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Il n’est pas trop tard pour améliorer votre santé

Medical News Today rapporte les résultats d’une étude menée par la Northwestern Medicine et qui mentionne que notre cœur n’est pas rancunier.

Les adultes de 30 à 49 ans qui effectuent des modifications de vie pour éliminer les facteurs de risque de maladies coronariennes peuvent arrêter et même renverser les dommages engendrés aux artères cardiaques.

L’étude a été publiée dans la revue spécialisée Circulation. « Il n’est pas trop tard », y explique Bonnie Spring, responsable de la recherche.

Ce sont plus de 5000 participants qui ont été examinés quant à la calcification des artères et de leur épaisseur. Les facteurs de santé à modifier étaient : cesser de fumer, être actif physiquement, éviter le surpoids, consommer peu d’alcool et manger sainement.

Chaque facteur ajouté diminuait le risque de développer des maladies coronariennes.

Ainsi, les chercheurs affirment que deux mythes ont été démystifiés. Ce n’est pas vrai que les gens ne sont pas prêts à apporter des changements à leur vie, et il est faux de croire que les dommages causés sont automatiquement irréversibles.

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Les bébés de mères en surpoids sont plus à risque de faire de l’athérosclérose

Des chercheurs australiens ont étudié le cas de 23 femmes enceintes, âgées de 35 ans en moyenne, qui en étaient à plus ou moins 16 semaines de grossesse. Leur indice de masse corporelle a été calculé. Celui-ci était de 26 en moyenne, ce qui correspond à un embonpoint léger.

Tous les bébés sont nés à terme, et leur poids moyen à la naissance était de 3,3 kilos (7,3 livres). Les bébés ont subi une échographie durant la première semaine de leur vie, ce qui a permis aux chercheurs de mesurer l’épaisseur de leur aorte, l’artère la plus importante du corps humain.

Dans les pays industrialisés, environ 60 % des femmes en âge d’enfanter ont un surplus de poids ou sont obèses, et les chercheurs avaient émis l’hypothèse que ceci pouvait avoir un impact sur le développement éventuel de maladies cardiaques chez leurs enfants.

Les bébés nés de mères avec un surplus de poids avaient une aorte plus épaisse de 7 mm par rapport aux bébés nés de mères de poids normal. Ce chiffre semble minuscule, mais a été considéré comme très significatif pour les chercheurs.

Ceux-ci ont expliqué que l’épaisseur de cette artère était le signe avant-coureur le plus important d’athérosclérose, rapporte Med Page Today.

Les résultats de cette étude ont été publiés dans le journal médical Archives of Disease in Childhood Fetal & Neonatal Edition.

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La forme physique joue sur la qualité de la grossesse à 40 ans et plus

« Vous avez plus de quarante ans, vous n’êtes pas obèse et vous êtes en bonne santé, vous vous exposez à moins de risques de complications au cours d’une prochaine grossesse qu’une personne obèse de 40 ans », a déclaré John Barton, directeur de la médecine maternelle et fœtale au Central Baptist Hospital de Lexington, dans le Kentucky aux États-Unis.

À l’exception du taux de césarienne qui est beaucoup plus élevé, et ce, peu importe le poids, les femmes en forme âgées de 40 ans ne courent pas de risques « si différents de ceux qui attendent une femme plus jeune et non-obèse », précise le spécialiste.

Cependant, les femmes obèses qui tentent d’avoir un bébé après la trentaine sont plus susceptibles de donner naissance prématurément, de souffrir de diabète gestationnel et d’hypertension artérielle, révèlent les conclusions présentées au colloque annuel de l’American College of Obstetricians and Gynecologists à San Diego, en Californie.

Alors que l’on dénombre de plus en plus de naissances chez les femmes d’un âge avancé, les chercheurs ont observé les données de 53 000 femmes enceintes pour la première fois et avec différents indices de masse corporelle pour arriver à leurs conclusions.

On rappelle que bien que les chances de stérilité soient plus élevées en vieillissant, les femmes de 40 ans et plus peuvent vivre une grossesse heureuse si elles adoptent un mode de vie sain et qu’elles sont en forme.

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La forme physique joue sur la qualité de la grossesse à 40 ans et plus

« Vous avez plus de quarante ans, vous n’êtes pas obèse et vous êtes en bonne santé, vous vous exposez à moins de risques de complications au cours d’une prochaine grossesse qu’une personne obèse de 40 ans », a déclaré John Barton, directeur de la médecine maternelle et fœtale au Central Baptist Hospital de Lexington, dans le Kentucky aux États-Unis.

À l’exception du taux de césarienne qui est beaucoup plus élevé, et ce, peu importe le poids, les femmes en forme âgées de 40 ans ne courent pas de risques « si différents de ceux qui attendent une femme plus jeune et non-obèse », précise le spécialiste.

Cependant, les femmes obèses qui tentent d’avoir un bébé après la trentaine sont plus susceptibles de donner naissance prématurément, de souffrir de diabète gestationnel et d’hypertension artérielle, révèlent les conclusions présentées au colloque annuel de l’American College of Obstetricians and Gynecologists à San Diego, en Californie.

Alors que l’on dénombre de plus en plus de naissances chez les femmes d’un âge avancé, les chercheurs ont observé les données de 53 000 femmes enceintes pour la première fois et avec différents indices de masse corporelle pour arriver à leurs conclusions.

On rappelle que bien que les chances de stérilité soient plus élevées en vieillissant, les femmes de 40 ans et plus peuvent vivre une grossesse heureuse si elles adoptent un mode de vie sain et qu’elles sont en forme.

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Faut-il laisser bébé manger avec ses doigts?

Selon une étude britannique de l’Université de Nottingham, publiée récemment dans le British Medical Journal, un bébé qui mange avec ses doigts aurait une alimentation plus saine à l’âge adulte.

Parmi les 155 enfants examinés, âgés de 20 mois à six ans et demi, 92 bébés ont été sevrés grâce à la méthode nommée Baby led weaning (bébé se sèvre seul), qui consiste à laisser l’enfant manger seul de petits morceaux d’aliments solides à texture fondante. Les 63 autres ont été nourris avec des aliments réduits en purée, donnés à la petite cuillère.

Il semblerait que les enfants qui découvraient la nourriture avec leurs petits doigts étaient davantage attirés par les glucides, comme le pain ou les pâtes, alors que ceux sevrés à la petite cuillère préféraient les produits sucrés.

Ce constat permet d’établir une relation avec le surplus de poids. En effet, l’étude a démontré que 8 des bébés nourris à la cuillère ont fait de l’embonpoint, contre un seulement parmi ceux qui mangeaient avec les doigts.

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Femmes âgées : kilos en trop égalent moins de puissance au cerveau?

Selon une étude réalisée par des chercheurs de l’École Feinberg de l’Université Northwestern, dans l’Illinois, se basant sur l’analyse des données de la Women’s Health Initiative, plus les femmes âgées ont un poids élevé, plus elles ont le risque d’être sujettes à une activité cérébrale moindre et souffrir éventuellement d’une forme de démence.

Les scientifiques se sont concentrés sur les 8 745 participantes, âgées d’au moins 65 ans, qui ont pris part à des essais cliniques pour des traitements hormonaux substitutifs.

Pour cette cohorte, des données étaient prises sur la grandeur, le poids et l’indice de masse corporelle, aussi bien que sur l’activité cognitive mesurée par un test appelé Modified Mini-Mental State Examination ou 3MSE.

Les chercheurs ont trouvé que plus l’indice de masse corporelle des femmes était élevé, plus bas était alors leur résultat au test 3MSE. Pour chaque point additionnel sur l’échelle de l’indice de la masse corporelle, le score au test était plus bas de près d’un point.

On propose donc que les problèmes de circulation et d’inflammation causés par l’obésité provoquent des dommages au cerveau, ce qui augmente les risques d’être aux prises avec un quelconque trouble de démence.

En poussant plus loin la réflexion, on précise toutefois que cette analyse ne peut pas encore s’appliquer à tout le monde.

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Vers une réglementation des cliniques de perte de poids

Un article publié dans le Canadian Medical Association Journal dénonce les stratégies employées par les cliniques de perte de poids, qui font trop souvent miroiter des solutions miracles à leur clientèle qui rêve de minceur.

« La majorité des fournisseurs de produits d’amaigrissement commerciaux manipulent les consommateurs vulnérables en entretenant des attentes irréalistes et de fausses croyances », ont déploré les docteurs Yoni Freedhoff et Arya Sharma.

Selon eux, plusieurs méthodes pour maigrir, dont l’injection de vitamines ou la consommation de suppléments de plantes médicinales, ne sont pas appuyées sur des bases scientifiques approuvées.

C’est pourquoi les deux chercheurs espèrent que les différents paliers de gouvernement encadreront davantage cette industrie.

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L’IMC complètement dépassé

La nutritionniste Marie-Claude Paquette, de l’Institut national de santé publique du Québec, affirme que l’indice de masse corporelle (IMC), qui sert à évaluer le poids santé d’une personne, est complètement dépassé.

Lors du congrès Journées annuelles de santé publique, Mme Paquette a mentionné : « Les professionnels de la santé devraient y penser à deux fois avant de conseiller à leurs patients de perdre du poids sur la base de leur IMC, car celui-ci est loin de révéler le véritable état de santé de la personne. »

Pour la nutritionniste, les kilos en trop ne sont surtout pas synonymes de mauvaise alimentation et de sédentarité. À l’inverse, plusieurs personnes ayant un IMC dans la moyenne sont adeptes de la malbouffe et ne pratiquent aucun sport.

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Les troubles du sommeil, signe d’embonpoint

Le Dr Jacques Montplaisir et son équipe, du Centre d’excellence en médecine du sommeil de l’Hôpital du Sacré-Coeur de Montréal, affirment que les troubles du sommeil, comme les terreurs nocturnes, le bruxisme, l’énurésie et l’éveil nocturne, ne sont pas sans conséquence chez les enfants.

Selon eux, les enfants qui dorment moins de 10 heures par nuit voient le risque de souffrir d’embonpoint multiplié par 4.

« 26 % des enfants qui dorment moins de 10 heures par nuit entre deux ans et demi et six ans font de l’embonpoint; le taux est de 15 % chez les enfants qui dorment 10 heures et il tombe à 10 % chez ceux qui dorment 11 heures », affirme le Dr Montplaisir.

Le chercheur croit que les changements de sécrétion hormonale causés par le manque de sommeil pourraient expliquer les kilos en trop chez les participants à cette étude. « Lorsque nous dormons moins, nous produisons plus de ghréline, une hormone sécrétée par l’estomac et qui stimule l’appétit », a-t-il expliqué.

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Cachez ce poids que je ne saurais voir

Une étude menée par Santé Canada auprès de 132 000 participants en dit un peu plus sur la perception des Canadiens de leur apparence physique. Lorsque vient le temps de dévoiler leur poids et leur taille, ceux-ci ont tendance à s’enlever quelques kilos et à ajouter quelques centimètres, question de se rapprocher des standards de la mode.

Les hommes ajoutent un centimètre de plus à leur taille réelle, tandis que les femmes exagèrent leur taille de 0,5 cm. Quant au poids, les messieurs affirment qu’ils retranchent 1,8 kg et les femmes, 2,5 kg à leur poids réel.

Dans les deux phénomènes, les personnes de petite taille et ayant un surplus de poids semblent plus enclines à « tricher » que les personnes qui ont une apparence physique dont elles sont satisfaites.

Mine de rien, ces données ont des répercussions sur la science, car les recherches sur l’obésité sont effectuées à partir des données que les sujets déclarent aux scientifiques. S’ils ont tendance à cacher leur poids véritable, la mesure de l’obésité de la population canadienne pourrait être faussée selon la Dre Margot Shield.