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Le cerveau d’Einstein partiellement démystifié

Une tentative de la part de deux chercheurs qui cherchaient à mieux comprendre le cerveau et l’intelligence ahurissante d’Albert Einstein aurait porté certains fruits, selon ce que rapporte Top Santé.

Weiwei Men, un chercheur chinois, et Dean Falk, de l’Université de la Floride, ont uni leurs forces pour tenter de percer le mystère. Ils révèlent leurs conclusions dans la plus récente édition du magazine Brain.

Les deux chercheurs prétendent qu’une partie du secret d’Albert Einstein réside dans le système qui relie les deux hémisphères du cerveau l’un à l’autre, particulièrement efficace dans le cas du père de la théorie de la relativité.

En parvenant à créer des photos haute résolution du cerveau d’Einstein et en les comparant à celles de sujets jugés pertinents à l’étude, par exemple des jeunes adultes de 26 ans (âge prolifique d’Albert Einstein), Men et Falk affirment que les connexions qui relient les deux hémisphères du cerveau sont plus sophistiquées ou nombreuses chez Albert Einstein.

« Cette étude, plus que toutes celles qui ont été réalisées jusqu’à aujourd’hui, est la seule qui a véritablement exploré l’intérieur du cerveau d’Einstein », s’enorgueillit Dean Falk, avec raison.

Cela dit, malgré la volonté féroce des scientifiques à vouloir démontrer ce qui a fait d’Einstein un personnage historique éternel, parions que nul ne pourra jamais réduire la personnalité et le charisme unique d’Einstein, ainsi que tout ce qui faisait de lui ce qu’il a été, à une équation mathématique.

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Médias sociaux : Les photos de nourriture ruinent votre appétit

Selon une nouvelle étude alimentaire qui analyse certains comportements sur les médias sociaux en lien avec la nourriture, les fameuses photographies de repas pourraient bien créer un phénomène inverse à celui que l’on croit.

Des chercheurs de la Brigham Young University (BYU) et de l’Université du Minnesota ont analysé le comportement de 232 participants volontaires dans le cadre d’une étude comportementale sur l’appétit et l’alimentation. Ils constatent que le simple fait de voir la nourriture des autres sur internet coupe l’appétit.

« En un sens, vous devenez fatigué de ce goût sans même avoir goûté le plat. C’est de l’ennui sensoriel. Vous êtes passé à autre chose. Vous ne voulez plus cette expérience désormais », explique Ryan Elder, professeur à la BYU et coauteur de l’étude.

La recherche, rapportée par MedicalNewsToday, a été publiée dans The Journal of Consumer Psychology et démontre pour la toute première fois l’impact des médias sociaux sur nos comportements et sur nos désirs.

Par exemple, les participants qui voient défiler des mets sucrés seront plus attirés par le salé, et vice versa. L’un des avantages de ce constat avancé par les chercheurs impliqués dans cette recherche est qu’il serait peut-être souhaitable pour quelqu’un qui veut éviter certains types de nourriture de regarder plusieurs photographies du plat interdit, et ainsi d’arrêter son choix sur autre chose.

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Apple et son iOS 7 donnent-ils la nausée?

Étonnant phénomène que celui rapporté par Top Santé, alors que la célèbre compagnie Apple reçoit plusieurs plaintes hors du commun en lien avec son nouveau système d’exploitation iOS 7, destiné au iPhone.

C’est que plusieurs utilisateurs du iPhone et du système iOS 7 seraient plus sensibles aux animations abondantes et seraient victimes de nausées et d’étourdissements. On pointe notamment di doigt les zooms fréquents, la résolution, l’éclairage et les animations, des facteurs qui s’avèrent pourtant des points positifs qui contribuent au succès du produit.

Sauf que pour les gens plus sensibles et vulnérables, dont ceux victimes du syndrome vestibulaire, l’utilisation du système peut s’avérer dommageable et difficile.

La Vestibular Disorders Association (VEDA) y va donc d’une recommandation importante pour aider les personnes aux prises avec ce genre de problèmes. La VEDA fait remarquer qu’il existe un moyen de changer les options du iPhone et de son système, et d’ainsi réduire le mouvement observable sur l’appareil.

Les gens qui souhaitent le faire peuvent se rendre dans le menu du iPhone, puis dans « Réglages », « Général », puis « Accessibilité » et « Désactiver les animations ».

La VEDA souhaite maintenant voir les compagnies de technologies comme Apple créer de nouvelles options qui permettraient aux clients de choisir une interface plus statique, et ainsi venir en aide aux patients souffrant de problèmes comme le syndrome vestibulaire ou encore l’épilepsie.

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Les agrumes en prévention des kystes

On apprend via Santé Log que les agrumes et ses produits dérivés seraient de puissants ennemis des kystes, et préviendraient notamment de la formation de kystes rénaux, un problème de santé grave.

Ce serait une composante spécifique des agrumes qui serait particulièrement efficace contre la formation de kystes, soit la naringénine.

Cette dernière serait en fait un antioxydant, on l’aurait deviné, et permettrait de lutter efficacement contre la polykystose rénale, selon cette nouvelle étude publiée dans le British Journal of Pharmacology.

La polykystose rénale touche pas moins d’un million de personnes à travers le monde et peut mener à l’insuffisance rénale, et donc à la mort prématurée.

Alors que les traitements de la maladie se font rares, une équipe de scientifiques de l’Université Royal Holloway et de l’Université de Londres croient qu’une partie de la solution se trouve peut-être dans la naringénine.

Après avoir injecté l’antioxydant compris dans les agrumes à une lignée cellulaire, sur laquelle on a déclenché la formation de kystes, les chercheurs ont constaté que la naringénine bloquait le processus kystique, tout simplement.

D’autres études sont à prévoir pour confirmer la cause à effet, mais on suggère déjà aux patients à risque de développer ce genre de problèmes de consommer régulièrement des produits aux agrumes, et on avance même que ces derniers pourraient également venir en aide au métabolisme de personnes diabétiques.

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Le divorce serait particulièrement dangereux pour la santé des hommes

Top Santé rapporte une étude qui confirme certaines théories précédemment avancées par des spécialistes, à savoir que les hommes qui traverseront un divorce risquent d’éprouver des problèmes de santé.

À tout le moins plus que les femmes, comprend-on des informations révélées dans cette étude en provenance de l’Université Cornell, aux États-Unis. On y apprend que les hommes divorcés voient les risques de mort prématurée, de suicide, de dépression et d’AVC augmenter considérablement.

Même chose en ce qui concerne l’abus d’alcool ou la toxicomanie, des comportements qui peuvent justement mener à certains autres problèmes de santé comme ceux énumérés précédemment.

Le professeur Ridwan comment l’étude : « La perception populaire de nombreuses cultures et les médias véhiculent l’idée que les hommes sont solides, résistants et moins vulnérables aux traumatismes psychologiques que les femmes. Il me semble que cette vision humaine est fausse. Les hommes ayant subi un traumatisme psychologique, comme le divorce, la faillite, la guerre et le deuil sont plus vulnérables que les femmes et perdent plus facilement et rapidement leurs points de repère ».

De plus, comme les hommes eux-mêmes vivent convaincus de ce stéréotype, ils seront moins enclins à demander et quérir de l’aide pour les aider à traverser le deuil et l’épreuve, croit Ridwan, à juste titre.

Deux autres études récentes ont par ailleurs indiqué de meilleures chances de survie au cancer (20 %) chez les hommes mariés, ainsi qu’une longévité accrue, en moyenne. Il semble que l’état civil d’un homme influence beaucoup plus sa destinée qu’on aurait pu le croire.

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Le beurre d’arachides ferait baisser les risques de développer un cancer du sein

Stupéfiante étude que celle rapportée par MedicalNewsToday, qui fait état d’une baisse significative des risques de développement du cancer du sein grâce… au beurre d’arachides.

L’étude américaine constate en effet que les filles et adolescentes qui consomment du beurre d’arachides entre l’âge de 9 et 15 ans voient les risques de cancer du sein diminuer de près de 40 %! Une statistique éloquente, qui ne peut être expliquée que par le facteur chance ou diminuée par un pourcentage d’erreur.

« Ces résultats suggèrent que le beurre d’arachides peut contribuer à abaisser les risques de cancer du sein chez la femme », confirme le Dr Graham Colditz, de la Washington University School Medicine basée à St. Louis.

Dr Colditz et son équipe croient par ailleurs que les données ne s’arrêtent pas là et prétendent que la consommation de protéines végétales, de noix et de beurre d’arachides pourrait aussi aider les femmes de tous âges.

Ce n’est pas la première étude qui vante les mérites des noix en prévention du cancer et des maladies cardiovasculaires, mais c’est la première du genre à établir un lien direct de prévention du cancer du sein chez la femme, à tout le moins grâce au beurre d’arachides de façon spécifique.

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Fluor dans l’eau potable : une polémique mondiale

Ce n’est pas qu’au Québec que le dossier du fluor dans l’eau potable fait jaser, mais bien partout dans le monde.

C’est ce qu’on comprend de cet article publié par le Daily Mail (UK), qui révèle certaines données inquiétantes en lien avec ce dossier chaud. Les résultats et inquiétudes subséquentes de la part d’experts et d’observateurs découlent d’une récente étude sur le sujet, qui fait état d’une possible hausse des risques de démence chez les consommateurs d’eau potable dont on aurait manipulé les taux de fluor.

Des observations qui s’appliquent donc tout à fait chez nous, puisque les raisons avancées en territoire européen pour expliquer l’affaire sont sensiblement les mêmes que chez nous.

Dont la principale, soit celle qui vante les mérites du fluor dans l’eau pour contrer les caries dentaires, notamment chez les tout-petits. Moins de caries, mais aussi plus de chances de voir se développer des maladies cérébrales et neurologiques comme la démence, voilà une transaction qui n’est pas équitable, croient plusieurs chercheurs.

C’est l’opinion de Doug Cross, qui lance en conclusion : « Le problème va au-delà d’une histoire de plombages, car une exposition massive au fluor peut entraîner des problèmes dentaires. De plus, comme il est avancé qu’un tiers de nos personnes âgées de plus de 65 ans mourront d’Alzheimer, ajouter un risque supplémentaire est simplement fou ».

Pendant ce temps, au Québec, le dossier a littéralement sombré dans l’oubli.

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Angelina Jolie fait-elle augmenter les requêtes de mastectomie?

Le Daily Mail (UK) rapporte une hausse des demandes de mastectomie, un phénomène que le journal n’hésite pas à lier à l’histoire d’Angelina Jolie, le baptisant même « l’effet Jolie ».

Les données britanniques rapportées semblent en effet confirmer une hausse spectaculaire des requêtes pour une mastectomie de la part des femmes à risque de développer un cancer du sein.

Un risque que les spécialistes sont maintenant capables de chiffrer, en analysant le bagage génétique d’une patiente. C’est précisément l’histoire d’Angelina Jolie, qui avait décidé d’opter pour une mastectomie complète après avoir reçu confirmation qu’elle portait le gène BRCA1, portant ses chances de développer un cancer du sein à 87 %.

Il semble que le choix de l’actrice ait influencé toute une génération de femmes, qui ont alors pris d’assaut le web afin de s’informer. Le phénomène s’est ensuite traduit par une hausse de telles demandes dans les cliniques et centres en oncologie, confirment plusieurs spécialistes.

Alors que plusieurs observateurs saluent le courage d’Angelina Jolie, d’autres croient plutôt qu’il faut être très prudent avec ce genre d’intervention, extrême s’il en est une, et rappellent qu’il existe d’autres alternatives pour faire baisser les risques de développer un cancer du sein.

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30 minutes d’activité physique par jour suffisent

30 minutes d’activité physique par jour suffisent, affirment des chercheurs de l’Université de Copenhague qui déposent les résultats de leur recherche sur le sujet, rapporte Santé Log.

Quelques publications précédentes abondaient en ce sens, mais cette plus récente étude vient confirmer cette théorie. Publiée dans le Scandinavian Journal of Public Health, l’étude parle même de l’inutilité d’en faire trop, c’est-à-dire plus de 30 minutes d’activité par jour.

Ce seuil serait optimal pour conserver une bonne forme physique et pour éviter une perte de temps, croient les chercheurs qui observent des gains identiques chez les personnes qui passent 30 minutes par jour à bouger que chez celles qui s’y consacrent 60 minutes.

Outre le gain de temps et de résultats remarquables, le fait d’opter pour 30 minutes d’activité physique quotidienne au lieu de 60 permettrait également de garder une belle motivation, et d’ainsi étirer la bonne habitude à long terme!

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Le manque de sommeil directement lié à une prise de poids

Des chercheurs de la recherche scientifique canadienne confirment ce que plusieurs spécialistes avançaient déjà depuis un bon moment, en affirmant qu’il existe une cause à effet directe entre le sommeil et la prise de poids.

Le manque de sommeil pour être exact, puisqu’il semble que les gens qui ne jouissent pas de nuits de sommeil de qualité stables sont plus enclins à prendre du poids, selon les informations rapportées par Radio-Canada.

Alors que le nombre d’heures de sommeil suggéré oscille autour de huit heures par nuit, les gens qui en dorment moins que six seraient prédisposés à grossir, ce qui expliquerait en partie la hausse massive du poids moyen des Canadiens, selon les chercheurs.

Attention, cette règle s’appliquerait également à ceux qui dorment trop! On mentionne en effet que les gens qui dorment dix heures et plus par nuit (ou par jour) sont sujets aux mêmes risques que ceux qui dorment trop peu.

Les fameux mouvements circadiens, ou l’horloge biologique interne, seraient responsables de l’impact du sommeil sur le poids et la santé. De plus en plus de recherches confirment cette cause et permettent d’en savoir davantage sur ce phénomène interne du corps, dont l’impact semble largement sous-estimé par la population.