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Des salades qui contiennent autant de sel que des chips

Il ne faut pas toujours se fier aux apparences. Avec ses attrayants légumes variés et vinaigrettes savoureuses, les salades offertes dans les supermarchés, les restaurants et les cafés ne représentent pas toujours un choix sain, affirme une étude menée par Consensus Action on Salt and Health au Royaume-Uni.

Parmi 650 salades évaluées, 77 % contenaient plus de sel qu’un sac de chips, et certaines renfermaient près de 6 g de sel, soit la portion maximale quotidienne recommandée.

Les consommateurs qui pensent faire un bon coup en mangeant une salade verte accompagnée de vinaigrette, fromage et viande se retrouvent à ingérer leur portion maximale de sel dans un seul repas.

L’étude rappelle qu’une alimentation riche en sel peut entraîner une augmentation de la pression artérielle pouvant provoquer des maladies cardiaques et des ACV, rapporte le Telegraph.

Bien que la plupart des restaurateurs ajoutent du sel pour modifier ou donner du goût aux légumes, plusieurs supermarchés ont revu à la baisse leurs chiffres en cinq ans. Ainsi, les salades de supermarchés contenaient 35 % moins de sel en 2010 qu’en 2005.

Les auteurs de l’étude souhaitent que les établissements qui vendent des salades revoient à la baisse la quantité de sel dans leurs recettes et affichent clairement l’information à ce sujet sur l’emballage.

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La dangerosité des emballages d’aliments encore démontrée

Une nouvelle étude confirme la dangerosité de la plupart des contenants et processus d’emballage de plusieurs aliments retrouvés dans nos supermarchés, selon ce que rapporte Medical News Today.

Cette nouvelle recherche menée par des scientifiques spécialistes en environnement sonne l’alarme et a de quoi inquiéter les consommateurs.

On y révèle que malgré la régulation de plusieurs produits chimiques, la population entre en contact avec de dangereux produits chaque jour par l’entremise des produits alimentaires transformés ou emballés en usine.

Les plastiques, cartons et autres emballages présentent souvent des traces importantes de formaldéhyde, de bisphénol A, de tributytine, de triclosane et de phtalates, croient les scientifiques impliqués dans l’étude.

« Ces faits sont peut-être d’une grande importance pour les scientifiques qui s’intéressent aux origines de développement des maladies, et des expositions environnementales chez les enfants. Alors que la science de ces substances est débattue et que les faiseurs de règles peinent à satisfaire les actionnaires, les consommateurs sont exposés à ces produits chimiques sur une base quotidienne, la plupart du temps à leur insu », expliquent avec fougue les spécialistes de l’étude.

De quoi créer une véritable réflexion sur nos habitudes de consommation et nous inciter à repenser notre façon de manger.

Les conclusions de l’étude ont été publiées dans le Journal of Epidemiology and Community Health.