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Une protection contre la grippe pas aussi bonne qu’on le croit

En cette période de grippe, voici une mauvaise nouvelle. Alors que les campagnes de vaccination contre la grippe ont débuté, voilà qu’une étude américaine publiée dans la revue spécialisée The Lancet remet en cause le vaccin contre la grippe.
 
Selon les chercheurs, le vaccin ne serait que très peu efficace, contrairement à ce que l’on pensait.
 
Après avoir analysé une trentaine d’études sur le sujet, les scientifiques concluent que le vaccin contre la grippe ne serait efficace que pour 59 % des personnes âgées de 18 à 65 ans. Pour les autres, le vaccin ne protègerait pas contre l’infection.
 
« De nouveaux vaccins avec une efficacité clinique améliorée sont nécessaires pour réduire significativement les taux de morbidité et de mortalité liés à la grippe », disent les auteurs.
 
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D’autres bienfaits au télétravail

Les télétravailleurs seraient non seulement plus heureux, mais auraient également une meilleure santé et une vie plus équilibrée, selon une étude menée par Staples Advantages et publiée par BusinessNewsDaily.
 
Les personnes qui travaillent de la maison seraient plus productives et plus en phase avec leur emploi.
 
Déjà en 2010, une étude américaine avait révélé que le télétravail augmentait l’efficacité et la satisfaction personnelle. Bien que l’interaction avec des collègues soit bénéfique au bureau, la rivalité qui peut survenir au sein des employés accentue le stress et réduit l’efficacité.
 
Le télétravail fait même l’envie de plusieurs, car selon l’étude, 40 % des employés seraient prêts à diminuer leur salaire pour bénéficier de cet avantage. En effet, 20 % d’entre eux iraient jusqu’à réduire leur salaire de 10 %.
 
De nombreuses personnes aimeraient profiter de cette liberté que procure le télétravail. 40 % renoncerait à leur plat préféré ou à une heure de sommeil plutôt que de retourner au bureau.
 
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Ayez une plante au bureau pour diminuer le stress

Une récente recherche dévoile que la présence d’une plante en pot sur votre bureau peut réduire la fatigue, le stress, la gorge sèche, les maux de tête, la toux et la peau sèche.
 
En d’autres mots, avoir une plante est bon pour la santé, concluent les chercheurs. Ces derniers ont examiné 385 employés de bureau, selon le nombre de plantes qu’ils avaient et les journées de congé de maladie qu’ils prenaient.
 
Plus il y a de plantes et moins les journées de congé de maladie sont fréquentes.
 
On croit que les plantes et les microbes de leur sol absorbent les composés organiques volatiles qui peuvent nuire à la santé. Certains experts croient simplement que cela ne serait qu’un effet psychologique, car les gens croient qu’avoir une plante est bon pour la santé.
 
Quoi qu’il en soit, on remarque des résultats, surtout dans les bureaux où les employés n’ont pas de fenêtres, indique le Daily Mail.
 
La présence de plantes dans les bureaux rendrait également les personnes plus productives, en plus de réduire leur tension artérielle.
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Le sucre augmenterait l’efficacité des antibiotiques

Des chercheurs de l’Université de Boston ont découvert qu’une cuillère de sucre pouvait rendre les antibiotiques plus efficaces pour combattre les infections chroniques et récurrentes.
 
Avec le temps, les bactéries à l’origine des infections deviennent de plus en plus résistantes aux antibiotiques, donc plus difficiles à traiter et récurrentes également.
 
Voilà que le glucose et le fructose (contenu dans certains végétaux) rendraient les bactéries plus vulnérables aux médicaments, facilitant ainsi la guérison.
 
Des tests en laboratoire ont démontré des effets considérables, notamment avec la bactérie E. coli. Des résultats ont été notés après seulement deux heures.
 
Selon la revue Nature, qui rapportait les résultats de ces travaux, les scientifiques souhaitent maintenant mesurer si le sucre aura les mêmes effets stimulants pour mieux traiter la tuberculose, qui gagne du terrain dans certains pays du globe en ce moment.
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Les anti-inflammatoires réduisent l’efficacité des antidépresseurs

Des chercheurs américains auraient découvert pourquoi certaines personnes qui prennent des antidépresseurs répondent moins bien au traitement.
 
Selon les docteurs Paul Greengard et Jennifer Warner-Schmidt de l’Université Rockfeller, les anti-inflammatoires comme les aspirines ou Advil réduisent considérablement l’efficacité des antidépresseurs communs tels que le Prozac.
 
Selon l’étude parue dans Proceedings of the National Academy of Science, de premiers résultats avaient été constatés chez des souris et ont ensuite pu être confirmés sur l’humain. Les chercheurs ignorent toutefois ce qui provoque le phénomène.
 
Par contre, on remarque une différence importante. Les personnes qui prennent des antidépresseurs sans anti-inflammatoires répondent bien au traitement dans 54 % des cas, mais avec des anti-inflammatoires, ce résultat chute à 40 %.
 
D’autres études seront donc effectuées pour trouver le mécanisme qui provoque une telle chute de l’efficacité du traitement.
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Un médicament contre l’alcoolisme n’est pas efficace pour tout le monde

La naltrexone (ReVia) est l’un des rares médicaments approuvés pour traiter la dépendance à l’alcool. On avait toutefois constaté que ce dernier n’avait aucun effet chez certaines personnes et les chercheurs en ignoraient la raison jusqu’ici.
 
La revue Alcoholism: Clinical and Experimental Research dévoile qu’une équipe de l’Université McGill, sous la supervision du Dr Marco Leyton, a découvert que le médicament était efficace seulement chez les personnes porteuses d’un gène en particulier.
 
Selon les résultats préliminaires de leurs travaux, le ReVia est efficace uniquement si la personne a le gène lié au système de sécrétion de la morphine dans le cerveau (OPRM1). « Ces découvertes pourraient nous aider à nous assurer que nous donnons le bon médicament aux bonnes personnes », explique le Dr Leyton.
 
Ainsi, en sachant d’avance quel patient réagira au traitement, les médecins pourraient donc le prescrire seulement aux personnes concernées et éviter des dépenses inutiles et une perte de temps pour les autres.
 
Les résultats doivent toutefois se confirmer par des études plus approfondies.
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Les statines remises en question

La revue américaine réputée Cochrane met en garde les gens et les médecins contre l’utilisation des statines pour prévenir les problèmes cardiaques.
 
Ces médicaments sont des anticholestérol fréquemment prescrits pour prévenir un premier événement cardiaque chez les personnes qui ont un risque de maladies du cœur.
 
Après avoir analysé 14 études totalisant 34 000 personnes, on remet en doute l’efficacité des statines comme moyen de prévention.
 
On souligne que les précédentes études comportaient plusieurs lacunes et erreurs, dont le manque flagrant d’informations importantes sur les effets secondaires, surtout à long terme.
 
« Toutes ces erreurs sapent la validité des résultats. Il devient malaisé de se fier à ces études pour soupeser les bienfaits et les dangers de ces médicaments pour des patients à faible risque. Chez les personnes à haut risque (risque de décès de 20 % ou plus sur 10 ans), les bienfaits supplantent les dommages potentiels à court terme, mais les effets indésirables à long terme demeurent inconnus », mentionne le chercheur Carl Henegan.
De plus, plusieurs études étaient financées par des compagnies pharmaceutiques. « Il est bien établi que les études parrainées par l’industrie sont plus susceptibles de rapporter des résultats qui préfèrent le médicament au placebo », ajoute-t-il.
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Des défibrillateurs cardiaques installés inutilement

Une étude américaine nous apprend qu’un défibrillateur sur cinq est installé inutilement sur des patients. Ces derniers sont installés sans preuve solide qu’ils seront efficaces pour les personnes concernées.
 
Après avoir analysé le dossier de 112 000 patients entre 2006 et 2009, on constate que 22 % d’entre eux se situe dans l’une des catégories où les défibrillateurs ne sont pas recommandés, comme chez les personnes qui viennent de subir un infarctus ou un pontage coronarien, ou encore chez les personnes avec une insuffisance cardiaque ou dont la maladie a raccourci l’espérance de vie.
 
« C’est un manque de connaissances. C’est de l’ignorance. C’est ne pas suivre les recommandations. Et il doit y avoir des médecins qui ne sont pas d’accord avec les recommandations ou qui pensent qu’elles ne s’appliquent pas à leurs patients », mentionne le Dr Sana At-Khatib.
 
Le Journal de l’Association médicale américaine rappelle que les défibrillateurs cardiaques rétablissent le rythme cardiaque en donnant un choc au cœur lorsque son rythme devient irrégulier.
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L’aspirine pourrait être nocive pour les personnes en bonne santé

Une étude britannique démontre que les gens en bonne santé qui prennent de l’aspirine tous les jours à titre préventif sont plus susceptibles d’avoir une hémorragie interne.

De plus, l’aspirine serait à peine aussi efficace qu’un placebo pour prévenir les troubles cardiaques.

Les chercheurs ont suivi 3 350 personnes âgées de 50 à 75 ans pendant huit ans. Ces personnes avaient une pression artérielle systolique élevée. La moitié des sujets a reçu 100 mg par jour d’aspirine et l’autre moitié, un placebo.

2 % des personnes du premier groupe ont dû être hospitalisées pour une hémorragie, contre seulement 1,2 % dans l’autre groupe.

Il semble que les preuves sont encore insuffisantes en ce qui concerne l’efficacité de l’aspirine à titre préventif. Toutefois, l’étude ne remet pas en cause son efficacité à prévenir les complications cardiovasculaires chez les personnes qui sont déjà malades.

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Le code génétique influerait sur l’efficacité des médicaments

Il existerait des variations dans le code génétique des populations de souche européenne ou africaine. Ces différences influeraient sur l’efficacité de certains médicaments et la guérison des personnes atteintes de certaines infections, révèle une étude américaine publiée dans l’American Journal of Human Genetics.

« Notre principal champ d’intérêt se rapporte aux gènes qui déterminent comment les gens répondent aux traitements comme la chimiothérapie, » a mentionné dans un communiqué l’auteure de la recherche, Eileen Dolan, également professeure de médecine à l’Université de Chicago. « Nous voulons comprendre pourquoi certains groupes s’exposent à différents degrés de toxicité lorsqu’ils consomment certains médicaments et nous voulons pouvoir déterminer ceux qui sont plus enclins à subir les effets secondaires des médicaments. »

Trente familles de l’Utah et 30 familles du Nigeria ont participé à l’étude. Des variations génétiques significatives ont été trouvées dans près de 5 % des 9 156 gènes analysés.

Des recherches précédentes ont par ailleurs déterminé que les Américains de race noire seraient plus susceptibles que ceux de race blanche de développer une parodontite, soit l’inflammation des tissus buccaux soutenant les dents.