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Le soya n’augmente pas la qualité de vie lors de la ménopause

Mauvaise nouvelle pour les femmes ménopausées du monde entier : si l’on en croit une étude rapportée par www.nlm.nih.gov, le soya n’aurait aucun impact réel sur la qualité de vie de ces femmes.

C’est ce que concluent les chercheurs américains en tête de l’étude, qui ont analysé les effets des suppléments de soya sur la qualité de vie durant la ménopause, sur une période de deux ans.

Cependant, les chercheurs croient qu’il est tout de même possible que le soya possède certains avantages pour les femmes ménopausées.

Paula Amato, de l’Oregon Health and Science University, explique : « Malheureusement, si vous êtes comme les patientes de l’étude, des suppléments de soya risquent fort de ne rien changer à votre qualité de vie durant la ménopause. Nous ne pouvons pas vraiment recommander cette méthode à nos patientes ».

Cette étude vient confirmer les théories les plus récentes sur le sujet. La prise de suppléments de soya pour calmer les bouffées de chaleur fait également l’objet d’une controverse, plusieurs spécialistes affirmant qu’il ne s’agit pas d’un traitement efficace réel.

Il est cependant possible qu’il existe une différence de résultats si l’on consomme du soya par les aliments plutôt que par suppléments, croient certains spécialistes, dont Paula Amato.

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Le café versus les boissons énergétiques

Alors que le café reprend de plus en plus sa place dans le cœur des gens et des nutritionnistes, la réputation des boissons énergétiques est en chute libre.

Bien que cela n’affecte en rien son rythme de ventes, la boisson énergie pourrait permettre au café de regagner encore plus en popularité.

C’est du moins ce que l’on comprend d’une nouvelle étude rapportée par Santelog.com, qui met en doute plusieurs présumés avantages de la boisson énergisante.

Selon les chercheurs canadiens de TM McLellan Research et ceux de l’armée américaine, plusieurs des prétendus avantages des boissons ne seraient pas vérifiables, comme l’amélioration des performances physiques et mentales.

Ainsi, un bon café ferait tout autant le travail qu’une boisson de typeRedbull ou Monster, mais sans la panoplie d’effets secondaires possibles.

Publiées dans la revue Nutrition Reviews, les conclusions de cette étude rappellent que les boissons énergétiques comprennent des doses massives de sucre, de caféine, de taurine, d’extrait de guarana et de ginseng. Ce cocktail peut mener à plusieurs problèmes de santé, pour un effet moins grandiose que ce que les distributeurs cherchent à faire croire.

De plus, on rappelle que le café possède certaines propriétés anti-cancer et peut aider à prévenir certaines maladies, ainsi que le vieillissement prématuré des cellules.

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Une étude met en doute le pouvoir de l’EPO

La saga Lance Armstrong a vraiment confirmé que le dopage est omniprésent dans le cyclisme, ce qui entache non seulement le sport, mais aussi tous ceux qui le pratiquent.

La chute aux enfers du septuple champion du monde (Tour de France) aura au moins eu pour effet de relancer le débat et de sensibiliser les jeunes à l’importance d’un corps sain, sans drogue.

Mais voilà que www.nlm.nih.gov rapporte une étude qui remet en doute les propriétés de certaines drogues qui sont censées augmenter le niveau de performance des athlètes qui les consomment.

Et si Armstrong et les autres fautifs avaient consommé de l’EPO pour rien?

C’est ce que semblent croire les chercheurs à la tête de cette nouvelle étude surprenante, alors qu’ils affirment ne pas être en mesure d’observer des changements clairs dans les cellules sanguines qui prouveraient de meilleures performances à la clé.

Publiée récemment dans le British Journal of Clinical Pharmacology, l’étude remet en doute l’utilité de la drogue, mais pas ses dangers. Les risques de caillots sanguins et de crise cardiaque sont très réels, eux, rappellent les chercheurs.

L’un de ceux-là est le Dr Adam Cohen, du Centre for Human Drug Research aux Pays-Bas. Il déclare : « Les athlètes et leurs équipes médicales peuvent croire que l’EPO augmente les performances, mais il n’existe aucune preuve pour le corroborer. Aucun test n’a été effectué pour évaluer les différences de performances dans le cyclisme d’élite ».

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Au-delà des antidépresseurs : l’importance de la thérapie

Une nouvelle étude, rapportée par www.nlm.nih.gov, conclut que les patients qui souffrent de dépression auraient avantage à allier leur traitement à des séances de thérapie.

C’est que dans plusieurs cas, les antidépresseurs ne font pas, ou peu, le travail. Tout cela laisse le patient dans un sentiment d’impuissance face à son état, ce qui peut aggraver la situation.

Des chercheurs britanniques tiennent donc à rappeler l’importance d’un bon suivi de la part d’un spécialiste en santé mentale dans les cas de dépressions.

L’étude parle même d’une augmentation des chances de rémission jusqu’à trois fois plus élevée que pour ceux qui n’utilisent que les antidépresseurs.

Nicola Wiles, de l’Université Bristol, commente l’étude : « Lorsque les gens reçoivent un diagnostic de dépression et qu’ils ne réagissent pas aux médicaments et antidépresseurs, la thérapie cognitive et psychologique permet de voir leurs symptômes diminuer de façon significative. La qualité de vie est grandement améliorée grâce à la thérapie ».

« Malheureusement, les spécialistes et les accès à ce genre de thérapie se font rares dans certains pays, dont le nôtre (Angleterre). Trop de pays n’offrent pas ce genre de service et laissent donc en plan les gens dépressifs qui ne ressentent pas les effets des antidépresseurs. »

On suggère de discuter avec votre médecin avant la prise d’antidépresseurs, afin de voir les possibilités de consultation offertes.

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Des résultats décevants pour la vitamine D dans le traitement de la démence

Les chercheurs espéraient pouvoir faire une corrélation entre la vitamine D et le traitement de la démence et de certaines maladies dégénératives, mais il semble que les résultats soient plutôt décevants.

C’est du moins ce que rapporte www.nlm.nih.gov, alors qu’une nouvelle étude sur le sujet vient d’être publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.

Malgré tout, plusieurs experts gardent espoir de voir la vitamine D donner des résultats en matière de traitement de la démence, notamment.

Pour en arriver aux conclusions de la présente étude, des chercheurs du HealthPartners Institute for Education and Research, une branche à but non lucratif de la HMO (Health Maintenance Organization), ont analysé les dossiers de plus de 2000 patientes qui ont reçu des suppléments de vitamine D et de calcium.

La Dre Rebecca Rossom explique : « Je crois que l’étude ne regarde que les effets directs de la vitamine D sur la démence, mais elle demeure importante néanmoins, car elle fait le bilan des habitudes des femmes concernant celle-ci ».

De plus, on rappelle que le calcium, ainsi que la vitamine D, demeurent d’excellents alliés pour un vieillissement sain, à commencer par leurs effets protecteurs sur les os.

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Le stress et la pauvreté réduiraient l’espérance de vie

www.nlm.nih.gov rapporte une étude fascinante (et désolante à la fois) qui révèle que dans des conditions de stress similaires, les gens plus aisés vivraient plus longtemps que ceux qui sont moins fortunés.

L’étude britannique laisse croire que la pauvreté et le stress forment une combinaison mortelle, une véritable « bombe à retardement ».

Le Dr Antonio Ivan Lazzarino, de l’Université London, y croit mordicus : « Ces gens ont réellement un taux de mortalité plus élevé. Bien plus que l’on pourrait imaginer en associant simplement ces deux facteurs (pauvreté et stress) ».

Ainsi, les gens qui sont à l’aise financièrement échapperaient à cette combinaison mortelle. Si l’on ne peut affirmer que l’argent fait le bonheur, on peut probablement conclure que celui-ci aide cependant à faire passer la pilule du stress.

L’étude a été publiée dans la plus récente édition en ligne des Archives of Internal Medicine et compare les données de plus de 65 00 personnes de 35 ans et plus durant une période de dix ans (1994 à 2004).

Pour les chercheurs à la tête de l’étude, les résultats sont clairs. La pauvreté et le stress forment une dangereuse combinaison.

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L’eau du robinet jouerait-elle un rôle dans le développement des allergies?

Une étude rapportée par www.nlm.nih.gov propose un lien possible entre l’eau du robinet et le développement de certaines allergies alimentaires.

Si la nouvelle peut faire peur, on ne peut s’empêcher de constater qu’une telle cause à effet serait tout à fait logique, bien que les spécialistes se gardent d’employer une telle expression.

Plus concrètement, les chercheurs de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology (ACAAI) ont étudié les composantes chimiques retrouvées dans l’eau « plate » du robinet, dont les dichlorophénols.

Ces derniers sont des composantes utilisées, entre autres, pour la création de pesticides. On pourrait retrouver ces pesticides dans le traitement de plusieurs fruits et légumes sur le marché.

L’étude suggère que « les hauts niveaux de pesticides à base de dichlorophénols peuvent possiblement affaiblir la tolérance à la nourriture chez certaines personnes ».

La Dre Elina Jerschow explique plus en détail le phénomène : « Ces composantes chimiques sont retrouvées fréquemment dans les pesticides utilisés par les fermiers, ainsi que dans les produits contre les insectes (moustiques, par exemple) et les produits contre les mauvaises herbes. Même chose pour l’eau du robinet ».

À la suite d’une étude plus approfondie qui impliquait plus de 2200 participants, les chercheurs ont constaté qu’un lien pouvait être établi entre l’eau du robinet et la montée en flèche des cas d’allergies alimentaires, notamment chez les enfants.

D’autres études sont attendues sur le sujet.

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Les rats et l’effet placebo

Une nouvelle étude arrive à la conclusion que les rats peuvent également ressentir le fameux effet placebo que l’on croyait réservé au complexe cerveau humain.

Des chercheurs de l’Université de Floride affirment qu’ils sont parvenus à prouver que les rats sont également réceptifs à l’effet placebo, annonce www.nlm.nih.gov.

L’effet placebo se décrit comme étant une « réaction positive à un faux traitement », ce qu’aurait vécu un groupe de rongeurs. Le cas échéant, ceci pourrait mener à de nouvelles stratégies efficaces en matière de traitement de plusieurs maladies graves.

« C’est ça, la grosse découverte… que les animaux qui s’attendaient à être soulagés de leur douleur l’ont été en ne recevant qu’une substance inerte, dans ce cas-ci de l’eau saline. Ça aide à valider notre modèle qui prône que ce que nous faisons aux rats peut se transposer chez l’humain », déclarait John Neubert, professeur et spécialiste de la douleur du département de dentisterie de l’Université de Floride.

L’étude, d’une durée de deux ans, comparait les réactions obtenues chez les rats en leur administrant soit des antidouleurs (comme de la morphine), soit de l’eau saline.

Au final, les rats qui avaient reçu de la morphine et à qui on administrait ensuite de l’eau saline ressentaient tout de même le soulagement attendu.

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Trop de sport pourrait raccourcir l’espérance de vie

Une nouvelle étude qui vient en contredire plusieurs autres concernant les bienfaits du sport sur la santé risque fort de faire jaser au sein de la communauté sportive.

C’est que des chercheurs américains affirment que faire trop de sport pourrait bien être nocif pour la santé, et du même coup réduire l’espérance de vie des principaux intéressés.

C’est du moins ce que rapporte topsante.com, qui parle de « fatiguer son cœur » à force de trop courir, par exemple.

Bien entendu, les chercheurs à la tête de l’étude ne veulent pas décourager la pratique d’activités physiques, bien au contraire, ni donner des munitions aux fans de la procrastination.

Cependant, ils veulent simplement mettre en garde les « accros du sport » contre des risques possibles sur leur santé à long terme.

James O’Keefe et Carl Lavie, des cardiologues, expliquent : « Une routine d’activité physique modérée peut allonger votre vie de plusieurs années. À l’inverse, courir trop vite, trop loin et pendant de trop longues années, peut raccourcir votre existence ».

Concernant la course à pied, on suggère donc de se limiter à environ 30 minutes maximum quotidiennement, pour un effet bénéfique maximal sur la santé et l’espérance de vie.

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Le sexe et la santé : nouvelle étude

Plusieurs études sont sorties sur le sujet de l’amour, de la sexualité et de la santé au fil des dernières années. Si certains résultats se voulaient contradictoires au départ, les conclusions voulant que le sexe soit bénéfique sur la santé deviennent de plus en plus partagées par la communauté scientifique.

De nouvelles recherches viendraient corroborer les théories selon lesquelles une sexualité active a des effets bénéfiques sur la santé.

e-sante.fr rapporte une étude sur le sujet, effectuée par des chercheurs de l’Université Duke, qui explique que l’acte sexuel est bénéfique pour réduire les maux de tête, pour la mémoire et pour la ligne.

De plus, une sexualité saine et active permettrait de faire baisser les risques de cancer de la prostate et du sein, en plus d’une production supplémentaire d’anticorps. Le sexe pour se protéger de la grippe? Il semble que oui, à tout le moins partiellement.

L’étude de Duke a été effectuée sur 270 sujets sur une période de 25 ans et a noté que plus les hommes avaient des rapports sexuels fréquents, plus ils vivaient vieux. Ce ne serait pas forcément le cas chez la femme, alors que la notion de « qualité sexuelle » vient faire varier la donne.

Pour conclure, les chercheurs rappellent qu’il a été démontré que le bonheur permet de vivre plus longtemps. Une vie sexuelle satisfaisante serait donc non seulement bénéfique sur le plan physique, mais aussi psychologique, ce qui contribuerait encore plus au prolongement de la vie… en pleine santé.