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Les enfants qui survivent au cancer ont des effets secondaires tardifs

Les avancées médicales tentent d’aider le plus d’enfants possible atteints du cancer à survivre et à mener une vie en santé. Cependant, des données fournies par des chercheurs de l’University of Florida Health confirment que survivre à un cancer infantile n’apporte pas que de bonnes nouvelles.

Après étude, rapporte Science World Report, c’est 70 % des survivants qui se retrouvent avec des effets secondaires néfastes 30 ans plus tard.

« La prévalence de ces symptômes est primordiale dans l’écart de la qualité de vie physique, mentale et sociale chez les survivants, » mentionne I-Chan Huang, auteur de la recherche. « En comprenant que ces symptômes sont la clé de la qualité de vie chez les patients, nous pouvons améliorer leur sort en diminuant ces effets à long terme. »

En tout, 1667 survivants à des cancers pendant l’enfance ont participé à l’étude. L’exposition à la toxicité reliée aux traitements du cancer a été mesurée, puis un questionnaire sur la qualité de vie des survivants leur a été soumis. Près de 70 % d’entre eux vivaient avec au moins un symptôme découlant du traitement de chimiothérapie, même 40 ans après celui-ci.

Le détail complet de l’étude se retrouve dans la revue Journal of Clinical Oncology.

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Accouchement : l’enquête nationale sur les maternités du Canada fait le point

Si l’on compare aux années 90, l’enquête nationale sur les maternités du Canada a constaté qu’au cours des dernières années, il y a 7 % moins d’hôpitaux qui acceptent les conjoints ou autres personnes de soutien dans la salle pendant le travail de la future mère.

Cette statistique à la baisse serait probablement due à l’épidémie du SRAS en 2004 qui en a effrayé plus d’un. Cependant, selon les chercheurs, il faudrait remédier à cette situation en encourageant à nouveau la présence du partenaire, car cela favorise de meilleures naissances et fait vivre une plus belle expérience au couple.

L’étude a également démontré que la fréquence cardiaque foetale de routine de surveillance est de plus en plus utilisée et qu’on limite davantage le temps accordé aux femmes pour passer au deuxième stade du travail. Deux pratiques qui, selon l’enquête, peuvent augmenter le risque de césarienne et d’autres interventions.

Selon la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, la césarienne est aujourd’hui trop normalisée. Malgré les risques de complications et un temps de récupération plus exigeant pour la mère à la suite d’une intervention chirurgicale, plus d’un enfant sur quatre nait tout de même par césarienne.

L’étude, qui est parue dans le Journal d’obstétrique et de gynécologie du Canada, ne démontre pas seulement des points à améliorer ou à modifier dans les hôpitaux lors d’un accouchement, mais aussi des points positifs.

Par exemple, le fait que l’accès à l’anesthésie péridurale pour le contrôle de la douleur pendant le travail et la naissance ait passé de 55 % en 1993 à 87 % en 2007 est une bonne chose, selon des médecins. Par contre, il y a encore trop d’hôpitaux qui utilisent à l’aveuglette la péridurale. Presque toutes les femmes ont recours à cette anesthésie et la plupart d’entre elles ne seraient pas en mesure de peser les pour et les contre.

Une baisse radicale (62 à 17 %) de l’utilisation de l’épisiotomie de routine (incision dans la paroi vaginale pour la tête du bébé) a également été remarquée. Il semblerait aussi qu’une plus grande liberté sur le choix de la position d’accouchement est accordée aux femmes. De moins en moins sont prisonnières des étriers. La position verticale (debout, accroupie ou assise) et la déviation de la tête du bébé pour permettre plus de mouvements dans le bassin sont encouragées par les médecins pour améliorer de beaucoup le travail.

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Mise en garde contre un médicament pour le foie

Les fabricants de l’Ursodiol, ou acide ursodéoxycholique, et Santé Canada émettent un avis concernant ce médicament utilisé pour traiter la maladie du foie nommée cholangite sclérosante.
 
Cette maladie est caractérisée par un gonflement, une scarification et une destruction des veinules biliaires du foie. Les personnes les plus vulnérables sont surtout celles ayant déjà une maladie, comme une défaillance immunitaire, des pancréatites chroniques et la maladie de Crohn.
 
Chez des personnes qui ont reçu une double dose d’Ursodiol, on a noté des effets secondaires graves comme un gonflement des veines du tube digestif, mais aussi un besoin d’une transplantation de rein et même la mort, et ce, malgré une amélioration de leur état en ce qui concerne leur maladie du foie.
 
Par contre, on insiste sur le fait que les personnes qui font usage de ce médicament ne doivent pas cesser de le prendre sans l’avis de leur médecin traitant. Ces personnes devraient plutôt parler de leur traitement lors de leur prochaine visite.
 
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Dangers des pesticides pour le foetus

On peut lire dans le journal Développement durable qu’un herbicide, l’atrazine, a été reconnu comme étant un perturbateur endocrinien.

Selon des chercheurs de l’Université de Rennes, l’exposition à cet herbicide causerait des séquelles au fœtus, telles qu’un faible poids ou encore une petite circonférence crânienne.

On avait déjà fait ces mises en garde après que des femmes enceintes aient été exposées à ce type de pesticide de 2002 à 2006. De l’eau contaminée était la cause de cette exposition.
 
Rappelons que l’atrazine a été interdite en 2003 par l’Union européenne, mais de petites quantités se retrouveraient encore dans l’eau.
 
Nous savons aujourd’hui que même une faible dose de pesticide peut avoir des conséquences sur le développement du fœtus et, par le fait même, sur la santé de l’enfant après sa naissance.

 Il faudrait donc que les pesticides pouvant avoir un effet perturbateur endocrinien soient retirés du marché.

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Effets nocifs des médicaments sur les enfants

Le magazine Pediatrics dévoile les résultats plutôt inquiétants d’une étude effectuée par des chercheurs de l’Hôpital pour enfants de Boston.

En effet, bien que les effets secondaires des médicaments courants soient plutôt légers et temporaires, ils pourraient s’avérer plus nocifs chez les enfants.

Sur une période de 10 ans, on a observé que plus de 500 000 enfants par année sont traités en clinique ou aux urgences pour des effets indésirables des médicaments.

Les plus grands risques touchent surtout les moins de 4 ans. On note souvent des éruptions cutanées et des gastro-entérites. 52% des cas ont une réaction allergique qui est découverte parce que le médicament a été ingéré pour la première fois. 22 % des enfants se retrouvent à l’hôpital pour des complications.

On recommande donc une plus grande vigilance et un accès plus facile à la liste de tous les effets secondaires possibles.

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Les effets secondaires des médicaments

Selon un rapport de l’Agence américaine du médicament, de plus en plus de décès et de cas d’effets secondaires liés à l’utilisation de médicaments sont rapportés aux autorités fédérales depuis une dizaine d’années.

La plupart des cas signalés concernent la prise d’analgésiques ou de médicaments visant à améliorer le système immunitaire.

Selon la Food and Drug Administration (FDA), plus de 460 000 individus ont été affectés gravement ou sont décédés à la suite de l’utilisation d’un médicament depuis 1998.

Le rapport, publié dans Archives of Internal Medicine, contient des données qui confirment qu’en 2005, plus de 15 000 décès liés à des médicaments ont été recensés, soit environ 10 000 de plus qu’en 1998.

En outre, 1489 différents médicaments seraient à l’origine des troubles qu’ont subis les individus mentionnés plus haut, mais seulement 51 médicaments ont provoqué 43 % des réactions indésirables.

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Optez pour l’hypnose avant une chirurgie

Selon une étude parue dans le Journal of the National Cancer Institute, le rétablissement post-chirurgical des femmes ayant été au préalable hypnotisées serait plus rapide et moins douloureux.

Selon cette étude américaine, une fois sortie de l’hôpital, les patientes ayant eu une séance d’hypnose auraient moins d’effets secondaires attribuables à la chirurgie.

Le psychologue clinicien Guy Montgomery, de la Faculté de médecine Mount Sinai à New York, affirme que ces femmes auraient moins de nausées, de douleurs, de fatigue et d’inconfort.

De plus, le rétablissement plus rapide des femmes hypnotisées pourrait représenter une économie d’argent pour les hôpitaux si le séjour en salle de réveil est de plus courte durée pour ces femmes opérées pour le cancer du sein. 

Selon les chercheurs de cette étude, seuls des psychologues hautement qualifiés en hypnose pourraient entraîner un impact post-chirurgical positif.