des personnes interrogées ont affirmé que leurs enfants jouent à des jeux téléchargés sur leur tablette, et 57 % ont déclaré qu’ils s’en servent également pour accéder à des applications éducatives », fait remarquer Nielsen.

L’éducation passe énormément par les médias, films et programmes télévisés qui peuvent être présentés sur la tablette. En effet, 43 % des parents admettent l’utilisation de l’appareil à ces fins.

En 2012, il faut se rendre à l’évidence, la tablette numérique n’est pas qu’un joujou ou outil de travail pour adultes. De plus en plus d’écoles passent d’ailleurs à l’ère de la technologie en remplaçant les lourds manuels papier par ces légers appareils tactiles.

Selon les derniers chiffres, sept enfants sur dix vivant dans un foyer possédant une tablette numérique ont la permission d’utiliser l’appareil mobile, rapporte Relax News.

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Quand le comportement des parents fait des enfants délinquants

Une nouvelle étude de l’Université du New Hampshire, publiée dans le Journal of Adolescence, a déterminé les perceptions des enfants quant à trois styles d’éducation parentale.

L’analyse révèle que les parents autoritaires, contrôleurs et peu réceptifs, qui éduquent les enfants dans l’optique « c’est comme ça ou ce n’est rien du tout », sont plus susceptibles d’élever des enfants irrespectueux. Les jeunes seront portés à se tourner vers la délinquance pour défier un parent trop sûr de lui et peu légitime.

Toutefois, les parents qui sont autoritaires et qui jouent un rôle de médiateurs, ne disant pas toujours oui ni toujours non, qui écoutent plutôt leurs enfants, communiquent et gagnent leur respect et leur confiance ont de meilleures chances d’avoir de « bons » gamins. Il semblerait que ces enfants ressentent une obligation de faire ce que leurs parents leur disent de faire.

Il s’agit du juste milieu entre l’autorité à « sens unique » et le système de récompenses et de punitions surutilisé par les parents qui font souvent du chantage pour acheter la paix ou arriver à leurs fins, ou encore qui donnent le feu vert à n’importe quoi. Dans cette situation, l’enfant tentera souvent de pousser continuellement, afin de savoir si le parent aura une limite

Selon les chercheurs, les résultats montrent que la promotion et la création de la légitimité des parents est une technique pour les adultes d’exercer un contrôle sur leurs enfants. En outre, les parents sont plus susceptibles d’être considérés comme des autorités légitimes s’ils utilisent des pratiques parentales autoritaires plutôt que les pratiques autoritaires extrêmes ou permissives, qui tendent à saper l’autorité parentale.

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Quand l’éducation rime avec dépression

Selon Amélie Quesnel-Vallée, sociologue médicale à l’Université McGill, et Miles Taylor, professeur adjoint au Département de sociologie de la Florida State University, l’éducation des parents peut influencer le développement de problèmes de santé mentale chez les enfants lorsqu’ils deviennent adultes.

Des données d’une enquête longitudinale et nationale qui a duré 29 ans ont permis aux chercheurs d’examiner les liens entre le niveau d’éducation des parents pour leurs enfants, le revenu des ménages et les symptômes dépressifs.

Une éducation parentale plus élevée signifie moins de problèmes de santé mentale chez les enfants, une fois devenus adultes. Il semblerait même que les parents les plus instruits ont tendance à avoir des enfants avec plus d’éducation et qui occuperont des emplois mieux rémunérés, disent les experts.

Selon eux, cela signifie que le fait qu’un enfant devenu adulte grimpe dans l’échelle sociale est intimement lié à la manière dont il a été éduqué.

Ces résultats suggèrent donc que les politiques visant à accroître les possibilités d’éducation pour tous, indépendamment du milieu social, peuvent aider à briser le cycle intergénérationnel du faible statut socioéconomique et de la mauvaise santé mentale.

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Quand les enfants commencent-ils à avoir des préjugés?

Selon les spécialistes, les préjugés font partie intégrante de la formation normale d’une personnalité. Ils sont cultivés pendant la petite enfance par tout un chacun et sont influencés par le milieu social, souvent par les parents au départ.

Avec l’âge et selon son éducation et son environnement, l’enfant aura de moins en moins de préjugés.

Le préjudice devient un problème lorsque l’enfant n’est pas éduqué et que les préjugés font place à la discrimination, voire la haine. À un certain âge, la situation de xénophobie, de racisme ou de misogynie peut devenir irréversible.

Déjà vers l’âge de trois ou quatre ans, leur identité se crée. Les enfants disent préférer jouer avec une personne du même sexe ou de la même nationalité qu’eux, confirme le Dr Andreas Beelmann de l’Université Friedrich Schiller d’Iéna, en Allemagne.

Entre cinq et sept ans, ce serait le moment idéal pour ouvrir l’horizon des enfants, les encourager à la tolérance envers autrui et les éduquer quant aux différences, résument des études scientifiques sur ce sujet publiées dans la revue Child.

Les préjugés diminuent fortement, durant le passage à l’école primaire, lorsque les enfants sont enfin en contact avec d’autres personnes que l’entourage direct ou encore lorsqu’ils sont en contact avec un monde imaginaire, tels que des livres ou des émissions qui leur permettent de voir, par exemple, des enfants d’une autre nationalité.

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L’affection d’une mère favorise la santé des enfants

Une étude récente de l’Université de la Californie, publiée dans la revue Psychological Science, révèle que bien des enfants qui sont élevés dans des familles à faible statut socioéconomique (SSE) sont plus aptes à développer des maladies chroniques à l’âge adulte. Par contre, une minorité appréciable reste en bonne santé tout au long de leur vie.

La recherche a étudié si l’affection parentale peut atténuer les facteurs socioéconomiques durant l’enfance.

C’est dans le but de favoriser les relations saines et d’éduquer les parents vulnérables à faire preuve de gestes gratuits et être bons pour leurs enfants que l’étude a été élaborée.

Les contraintes de l’enfance, comme la pauvreté et le manque d’éducation des parents, peuvent laisser un résidu biologique qui apparaît dans la quarantaine, confirment les spécialistes. Cependant, il semblerait que les enfants qui n’ont pas manqué d’amour, de soins et d’attention de la part de leur mère ont eu moins de chances d’avoir un diagnostic du syndrome métabolique, qui est un précurseur de la maladie coronarienne, du diabète de type 2 et des accidents vasculaires cérébraux.

L’étude se poursuivra, puisque celle-ci a examiné 1205 personnes qui sont nées à la fin des années 70, une époque où les pères étant moins présents dans les relations interpersonnelles. Pour le moment, rien n’indique que le rôle du père aimant a eu une influence sur la santé des enfants devenus grands.

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Une éducation intensive et précoce donne des adultes mieux accomplis

Le projet Abecedarian a été une étude de l’Université de la Caroline du Nord à Chapel Hill qui a duré 30 ans.

De la naissance à l’âge adulte, un groupe de participants a été examiné par des scientifiques qui se sont penchés sur les avantages potentiels que pouvait avoir l’éducation pendant la petite enfance pour les enfants de familles à faible revenu qui étaient à risque de retards de développement ou d’échec scolaire. Ce processus a généré un ensemble complet et rare de données longitudinales.

De la naissance jusqu’à leur entrée à la maternelle, les participants ont fréquenté à temps plein une garderie éducative qui visait à soutenir le développement du langage et le développement cognitif, social et affectif.

Selon la dernière étude, les participants du projet Abecedarian avaient beaucoup plus d’années de scolarité que leurs pairs qui faisaient partie d’un groupe de contrôle. Ils étaient aussi quatre fois plus susceptibles d’obtenir des diplômes collégiaux ou universitaires que les autres.

Les participants étaient également plus nombreux à travailler à temps plein (75 % contre 53 %) avaient moins recours à l’assistance publique.

En plus d’avoir majoritairement un revenu plus élevé, ils ont également montré une tendance à retarder la parentalité par près de deux ans, comparativement au groupe témoin.

Les résultats de l’étude ont été publiés en ligne dans la revue Psychology Developmental.

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Obésité infantile : la malbouffe dans les écoles n’y est pour rien

Bien que le pourcentage d’enfants obèses aux États-Unis ait triplé entre le début des années 70 et la fin des années 2000, une nouvelle étude révèle que le gain de poids n’a aucun lien avec la malbouffe offerte à l’école.

Jennifer Van Hook, professeure en sociologie et démographie à la Pennsylvania State University et auteure de cette étude, s’est dite surprise de ce résultat.

Son étude a suivi un échantillon national représentatif d’élèves de la maternelle à la huitième année. Elle a remarqué que malgré la disponibilité accrue de la malbouffe en milieu scolaire, le pourcentage d’élèves qui étaient en surpoids ou obèses n’a pas augmenté, mais même diminué entre la cinquième et la huitième année, passant de 39,1 % à 35,4 %.

Van Hook explique que les écoles ne représentent qu’une petite partie de l’alimentation des jeunes, et leur horaire chargé fait qu’ils ne peuvent pas manger à tout moment de la journée. Le réel danger se situe beaucoup plus à la maison, selon elle.

La professeure rappelle que pour lutter contre l’obésité, il faut inculquer de bonnes et saines habitudes alimentaires lorsque l’enfant a moins de 5 ans. Si les enfants ont pris de bonnes habitudes, la sorte de nourriture offerte dans les écoles n’influencera aucunement le comportement de ces derniers.

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Divorce : un couple sur 2 revient devant le tribunal

Depuis 2009, près d’un couple sur deux est retourné devant le juge pour obtenir une décision juridique liée à un litige d’après séparation. Le conflit principal qui oppose les anciens amants : l’éducation de leurs enfants.

Au cours des dernières années, certains avocats ont vu des cas beaucoup plus graves ou encore beaucoup plus loufoques que des problèmes de garde alternée ou de pension alimentaire.

L’avocate Béatrice Uzan a affirmé aux journalistes d’Europe 1 avoir déjà vu l’un de ses clients se battre à la cour pour que son fils puisse s’inscrire au rugby. La mère refusait, sous motif que l’enfant était trop fragile.

Des avocats ont même déjà vu des parents avoir recours à la justice, car ils n’arrivaient pas à s’entendre à savoir si leurs enfants se feraient vacciner ou non.

C’est vraiment dire qu’ils achètent la paix, ces parents…

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Le rire est le sel des bons parents

Il ne faudrait jamais sous-estimer le rire et le plaisir dans l’éducation de nos enfants. Une étude de l’Economic and Social Research Council (ESRC) soutient que cela équipe les enfants de compétences qu’ils emploieront durant toute leur vie, lit-on sur Medical News Today.

Lorsqu’un parent s’amuse avec son bébé de 15 à 24 mois, il lui expose la différence entre plaisanter et faire semblant. L’enfant peut ainsi commencer à comprendre ce qui distingue ces deux concepts, soit de faire quelque chose pour le plaisir et de faire quelque chose par imitation.

De plus, la voix du parent se révèle un excellent indicateur pour l’enfant. En écoutant différentes tonalités, des sons et des signes verbaux, le bébé comprend la situation.

Il semble, d’autre part, que la majorité des gens agit ainsi avec son enfant. Même si tous les parents ne se sentent pas entièrement confiants quant à leurs capacités naturelles, ils auraient en eux ce réflexe du rire avec leur bambin.

En s’amusant avec lui, on ouvrirait la porte à notre enfant sur comment se faire des amis, comment répondre au stress, en plus d’encourager sa créativité.

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L’éducation parentale influence l’agressivité

Des chercheurs de l’Université du Manitoba soutiennent que les enfants d’âge préscolaire qui font preuve d’agressivité maintiennent une relation négative avec leur mère depuis leur tendre enfance.

C’est la conclusion à laquelle ils sont arrivés après avoir suivi plus de 260 mères et leurs enfants, et ce, de la naissance à la première année du primaire, lit-on dans Child Development.

Ils ont évalué si les enfants avaient un tempérament difficile alors qu’ils n’étaient que des poupons, puis ce comportement a été relié à la façon dont ils étaient élevés entre leur première semaine et leur sixième mois de vie. Mentionnons que ces évaluations ont été faites selon des observations, de même que des commentaires des parents.

Quand les enfants ont eu deux ans et demi puis trois ans, les chercheurs ont alors observé la relation entre la mère et l’enfant durant des tâches au cours desquelles ce dernier était porté à demander l’assistance de ses parents.

Finalement, lorsque les enfants sont arrivés en maternelle puis en première année, les chercheurs ont demandé aux mères et aux enseignants de relever et d’évaluer leurs problèmes de comportement.

Il a été remarqué, selon un réel schéma cyclique, qu’une relation mère-enfant négative aboutissait à des comportements colériques plus évidents chez les tout-petits, ce qui aura engendré plus d’hostilité chez la maman en retour.