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Nouvel effort collectif majeur dans la lutte au Parkinson

Après la nouvelle concernant une percée dans la lutte à l’Alzheimer, en voici une autre qui dévoile un effort collectif impressionnant dans celle livrée au Parkinson.

C’est www.nih.gov qui confirme la chose, et pour cause, puisque l’association en est aussi l’instigatrice. Le projet est simple, mais brillant : concevoir un système collectif afin d’accélérer les recherches en matière de biomarqueurs.

Ces derniers permettent de prédire et de diagnostiquer de façon précoce la maladie de Parkinson, notamment.

En améliorant collectivement le processus de recherche et en combinant les efforts de chercheurs d’un peu partout qui auront maintenant accès, entre autres, à une gigantesque base de données, les spécialistes croient que les choses pourraient aller plus vite dans le cas du Parkinson, et que le système permettrait d’importantes percées en matière de biomarqueurs.

En diagnostiquant la maladie plus rapidement, on a de bien meilleures chances de la « contrôler » et, un jour, de la guérir. La découverte de biomarqueurs propres au Parkinson serait une percée majeure vers la mise au point d’un traitement.

« Notre but est d’accélérer le processus de recherche et de progrès en matière de biomarqueurs du Parkinson, en soutenant les chercheurs qui ont déjà de belles pistes et qui font preuve d’innovation dans le domaine. On veut les rassembler, les rapprocher, et rendre leur travail et leurs analyses plus faciles », lance le directeur du NINDS, Story Landis.

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Les pommes bénéfiques pour la fonction respiratoire

Pour aider le corps à mieux récupérer après un effort physique important, il serait judicieux de choisir de manger une pomme.
 
Une étude dévoilée par l’Association nationale Pomme et Poire, effectuée sur 2512 hommes de 45 à 54 ans, démontre que consommer cinq pommes ou plus par semaine augmente la capacité respiratoire de 138 ml par rapport à un régime alimentaire ne contenant pas de pommes.
 
Après l’effort, les pommes participent à l’apport de sucre et à la réhydratation. Avec 85 % d’eau, elles sont beaucoup plus bénéfiques que les boissons sucrées, car les pommes contiennent des sucres naturels et apportent vitamines et minéraux à l’organisme.
 
Elles renforcent également le système immunitaire, permettant de prévenir certaines maladies et infections.
 
De plus, ce fruit contient des antioxydants qui améliorent la fonction musculaire et permet donc une meilleure récupération après un effort physique intense.
 
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La motivation dépend du niveau de dopamine dans le cerveau

Le Journal of Neuroscience révèle que la motivation et le découragement dépendraient du niveau de dopamine dans certaines zones du cerveau lors de l’accomplissement d’une tâche.
 
Cette découverte expliquerait pourquoi certaines personnes sont capables de travailler plus durement que d’autres.
 
À l’Université Vanderbilt, on a demandé à des personnes d’appuyer rapidement sur un bouton pour gagner de l’argent. Chacune d’elles devait démontrer jusqu’à quel point elle était prête à fournir des efforts pour gagner. Certaines ont même relevé des défis extrêmes.
 
Grâce à l’imagerie de leur cerveau, on a pu mesurer l’activité de celui-ci. On remarque ainsi que les personnes qui sont prêtes à fournir des efforts ont une réaction plus forte de la dopamine dans le cerveau, comparativement à celles qui n’osent même pas essayer de relever le défi, en raison des efforts supplémentaires que cela leur demande.
 
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Enfance : une douleur à la poitrine est-elle un signe de trouble cardiaque?

La douleur thoracique chez les enfants n’a pas la même connotation que chez les adultes.

Tous les enfants qui ont été évalués dans un centre médical de Boston sur une période de 10 ans, entre 2000 et 2009, étaient âgés de plus de 6 ans et n’avaient pas de défauts cardiaques connus ou de maladie cardiovasculaire.

Les 3700 enfants qui ont été vus pour des douleurs thoraciques ont été identifiés à partir des dossiers médicaux qui faisaient référence à des données supplémentaires, comme des facteurs démographiques et cliniques.

Les enfants ont été divisés en deux groupes : ceux qui avaient des douleurs thoraciques à l’effort et ceux qui avaient des douleurs thoraciques au repos. Les douleurs thoraciques au repos étaient le scénario le plus fréquent (56 %), alors que la douleur thoracique à l’effort comptait pour 33 %.

L’échocardiographie a été réalisée sur 38 % des patients; ces évaluations ont été normales dans 88 % des cas. Les diagnostics de causes de douleurs thoraciques ont été répartis comme suit :
• origine inconnue, 52 %;
• origine musculo-squelettique, 36 %;
• origine pulmonaire, 7 %;
• origine gastro-intestinale, 3 %;
• Anxiété, 1 %;
• origine cardiaque, 1 %.

Les chercheurs ont donc conclu que la douleur thoracique est un symptôme commun en pédiatrie qui a rarement une cause cardiaque. Parmi les 3700 patients, 3 décès (0,1%) sont survenus pendant le suivi. Deux de ces décès étaient des suicides, et le troisième était le résultat d’une hémorragie retropéritonéale.