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Le gène du bonheur

Translational Psychiatry vient de présenter une étude s’interrogeant encore une fois la possibilité d’un gène du bonheur. Il semble qu’un enfant présentant un gène « plus triste » en viendrait quand même à voir les choses du bon côté si son éducation se fait dans l’amour et l’harmonie.

Parmi 1900 enfants présentant une variation génétique qui les prédisposait à avoir de plus faibles taux de sérotonine au cerveau, ceux qui vivaient avec des parents positifs ont eu plus tendance à maintenir des émotions heureuses.

Rappelons-nous qu’un faible taux de sérotonine cérébral peut mener à une humeur plus sombre. Ainsi, ceux qui étaient prédisposés à ce type d’humeur, mais qui n’avaient pas reçu le soutien parental mentionné, avaient démontré moins d’émotions positives que les autres.

On reconnaît donc que le rôle parental est primordial. Si notre enfant a un tempérament plus difficile, l’éducation parentale peut faire toute la différence.

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Le couple, un réel appui pour l’enfant

On lit dans Pediatrics des réflexions sur le soutien d’un enfant aux besoins particuliers par sa famille. Parent-Provider-Community Partnerships: Optimizing Outcomes for Children With Disabilities met de l’avant l’importance d’une saine vie de couple dans ce type de situation.

Il est vrai que les familles au sein desquelles vit un enfant ayant des besoins spéciaux en soins de santé font face à plusieurs défis. Ces derniers sont d’ordres médical, financier et social.

On souligne ici l’importance que la famille se fasse un partenaire de choix quant aux décisions à prendre, à l’éducation, aux services sociaux et aux soins médicaux. Les parents doivent s’unir pour transmettre leurs besoins et ceux de leur enfant.

Le premier soutien de l’enfant demeure donc sa famille. Elle sera en mesure, en demeurant alerte, d’offrir les meilleurs soins à ce dernier, et les autres membres de la famille pourront eux aussi prendre soin de leur propre santé physique et mentale.

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L’anxiété des maths : une réalité

Selon une professeure de mathématiques de la Saint Joseph University, Agnes Rash, Ph. D., l’anxiété des mathématiques est une réalité pour un grand nombre d’enfants. Prenant source à un jeune âge, cette anxiété devient souvent grandissante à mesure que l’enfant progresse à l’école.

La professeure explique ainsi sur Medical News Today que ce problème peut suivre un écolier durant toute la durée de son éducation, et même plus tard dans la vie. Bien que les enseignants doivent demeurer attentifs à ses premiers signes, les parents devraient quant à eux se questionner sur leur influence, donc sur leur propre comportement.

Par exemple, si un parent dit continuellement qu’il n’a jamais rien compris à cette matière et qu’il ne se sent jamais en mesure d’aider son enfant dans ses devoirs de maths, il est presque assuré que son anxiété lui sera transmise.

De plus, Agnes Rash soutient que le plus souvent, un enfant commencera à avoir des difficultés en mathématiques parce qu’il n’a pas bien compris un concept, non parce qu’il a des difficultés d’apprentissage.

Au contraire, la plupart des gens auraient des aptitudes en mathématiques, et ce, incluant l’algèbre et la géométrie. Le problème résiderait donc dans la compréhension de leurs principes de base. Selon la professeure Rash, la « bosse des maths » serait une conception fautive.

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Influencez-vous la personnalité de votre enfant?

Les parents utilisent chacun leur méthode pour éduquer leurs enfants, tentant de réduire certains comportements et d’en encourager d’autres. Pourtant, il semble que ce ne sont pas toutes les techniques qui vont à tous les enfants.

C’est ce que soutiennent des psychologues de l’University of Washington. Selon leur étude parue dans le Journal of Abnormal child Psychology, il serait profitable pour l’enfant que l’éducation qui lui est donnée concorde avec sa personnalité.

On a remarqué, au fil de cette recherche de trois ans, qu’un bon accord entre le style d’éducation et la personnalité de l’enfant a fait baisser de la moitié les symptômes liés à la dépression et à l’anxiété.

À l’inverse, un mauvais accord entre ces deux segments d’analyse durant la même période de temps aura engendré le double de cas dépressifs et anxieux. L’éducation parentale ne devrait donc pas être donnée au hasard.

Cette étude a porté sur 214 enfants et leur mère. Autant de filles que de garçons faisaient partie du groupe, et tous avaient environ neuf ans lorsque la recherche a été entamée.

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Reprendre le chemin de l’école

Des chercheurs de l’Université de Cincinnati indiquent aux parents qu’une bonne routine scolaire n’a rien de compliqué. Afin de promouvoir l’éducation et la santé, on doit se souvenir de quelques lignes directrices, lisons-nous sur Medical News Today.

Ainsi, on devrait s’assurer que notre enfant fait de l’activité physique, qu’il profite de bonnes nuits de sommeil et qu’il prend un déjeuner satisfaisant. Ces trois clés seraient celles du succès en ce qui a trait à la réussite à l’école.

De plus, les chercheurs soutiennent que la rentrée peut avoir certaines répercussions sur la santé physique des enfants. Le temps passé à étudier n’en est effectivement pas un accordé à l’activité physique.

Pourtant, demeurer actif tout au long de l’année scolaire est bénéfique : il semble que notre esprit fonctionne mieux lorsqu’il est physiquement stimulé. Quant au déjeuner, nous connaissons déjà ses bienfaits : il demeure la meilleure préparation pour une longue journée d’école.

Le déjeuner prévient aussi l’obésité, tout comme le feraient de bonnes nuits de sommeil. Celles-ci devraient même être allongées jusqu’à 10 heures pour les enfants à l’école, pour ne jamais descendre en dessous de 8 heures par nuit.

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Tendre la main à papa

Beaucoup de soutien est offert aux mères quant à l’éducation des enfants et l’organisation de la maisonnée, mais on pense peu aux pères. Pourtant, ces derniers pourraient y trouver de grands bénéfices, selon une recherche de l’Université de Chicago.

De plus, pour son bien-être comme pour celui de son enfant, papa ne devrait pas hésiter à assumer pleinement son rôle. Il devrait chercher les occasions de se rapprocher et de s’occuper de son enfant, et ce, même s’il ne reçoit pas les mêmes encouragements que maman.
 
Étant différent de la mère, le père a beaucoup à offrir à l’enfant. Par exemple, il est plus fréquent que ce soit lui qui instaure les activités physiques au sein de la famille.
 
En s’appuyant sur certaines ressources, il peut renforcer ses forces personnelles comme parent. Le père devrait aussi participer au développement de son enfant, en posant des questions de lui-même au pédiatre, par exemple.

Le rôle du papa a bien changé au cours des dernières années, lisons-nous finalement sur EurekAlert. De 2000 à 2010 seulement, la proportion de pères dirigeant une famille monoparentale est passée de 5 % à 15 %. En 1970, ils représentaient seulement 1 % de ces familles.

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Potins

Emma Watson a tenu tête à Warner Bros.

Le magazine Us nous relate ce que la jeune actrice a confié à l’édition de juillet de Vogue, dont elle fait la couverture. Entre ses convictions profondes et l’horaire du tournage, le géant de l’industrie cinématographique Warner Bros. s’arrachait les cheveux.

Emma Watson a senti qu’elle faisait une erreur en laissant ses études de côté pendant les 10 dernières années. « J’ai travaillé tellement dur pour avoir une éducation. Ce fut ma plus grande bataille des dernières années », explique-t-elle.
 
Elle a toutefois maintenu sa position puisqu’elle souhaitait poursuivre ses études universitaires. Elle a même fait céder Warner Bros. pour que l’équipe s’adapte à son horaire en menaçant le studio de ne pas participer aux deux derniers films de la populaire franchise Harry Potter.
 
En reprenant le statut d’étudiante, à l’Université Brown, Watson se sentait enfin normale. Néanmoins, contrairement aux autres élèves, elle devait s’absenter régulièrement pour le tournage et revenait d’autant plus fatiguée à cause du décalage horaire.
 
Une brève rencontre avec l’acteur James Franco, étudiant à l’école de design du Rhode Island à ce moment, a aidé Watson à partager ce qu’elle vivait avec quelqu’un qui la comprenait.

« C’était un vrai soulagement de partager cette épreuve. J’ai découvert que le secret réside dans le fait de ne pas avoir peur de ce que les autres en pensent et de foncer pour ce qui nous tient réellement à coeur! » a confié Emma Watson.

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Le réel pouvoir de l’éducation

On peut lire dans Science les résultats d’une étude s’étant étalée sur un quart de siècle et ayant porté sur plus de 1 400 personnes. Menée par l’Université du Minnesota, elle a démontré les effets notables d’un programme éducatif entamé dès la petite enfance.

Dans le cadre de cette étude longitudinale, on a pu constater que les participants qui avaient suivi le programme en question dès l’âge de trois ans avaient atteint une meilleure qualité de vie quelques années plus tard.
 
Précisément, lorsque la procédure était entamée durant la petite enfance, les participants avaient tendance, une fois à l’âge adulte, à voir atteint des degrés de scolarité plus élevés et plus d’aptitudes pour le travail. Ils profitaient même d’une meilleure couverture d’assurance pour leur santé.
 
À l’inverse, ces mêmes personnes accusaient des taux plus faibles de criminalité, ce qui comprenait les arrestations, les incarcérations et les problèmes de consommation.

Tout porte à croire que l’éducation des tout-petits est primordiale et qu’il y a encore lieu d’améliorer les façons de faire actuelles. Il s’agit par ailleurs de l’une des plus importantes études ayant porté sur ce sujet que l’on ait menées jusqu’ici.

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Un bon point pour les parcs animaliers!

Il semble qu’un enfant qui revient du zoo aura plus appris en sciences et en préservation de la faune qu’il aurait pu le faire en lisant un livre ou en assistant à un cours en classe. C’est ce dont on s’est rendu compte après avoir questionné plus de 3 000 enfants âgés de 7 à 14 ans.

En collaboration avec le ZSL London Zoo, on s’est enquis des connaissances générales des enfants quant aux animaux, leur habitat et leur préservation. Après qu’ils aient visité le parc animalier, on leur a de nouveau fait passer un test.
 
Parmi tous les participants, 53 % démontraient une amélioration de leur savoir quant à la faune et sa préservation, entre autres. De plus, les connaissances des enfants étaient bonifiées s’ils étaient accompagnés d’un guide éducatif.

Après que l’on ait pointé les zoos du doigt pendant tant d’années, puisqu’ils montraient des animaux en cage aux enfants, on peut constater que les changements apportés aux installations ont un réel impact. Les enfants se sentiraient maintenant plus concernés par l’extinction des espèces après une visite au zoo.

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L’éducation parentale en lien avec la santé mentale

La perception qu’a un enfant de la façon d’être de ses parents prédirait s’il développera des problèmes de santé mentale. C’est le constat de chercheurs de l’Université de Glasgow et du Conseil de recherches médicales.

Il semble donc que les enfants dont les parents font preuve de négligence ou sont trop contrôlants auraient plus tendance à avoir des problèmes psychiatriques que les autres. Cette relation a été faite après l’analyse de données portant sur 1 700 enfants.
 
Parmi les enfants de 11 ans, ceux qui étaient à la fois négligés et contrôlés à l’excès représentaient une proportion de 3 %. Ces derniers avaient développé en plus grand nombre des troubles psychiatriques une fois l’âge de 15 ans atteint.
 
Parmi ces problèmes de santé mentale, on compte la dépression, les troubles anxieux et les désordres obsessifs compulsifs. Les enfants atteints d’un déficit de l’attention avec hyperactivité et ceux ayant un comportement violent et asocial étaient aussi plus nombreux dans ce groupe.

Les résultats complets de cette recherche sont parus dans le Journal of Child Psychology and Psychiatry.