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Arrêter de travailler n’est pas toujours un choix pour les mères

Selon deux nouvelles études, une parue dans L’Express.fr et l’autre dans Allocations familiales, une mère au foyer sur deux aurait préféré continuer de travailler.
 
Ce n’est donc pas toujours un choix si les femmes mettent fin à leur carrière ou ne retournent pas sur le marché du travail.
 
Parfois, elles renoncent à travailler en raison de leur niveau de scolarité moindre, du nombre d’enfants qu’elles ont, ou encore en raison de l’image de soi.
 
La majorité des femmes (94 %) préfèrent de loin prendre seulement leur congé parental.
 
« 42 % des mères devenues inactives auraient souhaité continuer à travailler, mais plusieurs paramètres les en ont empêchées. Les mères qui ne travaillent plus sont nettement moins diplômées que les mères qui travaillent toujours, mais davantage que les mères qui n’ont jamais travaillé. Toutefois, ce qui détourne le plus les mères de l’emploi est, toujours toutes choses égales par ailleurs, l’absence de conjoint combinée à un faible niveau de vie », mentionne l’auteure principale de l’étude, Bénédicte Galtier.
 
Selon les études, 58 % des femmes disent avoir choisi d’arrêter de travailler, et 19 % disent que cela était plus intéressant financièrement.
 
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Le stress amenuise votre rôle parental

Une récente étude parue dans Development and Psychopathology nous explique que le stress peut avoir de grandes répercussions sur le rôle parental. Un stress chronique ferait en sorte que des problèmes quant au comportement parental surgissent.

En exemple, on donne celui d’une mère quant à la réponse corporelle au stress de longue durée. Ce dernier viendrait à changer la façon dont le corps d’une mère réagit aux demandes d’un jeune enfant. Cela fait en sorte que son rôle parental est plus difficile à assumer.

D’autre part, on a relevé les effets certains de la pauvreté comme de la dépression sur la psychologie d’une personne, et l’on comprend mieux pourquoi quelqu’un réagit de telle ou telle façon s’il est sous pression, que celle-ci soit d’ordre économique ou psychologique.

On a déjà démontré l’effet du stress sur les enfants ainsi que son impact sur le développement de certaines maladies, une fois l’âge adulte atteint. C’est toutefois la première fois que l’on étudie ses effets sur la façon d’élever des enfants. Encore une fois, on comprend que le stress se vit tant au niveau physique que mental.