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Les deux meilleurs moyens de prévenir la grippe

À l’ère de la technologie et des percées médicales constantes, on pourrait s’attendre à ce que de nouvelles façons, hormis le vaccin, soient proposées ou découvertes pour prévenir la bonne vieille grippe lors de la saison hivernale.

Or, selon les informations rapportées par Top Santé, des chercheurs se sont penchés sur les meilleures méthodes présumées pour prévenir et contrer la grippe, pour finalement couronner deux des plus vieux trucs du monde comme meilleures façons d’y parvenir.

En effet, selon les chercheurs de l’équipe du Dr Michael Allan, basée à l’Université d’Alberta, le simple fait de se laver les mains et quelques apports supplémentaires en zinc seraient toujours les deux meilleures manières de repousser le virus de l’influenza le plus longtemps possible.

Le Dr Allan a analysé plusieurs études précédentes pour en arriver à ce constat, et malgré l’impact présumé du zinc en prévention de la grippe, le spécialiste ne conseille cependant pas une prise systématique de suppléments.

« Ce n’est pas quelque chose que je recommanderais sur une base régulière. Le zinc peut mener à des nausées et n’a pas un goût particulièrement plaisant », explique-t-il.

Le lavage de main s’avère cependant une solution plus simple et plus efficace.

Les probiotiques ont aussi été mentionnés comme possible solution préventive.

Le Dr Michael Allan publiait ces conclusions, ainsi qu’une analyse des traitements possibles une fois la grippe contractée, dans le Canadian Medical Association Journal.

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Le climat scolaire plus efficace pour la prévention des drogues

Aux États-Unis, une école secondaire sur cinq utilise le dépistage de drogue comme moyen de prévenir ou de décourager l’usage de marijuana. Malheureusement, les résultats de cette pratique s’avèrent peu efficaces, selon Science World Report.

« Même si le dépistage de drogue à l’air d’un bon moyen préventif, basé sur la science, cela ne fonctionne pas », a déclaré Daniel Romer, de l’University of Pennsylvania Annenberg Public Policy Center en Pennsylvanie.

La recherche effectuée par son équipe a porté sur un échantillon de 361 étudiants, dont le tiers avait procédé au dépistage de drogues. Les scientifiques ont découvert que ceux-ci étaient tout aussi enclins à l’utilisation de tabac, de l’alcool ou de drogues.

Cependant, les chercheurs ont remarqué une corrélation entre l’atmosphère positive d’un milieu scolaire, notamment où l’on encourage le respect entre les professeurs et les élèves et où l’encadrement est plus proactif, et la diminution des dépendances à ces substances.

Les étudiants évoluant dans ces milieux étaient 20 % moins à risque d’essayer la marijuana, puis à 15 % relativement aux produits du tabac. Cependant, l’usage d’alcool, dans tous les cas, demeurait inchangé.

Le détail de l’étude a été publié dans le Journal of Studies on Alcohol and Drugs.  

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Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

On confirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

onfirme l’efficacité du vaccin contre le VPH, selon les renseignements rapportés par Santé Log.

C’est que plusieurs essais démontrent l’efficacité du produit à plusieurs niveaux, notamment contre le cancer de la gorge, l’un des risques associés à la maladie.

On avait précédemment confirmé son efficacité contre le cancer du col de l’utérus, ce qui fait dire aux spécialistes qu’il faut améliorer les campagnes de sensibilisation ainsi que les taux de vaccination dans le monde.

Car, malgré la montée en flèche et la virulence du virus, les statistiques de vaccination demeurent trop faibles au goût de plusieurs observateurs, à commencer par ceux du CIRC, qui publient leurs conclusions et leurs recommandations dans la plus récente édition du magazine PLOS One.

Ceux-ci rappellent également l’importance de la vaccination chez les garçons, et non uniquement chez les jeunes femmes.

Consultez votre médecin ou un professionnel de la santé pour obtenir plus de détails concernant le vaccin contre le VPH.

Crédit photo : www.freedigitalphotos.net

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Manger des poissons gras pourrait réduire le risque de cancer du sein

Consommer une à deux fois par semaine des acides gras oméga-3 provenant de poissons gras, comme le saumon, le thon ou les sardines, permettrait de réduire le risque de cancer du sein, selon une analyse publiée vendredi (28 juin).

Alors que plusieurs études avaient déjà fait état du rôle protecteur des oméga-3 par rapport aux maladies cardiovasculaires, des chercheurs chinois ont passé en revue 26 études portant sur 800 000 femmes et environ 20 000 cas de cancer du sein réalisées aux États-Unis, en Europe et en Asie.

Ils ont montré que la consommation d’une à deux portions de poissons gras par semaine était associée à une réduction de 14 % du risque de cancer du sein.

Selon l’équipe dirigée par le professeur Duo Li de l’Université du Zhejiang, une augmentation de 0,1 g d’oméga-3 provenant du poisson par jour réduisait le risque de cancer du sein de 5 %.

Les oméga-3 sont des acides gras essentiels au développement et au bon fonctionnement du corps humain. Il en existe 4, connus par leurs initiales, EPA, DHA et DPA, qu’on trouve essentiellement dans les poissons gras (saumon, thon, maquereau, hareng, sardine et anchois) et ALA, présent dans les huiles végétales (noix, huile de colza, soja, lin) et dans une moindre mesure dans la viande, les produits laitiers ou les oeufs.

Dans leur étude, publiée dans la revue British Medical Journal, les chercheurs chinois notent toutefois que seuls les oméga-3 d’origine marine ont été associés à une réduction du risque de cancer du sein, aucune « association significative » n’ayant été observée avec les autres oméga-3.

Ils soulignent également que « le risque était le plus bas dans les populations asiatiques, probablement parce que la consommation de poisson y est bien supérieure à celle observée dans les pays occidentaux ».

Le cancer du sein est l’un des plus fréquents à l’échelle mondiale. En 2008, il représentait, selon l’étude, près de 23 % de l’ensemble des cancers et 14 % des décès.

Selon divers travaux publiés ces dernières années, l’alimentation et le mode de vie pourraient jouer un rôle dans l’apparition de ce cancer à côté de facteurs génétiques, de mieux en mieux connus, comme les mutations des gènes BRCA1 ou BRCA2, qui prédisposent au cancer du sein.

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Le vaccin contre le VPH s’avère efficace

Bonne nouvelle dans le dossier du VPH (virus du papillome humain), qui prend de plus en plus de place dans l’actualité depuis l’an dernier.

Surtout après que des spécialistes aient établi que le virus transmissible sexuellement pouvait aussi contribuer fortement au développement du cancer, un fait propulsé aux quatre coins du monde par l’histoire contradictoire de l’acteur Michael Douglas, récemment.

Les nouvelles sombres concernant le VPH font maintenant place à de l’optimisme, alors que Santé Log rapporte une étude publiée dans le Journal of Infectious Diseases qui confirme l’efficacité du vaccin.

Ce dernier avait passé les phases d’essais cliniques traditionnels il y a quelques années, mais encore faillait-il que la population adopte le vaccin, ce qui semble chose faite.

En effet, on rapporte une réduction du VPH chez les jeunes Américaines, après des hausses constantes enregistrées année après année.

On constate que les campagnes de sensibilisation et le bouche-à-oreille pourraient finalement avoir porté des fruits, et ainsi permettre de sauver des milliers de vies à moyen et long terme.

Même s’il reste encore beaucoup de travail à faire, les spécialistes des Centers for Disease Control and Prevention se réjouissent de ce pas dans la bonne direction. 

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Un nouveau test pourrait mieux définir le traitement de la dépression

Les antidépresseurs demeurent une bonne avenue pour soigner certains cas de dépression, mais on constate de plus en plus que certains abus pourraient être évités.

De plus, beaucoup d’études commencent à démontrer, voire prouver, que la solution la plus efficace à long terme pour permettre une véritable rémission s’avère la bonne vieille psychothérapie.

Bien entendu, chaque situation commande une action différente, et c’est justement ce principe qui a mené des chercheurs d’Atlanta, en Géorgie, à mettre au point un test qui permet de mieux comprendre chaque situation et d’offrir le bon traitement qui s’y rattache, explique le Daily Mail (UK)

Le test, sous forme de numérisation, analyse différents taux et différentes fonctions du cerveau qui, sans entrer dans les détails complexes, permettent de poser un bien meilleur diagnostic que celui d’une simple dépression.

Un diagnostic plus précis signifie inéluctablement un traitement plus efficace.

« Ces nouvelles données suggèrent que si vous traitez un patient selon le type de cerveau (et de ces résultats d’analyse), vous augmentez les chances de rémission de celui-ci », confirme la Dre Helen Mayberg, professeure de psychiatrie et auteure principale de cette étude fort intéressante.

De plus en plus de spécialistes s’accordent pour dire que la hausse des prescriptions d’antidépresseurs représente un problème de société relativement inquiétant.  

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Grossesse : prendre du fer deux fois par semaine seulement est aussi efficace

Pour des femmes enceintes, prendre un complément alimentaire de fer deux fois par semaine est aussi efficace qu’une prise quotidienne pour le poids de l’enfant à la naissance et son développement, selon une étude publiée mardi (18 juin).

En outre, les femmes prenant du fer sur une base bihebdomadaire oublient moins souvent d’avaler ce complément, selon les auteurs de cette recherche internationale parue dans la revue américaine PLoS Medicine.

Ces derniers ont constaté que cette fréquence de prise d’un complément de fer pouvait améliorer le développement cérébral des enfants à six mois.

Ces résultats sont importants, car le fer est essentiel pour la formation de l’hémoglobine, une protéine des globules rouges qui fixe l’oxygène et le transporte dans le sang de la mère et du foetus.

Des carences de fer provoquent de l’anémie, une condition médicale qui affecte plus de deux milliards de personnes dans le monde.

Les chercheurs, dirigés par Beverley Biggs de l’Université de Melbourne en Australie, sont parvenus à ces conclusions en comparant la fréquence des prises de complément de fer et d’acide folique (vitamines B) chez des femmes enceintes dans une région semi-rurale du Vietnam.

Un premier groupe de 425 femmes a pris ce complément quotidiennement, et l’autre groupe de 407 femmes l’a pris deux fois par semaine.

Les auteurs de l’étude n’ont constaté aucune différence de poids à la naissance chez les enfants dans les deux groupes ainsi que dans le nombre de prématurés, de fausses couches ou de mortalité néonatale. À six mois, il n’y avait pas non plus de différence dans les niveaux d’hémoglobine chez les enfants, de prévalence d’anémie ou dans les taux de croissance.

En revanche, ces chercheurs ont observé que les enfants nés de mères qui avaient pris le complément de fer-acide folique deux fois par semaine avaient un meilleur développement cognitif que ceux dont la mère prenait ce complément quotidiennement.

 

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Le séchoir à mains serait moins efficace que le bon vieux papier

S’il peut sembler banal, léger et quasi inutile, le débat proposé par cette étude publiée dans le Clinique Mayo Proceedings s’avère cependant beaucoup plus important qu’on pourrait le croire, rapporte Santé Log.

La question est la suivante : doit-on privilégier le séchoir à mains ou le bon vieux papier après s’être lavé les mains dans un lieu public?

D’abord, lorsqu’on sonde l’intérêt ou la préférence des gens entre les deux outils, le papier remporte le concours de popularité, souvent de beaucoup. Il reste à savoir si cette méthode est aussi efficace, ce à quoi ont décidé de répondre des chercheurs australiens de l’Université Queensland, en collaboration avec des chercheurs chinois.

On vous fait grâce des nombreuses statistiques énoncées dans la publication de ces recherches, mais disons simplement que presque tous les tests mènent au même résultat : le séchage des mains à l’ancienne, avec papier, demeure beaucoup plus efficace que sa version technologique par séchoir.

On devrait par conséquent proposer cette option aux gens en milieux publics comme les hôpitaux et les écoles, croient les chercheurs concernés, afin d’assurer la sécurité publique et de prévenir la prolifération de bactéries comme l’E. coli ou encore de virus comme l’influenza et ses nouvelles souches.

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Nouveau traitement prometteur contre le cancer du poumon

Radio-Canada rapporte une nouvelle intéressante et encourageante concernant la lutte au cancer, plus particulièrement celle au cancer du poumon, qui fait des ravages.

On explique qu’un traitement expérimental s’avère fort prometteur, alors qu’il semble que plusieurs patients ont vu leur espérance de vie être allongée à la suite des essais cliniques.

On parle même de personnes aux prises avec un cancer du poumon de stade très avancé, ce qui jette un vent d’optimisme chez les patients et spécialistes.

Ce sont des chercheurs de l’Université d’Emory, aux États-Unis, qui conduisent les tests et qui confirment maintenant l’efficacité du traitement.

« C’est la première étude clinique qui démontre l’efficacité d’un inhibiteur de la protéine Hsp90 chez des patients atteints d’un cancer avancé du poumon », révèle notamment Suresh Ramalingam, cancérologue et chercheur associé au développement de ce nouveau traitement, d’ailleurs appelé Ganetespid.

On attend maintenant avec impatience les résultats des essais cliniques de phase 3, qui pourraient confirmer que ce traitement est le plus performant et efficace à être développé depuis dix ans.

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Le vaccin contre la fièvre jaune serait efficace dès la première dose

Les voyageurs, qu’ils soient hommes d’affaires ou touristes en tous genres, connaissent bien les aléas des vaccins et des nombreuses maladies qui parcourent le globe.

De nombreux voyageurs doivent donc se soumettre chaque année à différents tests médicaux et séances de vaccination, à commencer par celui contre la fièvre jaune.

Depuis longtemps, on administrait sporadiquement des doses de ce vaccin, afin de maintenir une protection complète.

Mais voilà, selon le Telegraph (UK), qui rapporte des conclusions obtenues de la part d’une équipe de l’OMS, on croit maintenant qu’une seule dose du vaccin contre la fièvre jaune serait suffisante pour assurer une protection à un patient jusqu’à la fin de ses jours.

Les changements des normes en la matière pourraient prendre du temps avant d’être instaurés, puisque la fièvre jaune inquiète encore plusieurs dirigeants et spécialistes à travers le monde. C’est d’ailleurs pourquoi cette maladie est la seule qui requiert encore aux voyageurs un certificat officiel de vaccination.

Cela pourrait prendre deux ou trois ans, mais si on se fie sur l’exemple du choléra, qui a nécessité 17 ans avant que des changements soient appliqués, les voyageurs devront probablement s’armer de patience.