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Pour éliminer le sucre, il faut se déconditionner

Top Santé vous propose un déconditionnement aux sucreries et au sel en 2 mois.

Pendant 3 semaines

Dans les premières semaines, il faut changer la base de notre alimentation en retirant tout ce qui est industriel. Les boissons sucrées, même légères, ainsi que tous les gâteaux, pâtisseries, plats préparés et céréales sucrées.

Consommez un maximum de volaille et poisson, œufs et légumes secs. Incorporez aussi des noix et amandes.

Faites les courses le vendre plein dans un marché d’alimentation de style « fruits et légumes » pour éviter les rangées de produits inutiles (biscuits, croustilles et autres).

La seconde partie – éliminer le sucre ou le sel

Que vous soyez plutôt du type salé (et gras) ou sucré revient au même. Il faut l’éliminer.

On suggère donc d’éliminer la salière de la table pendant 2 semaines et de remplacer le goût avec d’autres épices et herbes fraîches. Par la suite, réintégrez le sel pour 1 repas par semaine et de façon très limitée.

Quant au sucre, il faut consommer au maximum un grand carré de chocolat par jour et remplacer les gâteaux et biscuits par des fruits et des compotes sans sucre.

Pour éviter les fringales ou la surconsommation lors des repas, prenez un grand verre d’eau.

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Une méthode efficace pour éliminer la pensée négative chez l’enfant

Les émotions négatives, comme le mentionne Priceless Parenting, sont un tourbillon sans fond, un cercle vicieux qui prend le dessus sur la raison. Mais comment l’expliquer aux enfants, surtout lorsqu’ils sont en bas âge?

L’exemple donné est typique. Un enfant essaie de lire tout haut, mais a de la difficulté. Plus il essaie et échoue, plus sa frustration grandit. Celle-ci prend le dessus sur la raison et très rapidement, l’enfant a honte, se déprécie, puis abandonne.

Il faut lui expliquer, visuellement s’il le faut, que les mauvaises émotions écrasent la partie réfléchie du cerveau et l’empêche de bien fonctionner. Lorsqu’il a compris, la solution la plus efficace pour enrayer la situation est l’exercice de respiration.

Contrôler les pensées parasites nécessite de la pratique. Demandez à votre enfant de faire l’exercice à raison de 5 minutes par jour, de la façon suivante :

1. Faites-le asseoir quelques minutes avec l’objectif de centrer son attention uniquement sur sa respiration.

2. Avisez-le qu’il est normal que sa pensée vagabonde et que c’est à ce moment qu’il devra être vigilant.

3. Dès qu’il est conscient de sa pensée qui lui échappe, il doit très fort se concentrer à nouveau sur le rythme régulier de son inspiration et expiration.