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Boire de l’eau ne ferait pas maigrir

Une spécialiste en nutrition américaine contredit et invalide le mythe qui veut que le fait de boire de l’eau contribue à faire maigrir, rapporte Top Santé, de quoi décevoir les adeptes de l’eau en plein cœur d’un régime.

C’est la nutritionniste Beth Kitchin qui s’attaque au mythe en rappelant d’abord qu’il n’existe que bien peu d’études, d’essais ou de travaux démontrant véritablement les bienfaits d’une consommation accrue d’eau sur le succès d’un régime et sur le maintien du poids.

« Je ne dis pas que boire de l’eau n’est pas bon, mais on ne dispose que d’une seule étude montrant que les personnes qui consommaient plus d’eau dépensaient quelques calories de plus par jour », lance d’abord Mme Kitchin.

Elle poursuit en étayant son opinion sur le sujet, écorchant au passage les indications qui nous somment de consommer au moins 1,5 litre d’eau quotidiennement.

« Oui, on a besoin d’apports liquides, mais pas obligatoirement en eau… On ne dispose pas de preuves démontrant qu’elle fait fondre les graisses ni qu’elle entraîne un sentiment de satiété. Adopter une alimentation contenant des aliments riches en eau comme les fruits, les légumes et les soupes peut contribuer (à un régime) », poursuit la spécialiste en nutrition.

En clair, même l’eau ne peut servir de solution miracle et d’excuse pour ne pas intégrer un régime alimentaire sain et l’exercice physique à son quotidien si l’on veut perdre du poids!

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Facebook favoriserait le développement de troubles alimentaires

Les jeunes femmes qui passent beaucoup de temps sur les médias sociaux, en particulier sur Facebook, seraient plus à risque de développer un trouble alimentaire et une mauvaise estime de soi.

C’est ce qui ressort d’une nouvelle étude sur le sujet, rapportée par The National Library of Medicine, et qui parle des impacts du plus populaire média social sur l’alimentation d’un grand nombre de jeunes femmes.

Les chercheurs de l’Université de Floride en tête de l’étude ont analysé les cas de 960 étudiantes universitaires. Les observations ont permis de constater que celles qui passaient le plus de temps sur Facebook affichaient des tendances plus marquées vers les troubles alimentaires, et s’inquiétaient davantage de leur alimentation et de leur image.

« Facebook combine sur une seule plate-forme l’influence des pairs à de forts messages de société qui se concentrent beaucoup sur l’apparence des femmes. Ces images sont ensuite conservées mentalement le reste de la journée. Alors que les chercheurs et cliniciens tentent de comprendre et de démontrer les facteurs de risque des troubles alimentaires, une plus grande attention doit être portée sur le rôle des médias sociaux dans la vie des jeunes adultes », explique l’auteur de l’étude Pamela Keel.

D’autres études précédentes avaient révélé des impacts similaires de la part des médias sociaux sur les jeunes femmes.

Les résultats de l’étude floridienne ont été publiés dans l’International Journal of Eating Disorders.

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Le chocolat noir est aussi bénéfique pour la santé vasculaire

Une nouvelle étude vante les mérites du chocolat noir sur la santé, rapporte Santé Log, cette fois sur celle des vaisseaux sanguins et du système cardiovasculaire.

La recherche provient des Pays-Bas, plus précisément de l’Université de Wageningen, où des chercheurs ont pu observer l’effet d’une consommation de chocolat noir sur les vaisseaux sanguins.

Il appert que l’aliment fort prisé permet d’assouplir les artères et de réduire l’adhérence des globules blancs aux parois des vaisseaux. En clair, ces effets permettent une réduction des risques d’athérosclérose, selon les chercheurs néerlandais.

C’est après des essais menés sur 44 hommes que ces derniers ont pu confirmer l’étendue des bienfaits du chocolat noir sur la santé cardiovasculaire et celle des vaisseaux sanguins, estimant que le chocolat noir est un allié non négligeable.

Une bonne raison d’incorporer le chocolat noir, avec modération, dans son alimentation, ce qui n’est pas le pire des sacrifices, avouons-le.

Les conclusions de cette recherche ont été publiées dans le Faseb Journal.

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Prendre une marche bénéficie aussi au cerveau

Les amateurs de promenades et de longues marches connaissent bien les avantages de cette activité physique simple. L’air frais, la découverte de nouveaux lieux, la complicité à partager avec une autre personne, l’activité physique, une meilleure digestion, bref, les bienfaits connus de la marche sont nombreux.

Mais selon une nouvelle étude rapportée par le Daily Mail (UK), la marche aurait également des bénéfices secrets pour le cerveau.

Selon des chercheurs de l’Université de Pittsburgh, le fait de s’adonner à trois marches hebdomadaires de 40 minutes aurait un impact direct sur le cerveau et l’hippocampe. Cette zone grossirait au gré de ces marches de santé, ce qui pourrait prévenir de certaines maladies comme l’Alzheimer, croient les chercheurs américains.

« Vous n’avez pas besoin d’une activité physique hautement vigoureuse pour observer ces effets. Ça peut sembler modeste comme somme (d’exercice), mais ça permet d’inverser l’horloge de l’âge de quelques années », croit le Dr Kirk Erickson, chercheur en chef de l’étude à l’Université de Pittsburgh. 

Bien qu’il spécifie également que la marche, ou une autre activité physique, ne constitue pas une « baguette magique » contre les maladies dégénératives comme l’Alzheimer, le Dr Erickson reste convaincu qu’il s’agit de l’un des meilleurs moyens de garder son cerveau vif et en santé.

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La vitamine C peut-elle prévenir des AVC?

Une nouvelle étude en provenance de la France dévoile un présumé risque accru d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) chez les personnes présentant une carence en vitamine C, rapporte The National Library of Medicine.

Mais alors, la vitamine C pourrait-elle prévenir des AVC? Bien que les chercheurs français en tête de l’étude soient loin de pouvoir confirmer une telle cause à effet, ils affirment cependant avoir observé une plus grande incidence d’AVC chez des personnes affichant des carences en vitamine C.

« L’étude suggère en effet qu’un faible niveau de vitamine C est un risque pour des hémorragies cérébrales spontanées », lance le Dr Stéphane Vannier, de l’Hôpital Universitaire de Rennes.

Les chercheurs de l’étude croient que ces statistiques seraient explicables par le rôle joué par la vitamine C dans le maintien et le contrôle de la pression sanguine et des vaisseaux sanguins.

On retrouve de la vitamine C dans les fruits et légumes, notamment les oranges, les fraises, les poivrons et le brocoli, pour ne nommer que ceux-là.

Par ailleurs, l’équipe française ne recommande pas la prise de suppléments de vitamine C pour abaisser les risques d’AVC. On suggère plutôt les apports par l’alimentation.

Les résultats de cette étude seront présentés lors de l’assemblée annuelle de l’American Academy of Neurology, qui se tiendra du côté de Philadelphie.

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La technologie est-elle à blâmer pour la hausse des cas de diabète et d’obésité?

Une nouvelle étude pose une question des plus intéressantes en matière de santé globale : serait-il possible que la technologie soit en partie responsable de la hausse des cas de diabète et d’obésité observable partout sur la planète?

Car si les populations des pays développés jouissent depuis un bon moment des avancées technologiques comme la voiture, les téléphones portables, la télévision, les ordinateurs et l’internet, le phénomène devient maintenant aussi vrai pour des pays moins riches ou en voie de développement.

En analysant les comportements des différentes strates de population dans le monde, en se basant sur les salaires moyens, les chercheurs canadiens en tête de l’étude observent bel et bien un impact des technologies sur la santé, selon The National Library of Medicine

Résultat? Il existe bel et bien une hausse observable des cas d’obésité et de diabète de type II dans les pays en voie de développement ou qui se situent dans la moyenne faible des salaires. Les populations qui découvrent les joies de la technologie semblent afficher un tour de taille plus important que celles des pays pauvres qui ne possèdent pas d’appareils comme des ordinateurs ou des téléphones portables.

Cependant, il est étonnant de constater que cette cause n’est pas observable lorsqu’on passe du côté des pays développés ou « riches », comme le Canada ou la Suède par exemple.

« Même si on a découvert une forte association entre la possession de ces appareils et les taux de diabète et d’obésité dans des pays à faibles revenus, nous avons été incapables de détecter la même relation dans les pays à revenus élevés », confirme l’auteur de l’étude, le Dr Scott Lear.

Les conclusions complètes de cette étude ont été publiées dans le Canadian Medical Association Journal.

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Création d’une vaste étude sur les bienfaits de la nourriture bio

Un accès simplifié aux aliments bios et une crainte face aux produits transformés et aux pesticides ont largement contribué à l’essor de l’industrie de l’alimentation biologique au cours des dernières années.

Avec cette hausse de popularité vient également un large débat sur les dangers réels de l’alimentation dite « traditionnelle », ainsi que sur la véracité des bienfaits allégués par les défenseurs de la nourriture bio.

Pour permettre des réponses plus claires à ces nombreuses questions, un groupe d’experts décide de mettre sur pied une vaste étude sur les bienfaits véritables des produits alimentaires biologiques, rapporte Top Santé.

Baptisée BioNutriNet en lien avec l’initiative française NutriNet Santé, l’étude sera conduite par le professeur Serge Hercberg et la Dre Emmanuelle Kesse-Guyot.

100 000 sujets volontaires, certains consommateurs de bio et d’autres non, seront analysés sous tous les angles durant cinq années, afin d’observer les changements et impacts de leurs différents types d’alimentation sur leur santé.

300 candidats subiront également des tests sanguins, notamment pour évaluer les taux de vitamines et la présence de pesticides dans leur organisme.

Une étude exhaustive, en somme, qui devrait permettre de mieux comprendre les impacts réels des aliments biologiques sur la santé humaine.

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La vitamine C pourrait contribuer à la lutte et au traitement du cancer

La vitamine C pourrait-elle devenir un allié de taille dans la lutte au cancer? C’est ce qu’il est permis de croire lorsqu’on prend connaissance des informations rapportées par Top Santé, en provenance de l’Université du Kansas.

Des chercheurs ont tenté l’expérience de la vitamine C sur des rongeurs, puis sur quelques patients, afin de confirmer leur théorie. Selon eux, ils seraient parvenus à démontrer l’impact de la vitamine C sur la lutte au cancer et son traitement.

En administrant de la vitamine C aux sujets de l’étude, les chercheurs du Kansas ont observé une augmentation de l’impact du traitement par chimiothérapie, en plus d’une amélioration globale de l’état de santé des patients.

Il semble également que la présence ajoutée de vitamine C dans l’organisme permettrait aux cellules saines de le rester, en plus de combattre efficacement le progrès de celles touchées par la maladie.

La coauteure de l’étude, Jeanne Drisko, croit qu’il s’agit là d’une découverte plus qu’intéressante pour la suite des choses.

« Il existe réellement un intérêt à utiliser de la vitamine C pour les oncologues. Les patients sont à la recherche de traitements sûrs et abordables pour gérer au mieux leur cancer. D’après cette étude, et les premières données cliniques, la vitamine C administrée en intraveineuse a exactement ce potentiel. Elle est efficace et accessible à tous », résume Drisko.

Il est aussi très intéressant de lire les observations du Dr Qi Chen, directeur de l’étude, qui croit que comme la vitamine C n’est pas sujette à brevet, cette nouvelle technique pourrait être rapidement utilisée en oncologie, sans main mise ou ralentissement causé par les compagnies pharmaceutiques.

Les prochains tests seront déterminants pour savoir si la vitamine C représente bel et bien un nouvel allié dans la lutte au cancer.

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Le sentiment de contrôle pourrait bien allonger votre espérance de vie

Les gens en contrôle, ou qui ont le sentiment de contrôle, sur les événements et éléments de leur vie pourraient bien bénéficier d’une espérance de vie plus longue que les autres, selon les informations rapportées par The National Library of Medicine.

Une nouvelle étude trace en effet un parallèle entre la longévité et l’attitude affichée par un individu au cours de sa vie, un constat qui n’est pas relevé pour la toute première fois par des chercheurs et spécialistes.

« La santé et la longévité ne sont pas dues qu’à un accès aux soins de santé. L’attitude fait une différence. Comment vous construisez votre attitude et relevez les défis détermine si vous prenez action ou si vous abandonnez, et si vous vous sentez stressé ou motivé. Les personnes avec un fort ou faible sens du contrôle vont percevoir la même situation différemment, que ce soit comme un stress ou comme un défi à relever », explique Margie Lachman, professeure en psychologie.

L’étude parle cependant des personnes sans éducation postsecondaire, étrangement, qui jouiraient au départ d’une moins grande espérance de vie.

Les conclusions de ces recherches vont donc de pair avec de précédentes, qui établissaient elles aussi un lien entre l’attitude, le moral et la longévité.

Les résultats de l’étude fondée par le NIH ont été publiés dans la plus récente édition du journal Health Magazine.

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Un meilleur accès à de bons aliments ne garantit pas une meilleure alimentation

The National Library of Medicine rapporte les conclusions d’une étude en alimentation, qui constate un faible impact social découlant d’un meilleur accès à des aliments jugés « santé ».

En clair, proposer une plus grande offre de produits sains et de commerces en alimentation santé ne garantirait en rien une amélioration des habitudes de consommation des citoyens, selon l’étude proposée par des chercheurs de la Penn State University et de la London School of Hygiene and Tropical Medicine.

Les chercheurs ont analysé pour le bien de l’étude les impacts de l’ouverture d’un nouveau supermarché dans un quartier défavorisé de Philadelphie, l’un des 88 nouvellement ouverts en Pennsylvanie dans le cadre de la démarche Pennsylvania Fresh Food Financing Initiative.

En suivant 650 citoyens sur une période de quatre ans, les chercheurs ont constaté que bien peu avaient changé leurs habitudes alimentaires pour le mieux, même en étant conscients de la soudaine proximité d’aliments frais et bons pour la santé.

Seulement 27 % des citoyens ont utilisé le nouveau supermarché comme source principale d’alimentation, et à peine la moitié a fréquenté le commerce.

L’étude suggère donc que ces initiatives doivent être accompagnées de féroces campagnes de marketing, afin de sensibiliser et encourager les gens à changer leurs habitudes de vie et à profiter des nouveaux commerces qui leur sont offerts.