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Box-office : Deadpool résiste aux dieux égyptiens

Deadpool et son humour résistent aux dieux égyptiens, alors que le film s’accroche au sommet du box-office pour une autre semaine.

La sortie du spectaculaire Gods of Egypt avec Gerard Butler n’aura en effet pas été suffisante pour détrôner Deadpool, qui a ajouté au passage 35 millions de dollars à sa cagnotte.

Le film mettant en vedette Ryan Reynolds a jusqu’ici engrangé 609 millions de dollars à travers le monde.

Gods of Egypt s’installe cependant au second rang du box-office avec 14 millions de dollars en entrées, et un total de 52 millions à travers le monde. Des critiques tièdes et un manque de diversité au sein de la distribution décrié par le public auront eu raison du film.

Kung Fu Panda 3 glisse donc au troisième rang, et repousse à son tour Risen au quatrième rang.

Eddie The Eagle obtient cette semaine la cinquième place.

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Cinéma

Gerard Butler pour Den of Thieves

La nouvelle référence en matière de films d’action et de testostérone, Gerard Butler, aurait accepté de se joindre au projet Den of Thieves, rapporte Variety.

Den of Thieves propose le vol spectaculaire de la Réserve fédérale américaine située à Los Angeles par une équipe de braqueurs que l’on décrit comme légendaire. L’opération se fera sous le nez d’un shérif, rapporte cette même source, sans toutefois préciser quel rôle défendra Butler.

On peut facilement imaginer l’acteur des deux côtés de la clôture du bien et du mal, mais parions que ses récents succès comme Olympus Has Fallen l’auront confirmé dans son rôle de nouveau héros d’action.

Den of Thieves est écrit et réalisé par Christian Gudegast, qui collabore avec Paul Scheuring pour le scénario.

Gerard Butler est pour sa part pris par le tournage de Gods of Egypt, et on devrait en savoir davantage sur son nouveau projet au cours des prochaines semaines.

Christian Gudegast est également attaché à London Has Fallen, suite d’Olympus Has Fallen, le prochain film de Gerard Butler à mettre en scène l’agent Mike Banning. La sortie est prévue pour 2015.

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Cinéma

Élodie Yung rejoint Gerard Butler et Geoffrey Rush pour Gods of Egypt

Le réalisateur Alex Proyas a choisi l’actrice qui incarnera sa déesse égyptienne Hathor pour son prochain film intitulé Gods of Egypt, rapporte Empire Online.

Il s’agit d’Élodie Yung (District 13 : Ultimatum, G.I. Joe: Retaliation), qui rejoint donc une distribution comprenant déjà les excellents Gerard Butler et Geoffrey Rush, en plus de Nicolaj Coster-Waldau, Courtney Eaton et Chadwick Boseman.

Élodie Yung prêtera donc ses traits à la déesse de l’amour, de la beauté, des terres étrangères, de la musique et… des vaches.

L’histoire de Gods of Egypt est celle de plusieurs dieux de la mythologie égyptienne, à commencer par Seth, incarné par Gerard Butler. Ce dernier, dieu du désert et des tempêtes, devra affronter la colère et la soif de vengeance du dieu de la vengeance Horus, incarné par Nicolaj Coster-Waldau.

Geoffrey Rush incarne le dieu du soleil Ra, ultime victime du sanglant plan de Seth. Chadwick Boseman sera quant à lui Thot, le dieu de la sagesse. Le rôle d’Osiris, dieu de la vie éternelle, n’a pas encore été accordé, et on attend avec impatience la confirmation de l’acteur qui sera choisi pour ce superbe défi.

Gods of Egypt, dont le tournage s’entamera bientôt du côté de Sydney, en Australie, est prévu pour le mois de février 2016.

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Cinéma

Élodie Yung rejoint Gerard Butler et Geoffrey Rush pour Gods of Egypt

Le réalisateur Alex Proyas a choisi l’actrice qui incarnera sa déesse égyptienne Hathor pour son prochain film intitulé Gods of Egypt, rapporte Empire Online.

Il s’agit d’Élodie Yung (District 13 : Ultimatum, G.I. Joe: Retaliation), qui rejoint donc une distribution comprenant déjà les excellents Gerard Butler et Geoffrey Rush, en plus de Nicolaj Coster-Waldau, Courtney Eaton et Chadwick Boseman.

Élodie Yung prêtera donc ses traits à la déesse de l’amour, de la beauté, des terres étrangères, de la musique et… des vaches.

L’histoire de Gods of Egypt est celle de plusieurs dieux de la mythologie égyptienne, à commencer par Seth, incarné par Gerard Butler. Ce dernier, dieu du désert et des tempêtes, devra affronter la colère et la soif de vengeance du dieu de la vengeance Horus, incarné par Nicolaj Coster-Waldau.

Geoffrey Rush incarne le dieu du soleil Ra, ultime victime du sanglant plan de Seth. Chadwick Boseman sera quant à lui Thot, le dieu de la sagesse. Le rôle d’Osiris, dieu de la vie éternelle, n’a pas encore été accordé, et on attend avec impatience la confirmation de l’acteur qui sera choisi pour ce superbe défi.

Gods of Egypt, dont le tournage s’entamera bientôt du côté de Sydney, en Australie, est prévu pour le mois de février 2016.

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Potins

Le fils d’Alicia Keys agace Jay-Z

C’est une histoire hilarante que celle de la rencontre des deux bambins respectifs d’Alicia Keys et de Jay-Z, alors que le premier semble déjà affectueux pour son âge, rapporte Music-News.

Lors du dernier week-end des étoiles de la NBA, à Houston, Keys et Jay-Z étaient tous deux invités avec leur progéniture. Alicia Keys devait interpréter l’hymne national, et le célèbre rappeur est un fan invétéré de basketball.

Lorsque les deux familles se sont finalement retrouvées côte à côte, le fils de Keys, Egypt, 2 ans, s’est permis de voler un baiser à la fille de Jay-Z, Blue Ivy, 1 an.

Un geste qui n’a pas plus à papa Jay-Z, qui n’a pas tardé à laisser savoir son opinion à son homologue, en lui disant de « surveiller son fils ».

Une scène somme toute plutôt drôle, croquée lors d’un week-end réussi pour la NBA.

Alicia Keys a par ailleurs déclaré qu’elle souhaite avoir d’autres enfants.

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Potins

Alicia Keys se dit transformée par la maternité

« Être parent a développé mon ouverture d’esprit, je suis plus centrée sur moi-même, plus heureuse et bien plus créative », a dévoilé Alicia Keys, avec enthousiasme, dans la revue Scholastic Parent & Childs.

Pour l’artiste, son fils Egypt Daoud, né de son mariage avec Swizz Beatz, lui a apporté une façon « plus éclairée » de discerner les choses. Elle affirme qu’être mère fait d’elle une meilleure personne sur toute la ligne.

La diva du soul, 31 ans, explique que la maternité a été instantanée et naturelle pour elle. « Nous adorons aller dans les galeries d’art, au parc, faire de la peinture toute la journée et visiter nos familles. J’adore ça! »

Par contre, comme toutes les mères, Alicia Keys trouve difficile de conjuguer famille et travail, surtout dans l’industrie de la musique. En ce moment, elle doit concilier la promotion de son nouvel album, Girl On Fire, en plus de soutenir la fondation Keep a Child Alive.

« La chose la plus difficile lorsqu’on devient mère, c’est d’être loin de son enfant », dit-elle, « mais surtout, de trouver l’équilibre “magique” pour que tout se déroule comme on le souhaite. »

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Potins

Alicia Keys croit que son fils est une « diva »

La chanteuse admet que son fils, dont le père est le producteur Swizz Beatz, aime être le centre d’attention. Egypt, élevé par deux parents dans le milieu de la musique, pratique déjà ses vocalises dès qu’il le peut.

C’est en riant que la chanteuse de 31 ans a déclaré : « Il sera une réelle épine dans le pied en vieillissant! Je ne sais pas d’où il tient ça, mais c’est un petit garçon flamboyant. Egypt adore chanter et se donner en spectacle. Il chante Twinkle Twinkle Little Star, ce qui est mignon, puisqu’il ne connaît que la moitié des paroles ».

Alicia Keys, qui est mariée à Beatz depuis 2 ans, a également révélé que récemment, c’est Egypt qui a volé le spectacle lors de l’un de ses concerts. Il a profité de l’attention sur scène alors qu’elle était en plein milieu de sa représentation.

C’est au journal The Sun que Keys a confié : « Je donnais mon premier spectacle de retour récemment, et Egypt se tenait sur le côté de la scène avec son père. La foule était en délire, et je me disais “Wow, ils sont vraiment en feu!”, et lorsque je suis sortie pour l’entracte, j’ai réalisé que la foule continuait à se soulever ».

« J’ai alors réalisé que mon fils envoyait des baisers soufflés à l’auditoire, en les saluant. J’ai souri et me suis dit “Ça, c’est mon fils. Allez, vas-y”. »