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Impacts de la famille sur les enfants

Il semble, selon une étude parue dans le Journal of Epidemiology and Community Health, qu’une pauvreté constante pourrait avoir un impact sur les habiletés cognitives d’un enfant.

C’est la conclusion épineuse à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’Institut de l’éducation de l’Université de Londres après avoir analysé les résultats d’un sondage effectué auprès de 18 553 familles au départ. Les 18 819 enfants sur lesquels portait ce sondage étaient nés entre septembre 2000 et janvier 2002.
 
Les questions portaient directement sur les habiletés cognitives des enfants une fois qu’ils ont eu cinq ans, en 2006. On a par ailleurs pu relever des données signifiantes quant à la relation des enfants avec leur mère.
 
Donc, la pauvreté pourrait avoir des répercussions sur la cognition. L’instabilité familiale ne semble pas avoir d’impact en particulier, après que l’on ait tenu compte de la pauvreté, de l’éducation parentale, de l’âge de la mère et des caractéristiques propres à chaque enfant.
 
Ainsi, il semble que selon cette recherche, les enfants qui grandissaient au sein d’une famille de deux parents avaient présenté de meilleures capacités cognitives que ceux qui vivaient avec un seul parent ou qui avaient vécu des changements dans leur structure familiale.

Les chercheurs ont conclu que vivre dans la pauvreté avait un impact marqué sur la cognition d’un enfant de cinq ans, plus que la vie familiale en général.

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Maman fait-elle vraiment tout?

On pourrait croire que la vie d’aujourd’hui a changé les rôles de la mère et du père au sein de la famille. Si c’est parfois le cas, il semble que cela constitue encore une exception, selon 20 Minutes.

En effet, selon des observations notées après l’analyse de deux études de l’Ined (Institut national d’études démographiques, en France) menées en 2005 et 2008, peu de changements se sont faits dans les familles ayant un ou des enfants de moins de 14 ans.
 
Les mères sont encore majoritairement responsables de l’éducation des enfants. Elles s’occupent des tâches directement reliées à eux, comme les aider à faire leurs devoirs et les habiller. Quant aux pères, ils s’occupent de leurs enfants, mais sont encore relégués aux loisirs, à les endormir et à les reconduire à l’école.

La venue d’un enfant ne ferait pas nécessairement en sorte que le père participe dans la famille. Au contraire, il serait parfois plus porté à être mis en retrait du fonctionnement de la vie quotidienne et de l’éducation des enfants.

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Parents

La magie des petites choses

Personne n’atteint à la perfection et personne ne s’en approche. Mais cela fait-il de nous de mauvais parents ? On entend souvent cette lamentation: « Il n’y a plus de bons parents… » C’est faux. Je suis entrée en contact avec des milliers de parents partout au pays, et je peux affirmer que la grande majorité d’entre eux élèvent leurs enfants du mieux qu’ils le peuvent. Voilà qui est amplement suffisant.

Vous croyez que votre voisine (encore elle !) est une bien meilleure mère que vous ? Dites-vous qu’elle pense la même chose de vous ! Idéaliser votre voisin, votre collègue de bureau ou votre épicier ne vous aidera pas à mieux équilibrer votre vie de parent en emploi.

Si vous continuez à vous précipiter sur The Joys of Much Too Much : Go for the Big Life, le best-seller signé par l’Américaine Bonnie Fuller, rédactrice en chef d’American Media Inc., c’est qu’un petit retour s’impose : relisez ce que j’ai écrit dans le dernier numéro sur le sentiment de culpabilité. Dans la vie de tous les jours, Bonnie Fuller a peut-être les moyens de s’offrir de l’aide durant ses pérégrinations internationales, mais ça ne fait pas d’elle une meilleure mère que vous. Être parent est l’aventure d’une vie.

Comme tout voyage d’exploration, la parentalité est faite d’essais et d’erreurs, de tentatives qui aboutissent et d’autres pas, de succès et d’échecs. C’est la chose la plus difficile qui soit. Et aucun diplôme ne peut nous y préparer, c’est bien connu. Dans l’essai Le Bébé et l’eau du bain, la journaliste Nathalie Collard suggère des cours de parentalité aux futurs parents : quelle aberration ! L’aptitude à être parent ne se développe que d’une façon : par la pratique, à chaque heure de chaque jour.

Il s’agit de bien cerner son objectif : vouloir un enfant ou vouloir avoir un enfant. « Vouloir avoir un enfant » relève d’un désir de possession, d’un fantasme sans ancrage dans la réalité. « Vouloir un enfant », par contre, c’est être prêt à l’élever, le consoler, le guider, c’est lui transmettre non seulement son sang, mais ses valeurs et aspirations.

Faire tout son possible en matière de parentage, c’est déjà beaucoup. Ça peut passer par la façon de parler à ses petits. Pour ma part, quand je fais quelque chose avec mes enfants, je ne crains pas l’exagération, les superlatifs : « On va te mettre ta belle robe… on va faire un super beau gâteau… on va passer une journée magnifique… »

Avez-vous remarqué à quel point on est porté à utiliser des termes comme catastrophe, drame, fin du monde ? Pourquoi ne pas mettre l’accent sur des moments heureux en en embellissant la description ? Pourquoi ne pas présenter une activité routinière comme un cadeau que nous fait la vie ? Comme l’illustre le film de Roberto Benigni, La vie est belle, la perception d’une situation, même la plus laide qui soit, dépend de la façon dont on en parle. Je suis convaincue qu’on peut insuffler de la magie au simple fait de se brosser les dents.

Chez nous, nous avons un support à épices magiques : j’ai vidé mes pots d’origan et de persil pour y placer de petites sucreries qu’on utilise normalement pour décorer des gâteaux. Je m’en sers comme de la poudre de perlimpinpin : j’en mets à l’occasion dans la purée de carottes, dans les brocolis, dans le yogourt, et le souper prend des allures de fête.

Ma fille Clara, quatre ans, a beaucoup de mal à rester assise pour manger (mais je n’abandonne pas pour autant et continue à lui apprendre à rester à table, même si c’est très difficile pour elle…). Pendant les repas, elle s’assoit toujours sur une fesse et martèle le plancher de sa jambe libre (ça vous rappelle quelque chose ?) Les journées plus difficiles pour elle ou pour moi, je saupoudre son assiette d’épices magiques ; c’est fou comme elle avale plus vite son brocoli !

Vous ne tenez pas à sucrer ainsi la nourriture de votre enfant ? Essayez d’agrémenter le menu d’aliments qu’il aime : fromage râpé, ketchup-maison, légumes gratinés, le tout servit dans de petits pots amusants qu’on lui offre comme s’il s’agissait de friandises. En présentant la réalité sous sa forme ludique et joyeuse, on a toutes les chances de rendre cette réalité… ludique et joyeuse.

 

Coupable de déraper à l’occasion : la taloche occasionnelle
Maintenant que vous venez de vous rappeler que vous n’êtes pas parfait – et que personne ne vous en demande autant –, abordons le délicat sujet de la correction physique.

Il n’est certes pas souhaitable de donner une fessée à son enfant, et aucun parent sain d’esprit n’éprouve du plaisir à le faire. En fait, quand les circonstances imposent cette punition, on est souvent envahi d’un profond sentiment de culpabilité. Normal.

Je ne veux pas banaliser ici la violence physique ou mentale faite aux enfants. Il me semble clair, toutefois, que l’expression de l’autorité passe parfois par la correction. Je me souviens d’avoir moi-même reçu quelques taloches de ma mère. Je les avais sûrement bien méritées, et cela ne faisait pas de moi une enfant maltraitée. Qui plus est, je n’ai à ce jour jamais consulté de psychanalyste pour régler des problèmes liés à un traumatisme infantile !

En 2004, l’article 43 du Code criminel du Canada était jugé constitutionnel par la Cour suprême du Canada. Cet article de loi autorise les parents (ou tuteurs légaux) à recourir à la fessée contre leur enfant avec une force raisonnable, sans utiliser d’objets comme une lanière de cuir par exemple. Les Québécois ont réprouvé massivement cette loi. Certes, encore une fois, il n’est jamais souhaitable de recourir à la violence, mais, lorsque cela arrive, il faut réfléchir à ce qui s’est passé et veiller à ce que cela ne se reproduise plus.

Si, jour après jour, votre enfant déverse le contenu de son assiette sur le plancher, vous allez lui expliquer avec toute la diplomatie dont vous êtes capable que ce comportement ne vous convient pas. Si la diplomatie n’aboutit à rien, même après plusieurs semaines, et que votre enfant continue son cirque, on peut comprendre que vous lui donniez une petite tape. Il n’en mourra pas, et vous non plus.

L’important est de ne pas confondre dérapage et autorité. La correction physique ou la violence verbale ne sont pas les seuls moyens d’exercer l’autorité parentale. Ces comportements sont et doivent rester de l’ordre de l’exception, mais, de grâce, finissons-en avec la culpabilité à la moindre pichenette ! Et concentrons-nous aussi sur l’« après-correction », sur ce qu’il faut retenir comme parent (et comme enfant) d’une situation qui a tourné au vinaigre. Comprendre pourquoi elle s’est ainsi envenimée nous permettra d’éviter de pareils dérapages à l’avenir. Et expliquer à notre enfant pourquoi son attitude nous a poussés à le discipliner physiquement, c’est aborder avec lui un problème crucial dans le but de le dénouer définitivement.

Il y a quelques années, j’ai vécu un des épisodes les plus sombres de ma vie, épisode qui aurait pu me conduire à la dépression et aux dérapages. Quand mon dernier enfant, Kristof, est arrivé, son aînée, Clara n’avait que 19 mois. Je venais d’apprendre que mon mari, cet éternel adolescent étourdi, n’était pas officiellement mon mari, puisqu’une formalité administrative émanant du pays d’origine de sa première femme ne reconnaissait pas son divorce. Il fallait que je m’occupe constamment de mon entreprise, qui s’en allait à la dérive, et les membres de ma famille me faisaient vivre le pire cauchemar de ma vie au moment où leur support aurait été crucial.

J’ai réalisé soudain que ma vie s’écroulait, qu’elle n’avait plus de fondement, que je n’aurais plus jamais la belle famille du temps où mon père vivait et que je perdais la santé à dormir trois heures par nuit. Entre mes journées pleines, les factures qui s’accumulaient et les procédures judiciaires que je devais mener, je ne trouvais plus l’énergie qui me permettrait de m’occuper adéquatement des enfants. Les devoirs, le bain, les histoires, les activités parascolaires, même les moments de détente, c’était trop. J’ai alors décidé d’arrêter cette course folle afin de faire mon bilan et mon plan de vie.

J’ai régulièrement confié Kristof à des amis pour quelques heures. J’ai donné à l’aide familiale qui vit chez nous plus de responsabilités quand cela s’imposait. J’ai demandé à mes voisins de conduire les plus vieux à leurs activités sportives. 

Bref, je me suis permis de dévier de mes objectifs parentaux, ou plutôt de « déraper » par rapport à mes idéaux de parentage : j’ai accepté l’idée de ne pas être parfaite (ce qui ne revenait pas à mettre en péril la sécurité de mes enfants, bien sûr) et de m’occuper de moi afin de mieux m’occuper d’eux. Et j’ai surtout fait un deuil de mon idéalisation de la famille parfaite, de ma mère qui serait toujours là pour moi et pour mes enfants ; j’ai nommé des parrains de cœur pour mes enfants puisque mes sœurs ne remplissaient plus ces fonctions morales. Je me suis refait une famille à moi, avec ce que la vie me donnait à ce moment-là. Et j’ai recommencé.

Je suis allée au restaurant, j’ai rencontré des amis que je n’avais pas vus depuis longtemps, question de me retrouver. Les consignes que je me suis données : bien manger, dormir, faire du sport, question de me donner l’énergie dont j’avais besoin.

Alors que j’assurais mes fonctions de mère à mi-temps, malgré les remords éprouvés, j’ai senti que ma force revenait de semaine en semaine. Ce temps d’arrêt que j’ai pris pour moi m’a permis de survivre sans dérapages pendant une période noire. Aujourd’hui, je suis fière de voir mes enfants en santé, de me voir en forme et de savoir que c’est à moi, et à moi seule, que je dois d’avoir traversé la montagne (bien que je sois encore loin du sommet !) Quant à mon conjoint, il est toujours l’éternel ado qu’il était, mais ça, c’est une autre question !

Culpabiliser, c’est se comparer négativement à un modèle idéalisé. Quand on sait que ce modèle n’existe pas, on peut en finir plus vite. Culpabiliser, c’est aussi se soucier de la désapprobation de son entourage : «Qu’est-ce que les autres vont penser de moi ? Comment me perçoivent-ils ?…» Le besoin de plaire à tout le monde semble particulièrement absurde quand on sait que, en règle générale, des gens que nous connaissons, un tiers nous aime et un autre tiers ne nous aime pas. Quant au dernier tiers, il ne cultive à notre égard que de l’indifférence.

Pourquoi vouloir charmer tout un chacun ? Pourquoi chercher des admirateurs ? Pourquoi nous coincer dans un rôle qui nous convient mal ? Afin de correspondre à un modèle d’ailleurs illusoire ? Le jour où vous cesserez de vous préoccuper de ce que pense votre voisine ou votre beau-frère, vous aurez fait un grand pas vers la déculpabilisation. Et vers l’efficacité.

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Nouvel espoir pour les jeunes autistes

Selon MedCity, les enfants autistes pourraient utiliser un écran, au lieu du papier, pour communiquer et apprendre. Comme nous le savons, plusieurs de ces enfants ont recours à des images et des photos en tableaux pour entrer en communication avec les autres.

On apprend maintenant qu’une entreprise du domaine des technologies de l’information, AutismSphere, développe en ce moment une version électronique de ces tableaux, auxquels seraient ajoutées diverses options et fonctions.
 
Des prototypes de téléphones intelligents et cellulaires sont en cours d’évaluation dans une école de la Caroline du Nord.

John Eder a eu cette idée lorsqu’il étudiait à l’Université de la Caroline du Nord. Il se dit très motivé par son invention, car elle pourra servir à des gens dans le monde entier.

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L’alimentation et l’éducation sont étroitement liées

Une récente étude s’est penchée sur le lien possible entre l’alimentation et l’éducation reçue.
 
Le site Cerin.org rapporte que les adolescents qui ont des parents fermes avec eux ont tendance à se nourrir plus sainement, alors que ceux avec des parents permissifs mangent moins bien.
 
De plus, les jeunes vivant dans une structure familiale plus rigide consomment également moins de collations et prennent plus régulièrement leur petit déjeuner à la maison. Les autres grignotent plus souvent, majoritairement des aliments qui ne sont pas santé comme des croustilles ou des friandises, et leur petit déjeuner consiste souvent à prendre une barre de chocolat à la cafétéria de l’école en arrivant.
 
Cette observation est encore plus vraie pour les adolescents qui sont des enfants uniques et qui vivent avec leurs deux parents. La différence entre une éducation stricte et permissive est alors encore plus marquée.
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Découverte d’un gène du langage

Des chercheurs de l’Université d’Édimbourg viennent de découvrir un gène relié au développement du langage chez l’enfant. Le gène ROBO1 intervient au niveau du cerveau.

Précisément, ce gène dirige certaines substances chimiques vers les cellules du cerveau qui permettent à l’enfant d’emmagasiner et de décoder les sons de la parole.

Ce processus est primordial quant à l’apprentissage du langage chez le très jeune enfant, lorsque les mots, au départ sans signification, peuvent être associés à un objet ou un concept.

Il est désormais possible d’expliquer d’une nouvelle façon certains aspects de l’apprentissage du langage chez les enfants. En effet, celui-ci serait influencé non seulement par l’éducation, mais aussi par certains traits génétiques.

Pour tirer ces conclusions, on a suivi pendant 1 an 538 familles de 5 enfants et moins. En étudiant les différentes façons d’apprendre à parler à ces enfants, on a pu remarquer que le gène ROBO1 constituait bel et bien une composante de cet apprentissage. Les résultats complets sont parus dernièrement dans l’European Journal of Human Genetics.

Un lien clair a été fait entre le fonctionnement de ce gène et la capacité du cerveau à emmagasiner des sons de la parole sur une courte période de temps. Cette recherche ouvre donc la voie à une meilleure compréhension de certains troubles du langage, de la dyslexie et des problèmes de mémoire à court terme.

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Les gènes influenceraient le succès à l’école

Il semble que des enfants étant dans la même école, la même classe et ayant le même professeur pourraient recevoir une éducation de qualité différente, et ce, à cause de leurs gènes.

C’est une conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs, mandatés à l’origine par le Medical Research Council en Angleterre, après avoir suivi 4 000 paires de jumeaux. Leurs résultats sont parus dernièrement dans PloS ONE.

Cela ne signifie pas que la qualité de l’enseignement n’est pas importante, mais il semble que les facteurs liés à l’environnement sont aussi importants que ceux liés à la génétique.

En fait, chacun des enfants apporterait des caractéristiques à la classe qui influenceraient la façon dont ils tirent avantage de cette qualité d’enseignement.

On peut ainsi expliquer pourquoi, dans une même classe, certains élèves réussissent et d’autres non, même s’ils ont le même bagage éducationnel.

Des recherches futures pourront nous dire ce qui, chez les enfants, fait en sorte qu’ils réussissent plus ou moins. Jusqu’ici, on croit que la motivation, la constance et la maîtrise de soi seraient les plus importantes caractéristiques sur le plan génétique quant à la réussite scolaire d’un enfant.

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L’éducation plus tôt pour les enfants

Une étude conjointe entre plusieurs universités fait une nouvelle lumière sur la façon d’éduquer les enfants, apprenons-nous dans le Daily Mail.

Selon son auteure, Dre Ingrid Pramling Samuelsson de l’Université de Göteborg, le développement de la pensée, du raisonnement et de la compréhension est beaucoup plus avancé que l’on ne croit durant la petite enfance.

Les recommandations de la Dre Pramling Samuelsson et de son équipe sont donc de repenser la façon dont se déroule l’éducation des enfants.

Celle-ci pourrait être entreprise plus tôt, car les enfants, selon des données scientifiques, comprendraient dès un jeune âge les tenants et aboutissants de leur environnement social, économique et écologique.

Finalement, en vue d’un plus grand développement durant les années suivantes, une dernière recommandation serait d’encourager l’innovation dans les programmes éducationnels dès l’âge préscolaire.

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Musique

Le succès de Glee pourrait bien avoir des répercussions dans les écoles

L’énorme succès remporté par Glee à la télévision américaine pourrait avoir des effets bénéfiques jusque dans les écoles, l’endroit où se déroule l’action de la série.

Trois des vedettes de l’émission, Matthew Morrison, Chris Colfer et Cory Monteith, accompagnés également de Mark Salling, Jenna Ushkowitz et Harry Shum Jr., appuient une campagne visant à encourager les jeunes à s’intéresser à la musique dans leurs écoles.

De concert avec l’organisation The Education Through Music, ces acteurs se sont rendus dans une école de Los Angeles et ont aidé des écoliers à fabriquer leurs propres instruments de musique. Harry Shum Jr., qui joue le rôle de Mike Chang dans la série, explique comment la musique a changé sa vie. « Les arts m’ont aidé, ça m’a rendu excité d’aller à l’école. »

Matthew Morrison ajoute : « Les enfants qui touchent à la musique voient leurs notes en mathématiques s’améliorer, leur lecture aussi… La musique a prouvé être utile à l’éducation. »

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